Antonin de Florence

comme pour trafiquer avec l’Inde et l’Insulinde, il s’était fondé dans les ports du bas Yang -tseu, du Tchö-kiang et de la région cantonaise de puissantes guildes marchandes qui pouvaient rivaliser avec les Métiers des Flandres et les Arts de Florence. Parlant des guildes de Hang-tcheou (ville qu’il appelle Quinsai), Marco Polo écrit : « Il y avait là tant de marchands si riches, faisant un commerce si important qu’il n’est personne qui pou rrait l’évaluer. Et sachez que les maîtres de métiers

devenue incapable de toute réaction spontanée — et alors, il ne vaudrait plus la peine de s’occuper d’une pareille humanité. Il n’y aurait qu’à lui redire le mot que Michel-Ange prête à ses grandes figures allongées de la Chapelle des Médicis à Florence : « Ah ! laissez-moi dormir... » 12 Le Nouveau Monde et l’Europe L’Histoire, telle que je la comprends, telle que j’essaie de la servir depuis plus d’un demi-siècle, n’apporte pas, ne suggère pas, — à plus forte raison ne vise pas — à imposer

fait des e a a contributions d´cisives ` ce texte. e a Nous remercions chaleureusement tous nos coll`gues de la merveilleuse e ´quipe d’enseignement avec qui nous avons travaill´ et eu beaucoup e e d’´changes : Manuel Joffre bien entendu, Florence Albenque, Herv´ Arrie e bart, Alain Aspect, G´rald Bastard, Adel Bilal, Alain Blondel, Jean-No¨l e e Chazalviel, Jean-Yves Courtois, Nathalie Deruelle, Henri-Jean Drouhin, Claude Fabre, Hubert Flocard, Philippe Grangier, Denis Gratias, Gilbert