Apollinaire Alcool Resume

Le Pays lointain  (1995).  Juste la fin du monde  raconte l’histoire d’un écrivain de retour dans sa famille après 12 ans d’absence pour annoncer sa mort prochaine due à une maladie. En résumé, alors que Jean-Luc Lagarce apprend qu’il est atteint du sida en 1988, il se sent inopinément condamné. Au printemps 1990, il rédige  Juste la fin du monde.  La pièce s’ouvre sur un prologue : s’exprimant seul sur scène, Louis

en explique les difficultés. L’interprétation explique en particulier les figures de style ou images employées. Les principales figures de style sont les suivantes: a. l’allégorie: on présente un concept sous les traits d’une personne. On peut résumer ce trope par la représentation concrète d’une idée abstraite. En général, l’allégorie a un sens métaphorique. Exemple : Un squelette armé d’une faux représente la mort. b. l’anaphore : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le

Avant-propos…………………………………….... Argument ………………………………………… 1. Dysfonctionements métaphoriques et „voyance” (A. Rimbaud) ………………….. 2. M.Proust: dysfonctionements textuels et phénoménologie ……………………………. 3. Dysfonctionements propres au cubisme et au surréalisme. G. Apollinaire …………… 4. Le dysfonctionement explicitement solidaire avec une nouvelle vision sur l’écriture poétique: Mallarmé, Valéry, le groupe „tel-quel” ... 7 9 17 23 45 75 5. Dysfonctionements métaphoriques dans les macrostructures textuelles narratives

lire. Les gens d'Église sont les seuls à détenir simultanément ces deux capacités. 4. Beaucoup de textes se sont perdus ce qui nous laisse une impression d'incohérence. 5. Les textes de cette époque sont destinés à être dits (rythme, versification, résumés, reprises, refrains...) ; ils ne sont pas figés, mais modifiés au hasard du plaisir des diseurs : le texte n'est qu'un aide-mémoire permettant à l'interprète de broder. On ne cherche pas, comme aujourd'hui, l'originalité, mais plutôt le maintien de

été constituée grâce à différentes bases de données présentes sur Internet, dont BN-Opaline, La BIFI (Bibliothèque du Film) et le catalogue de l'ABES. (Titre-Réalisateur/Auteur-Musique-Pays-Editeur-Date-Interprètes-Durée-Couleurs / Noir et blanc-Résumé-Langue) FILMS FRANCAIS Orphée- COCTEAU, Jean MARAIS, Jean ; PERIER, François ; CASARES, Maria... Orphée, qui nous étonne et nous séduit, est l'oeuvre la plus personnelle et la plus élaborée de cet illusionniste de génie. Avec son talent, ses angoisses

écrivain "populaire" est devenu apathique suite à une rupture sentimentale dans laquelle il s'était amoureusement totalement engagé. Il s'enfonce volontairement dans le sommeil en consommant et surdosant anxiolitiques, somnifères, antidépresseurs... et alcool. Ses deux meilleurs amis, Milo, qui est aussi son agent, et Carole, au nom de la profonde amitié qui les lie depuis l'enfance, essaient, en vain, depuis des mois, d'aider Tom à se "réveiller". C'est alors que l'arrivée inopinée d'une très jolie

La poésie COMMENTAIRE Travail préparatoire 35 ) Bien que déconcertant, le poème à commenter ne doit pas susciter l’angoisse et une fuite éperdue vers les autres sujets ! Il faut partir de votre impression première qui pourrait se résumer ainsi : « Je peux résumer l’histoire, mais je ne vois pas où l’auteur veut en venir. » Première démarche importante : repérer par un raisonnement logique tout ce que ce texte a d’étrange, à quel moment on rencontre la première entorse au réalisme initial, la première

d’Edgar Allan Poe, c’est accepter de se suspendre aux précipices du souvenir, du blanc. D’autre part, surgit la figure blafarde de Bartleby, héros éponyme de la nouvelle de Herman Melville, intitulée Bartleby, the scrivener dont on retrouve le résumé dans Un homme qui dort. On bascule dès lors du blanc vers la transparence. Cette référence nous renseigne de manière sous-jacente sur le projet d’écriture de Georges Perec et nous mène vers une poétique de l’indéterminé. Dans une étude intitulée Poétiques

France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE 2 G. Apollinaire, Alcools, « Zone » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Eluard - Man Ray, Les Mains libres ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Apollinaire, Alcools TEXTE 3 A. Breton, Clair de terre « L’aigrette » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 L. Aragon, Les Yeux d’Elsa, « Les yeux d’Elsa » ANALYSE D’IMAGE R. Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS G. Apollinaire récitant « Le Pont Mirabeau » G. Brassens, Il n’y a pas d’amour

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité