Apocope

composants autonomisables [2]: porte-avionsportemanteau» Le langage relâché Ce sont des mots que l'on s'autorise à utiliser dans une conversation avec des gens proches : ce sont des mots relâchés, argotiques, parfois grossiers. Exemples: Une apocope de document revient souvent : DOC Le verlan de fête : TEUF 4.Le codage des définitions à l'aide des méthodes lexicologiques I. La polysémie La langue française contient nombres de mots, qui peuvent se substituer les uns aux autres

qui permet , a travers la troncation d’un mot composé, d’obtenir un nouvelle base qui sera utilisée pour former de nouveaux mots. La troncation est un procédé qui consiste en la suppression d’ une ou plusieurs syllabes d’un mot plus long(apocope/ aphérèse) Les mots- valises sont un particulier type de composition qui se caracterise par le telescopage de 2 bases, dont chacune est tronquée. Le nouveau mot conserve un segment commun aux 2 bases. La siglaison produit une

remplace un nom commun par un nom propre, et vice-versa. Exemple : « un Harpagon », pour désigner un avare, est une antonomase. C’est aussi le cas lorsqu’on remplace un nom par une périphrase : « la capitale de la France » pour désigner « Paris ». Apocope(masculin) : C'est l'effacement d'un graphème ou d'un groupe syllabique en fin de mot - Ciné pour Cinéma Aposiopèse (féminin) : Une aposiopèse (ou réticence) est une rupture dans la suite attendue des enchaînements de la phrase. Exemple dans

élasticité. Remarque : il faut distinguer l’apocope de l’élision, en fait, il y a apocope, c’est-à-dire disparition due à la prononciation quand l’élision n’est pas possible. Pour la chute du « e » devant une voyelle, on parle d’élision et non d’apocope. Ex : Dans d’ la peau de mains d’ cadavre Desnos, Fortunes, « Complainte de Fantômas » C’est pour créer un octosyllabe que le poète fait deux apocopes. 5- L’hiatus et l’élision Lorsqu’un mot terminé par une voyelle précède

syllabes à l'initiale ou à la finale d'un mot ou d’un groupe de mots. Apocope | Aphérèse | Type de troncation qui consiste à faire chuter la fin d'un mot.Les mots tronqués ne prennent pas de point abréviatif, contrairement aux abréviations. |  Type de troncation qui consiste à faire chuter le début du mot ou du groupe de mots pour n’en garder que la fin. En français contemporain, elle est moins répandue que l’apocope. | - Apocopes intégrées dans la langue :auto automobile ciné, cinéma cinématographe

19. Nocif : Qui constitue un danger Nuisible : Qui constitue un danger 20. Évoquer : Faire référence à..., rappeler, faire pensé à... Invoquer : Appeler une puissance surnaturelle. Ou : En appeler à... 21. Apocope : Faire tomber la fin du mot. Aphérèse : Faire tomber le début du mot. Troncations : Couper les mots Élision : « e » muet Anastrophe : Inverser l'ordre des mots Acronyme : Première lettre

mystère pour de grands chercheurs tels qu’Emile Reynaud. Ayant suivi l’exemple de Plateau, il inventa le praxinoscope en 1876, jouet optique utilisant les mêmes principes que le phénakistiscope. Tout ceci va mener au cinéma, le terme « cinéma », apocope* de « cinématographe » fut donné par Léon Bouly en 1892 et désignant l’appareil de projection dont il déposa un brevet. Le cinéma est un art du spectacle, il expose au public un film, c'est-à-dire une œuvre composée d’images en mouvement projetées

partitifs Pronoms invariables alguien = quelqu’un algo ≠ = quelque chose nadie = personne nada = rien Adjectifs ou pronoms variables (genre - nombre) alguno (a) = quelque (apocope : algún) ninguno (a) = aucun(e) (apocope : ningún) cierto (a) = certain(e) unos (as) = des, quelques cualquiera = n’importe quel(le) (apocope : cualquier) cualesquiera = n’importe quels (quelles) 2. Les quantitatifs mucho (a, os, as) poco (a, os, as) bastante(s) demasiado (a, os, as) tanto (a, os, as) varios (as) = beaucoup

prosodie classique mais se rencontre dans la poésie moderne) : Un –E atone qui devrait être prononcé et compté (car devant consonne) est en fait élidé. « Me parVIEN/ne joYEUS(e) // et DOUC(e) / touffue et SOMbr(e) » (R. Char). S’il n’y avait pas apocope (chute) du –E, nous n’aurions pas un alexandrin. Césures déviantes : La présence en fin d’hémistiche d’un –E atone non élidé peut également déterminer des césures déviantes. Si la dernière syllabe de l’hémistiche se termine par un E atone, le

qui sont des participe passé ou encore « lever » avec « rêver » en infinitif que Hugo met en lien avec finesse dans des strophes spécifiques. En ce qui concerne le phénomène du « e » caduc, nous consatons que tous les « e » des rimes féminines sont apocopés à la fin des vers alors que les rimes masculines ne se terminent jamais avec « e ». Alors qu’il n’y a dans ce poème que peu d’hiatus (soulignés), nous observons de multiples exemples exposant les « e » élidés car ils sont suivis d’une autre voyelle