Apollinaire Alcools Zone

Apollinaire – Alcools Apollinaire => double image : • poète élégiaque (poème lyrique qui chante les plaintes et les douleurs de l'homme, les amours contrariés, la séparation, la mort…), du souvenir PONT MIRABEAU p 15 • inaugure la poésie moderne, rompt avec la tradition de la poésie versifiée, suppression de la ponctuation…  entre passé (souvenir) et avenir (modernité) PASSE ET AVENIR • figures du poète souvent autobio (Zone, p 12) / découverte • le poème lui-même, s’inscrivant dans

Zone de Guillaume Apollinaire : Axe de lecture 1er axe : I: La ville comme lieu du multiplie 1. La ville comme motif du modernisme 2. La ville sous un jour quotidien 3. La revendication d'une esthétique nouvelle . II : La ville comme un lieu spirituel. 1. La coexistence paradoxale : modernisme et religion. 2. Un lyrisme de l'éxpérience. 3. La ville, changeante mais peuplée de symboles 2eme axe : I/ Un poème à caractère autobiographique A/ Ambiguïté de l'énonciateur -Emploi

Lecture analytique 4 : Apollinaire, Alcools, « Zone » vers 1-24 Question : comment ce poème allie-t-il nouveauté créatrice et tradition pour transfigurer la réalité quotidienne ? Introduction - Guillaume Apollinaire est une des figures de l’avant-garde artistique du début du XXe siècle. Ami du peintre Picasso, du poète Max Jacob, il cherche dans son œuvre de nouvelles voies d’expression poétique, à l’instar des artistes de son temps. Il crée de nouvelles formes poétiques : les poèmes simultanés,

les livres. Il y a aussi les éditeur Grasset, ils sont les premiers à faire des panneaux publicitaires pour les livres et des articles dans les journaux pour parler des livres. 2.Les poètes de l’esprit nouveau (Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Blaise Cendrars)Guillaume Apollinaire ne fait pas usage de la ponctuation, il fait aussi des calligramme« L’esprit nouveau » vient d’Apollinaire lors d’une conférence en 1917, c’est une expression qui a été réutilisé ensuite pour parler de cette période

thématique lors de la lecture de la table des matières d’Alcools, on peut identifier certains thèmes récurrents. a)les femmes Alcools nous présente plusieurs titres dont certains renvoient à la femme. On note entre autres les poèmes « Clotilde, Annie, Marie, Marizibill, Rosemonde, Les femmes, La dame ». On remarque ainsi une expression forte de la femme dans l’œuvre Alcools. b) le voyage Les titres des poèmes qui ont pour thème majeur le voyage sont « Cortège, Le voyageur, Saltimbanques, La tzigane

Fête apollinaire : Apollinaire, engagé volontaire en 1915, ne fait pas exception à cette règle, allant jusqu'à s'écrier dans son recueil Calligrammes « Ah Dieu que la guerre est jolie ». Dans ce même recueil un poème qui décrit un bombardement s'intitule bizarrement « Fête ». Il est composé de cinq quatrains d'octosyllabes en rimes croisées, plus ou moins malmenés, dissimulés par la rythmique moderne que le poète tentait de créer en ce début du XXe siècle. Il y décrit une situation de guerre, mais

/ LPB 1 Guillaume Apollinaire, Alcools (1913). Modernité poétique ? « Clair de lune » 1 Lune mellifluente aux lèvres des déments Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands Les astres assez bien figurent les abeilles De ce miel lumineux qui dégoutte des treilles Car voici que tout doux et leur tombant du ciel Chaque rayon de lune est un rayon de miel Or caché je conçois la très douce aventure J’ai peur du dard de feu de cette abeille Arcture Qui posa dans mes mains des rayons décevants

et les fleurs nues des vignes   Apollinaire, Alcools     Alcools, « Mai »     Introduction   Poème du recueil Alcools, « Mai » fait partie de la section « Rhénanes », textes qu'Apollinaire a composé lors de son séjour au bord du Rhin. Alcools: recueil de poèmes écrit par Apollinaire. Mis en forme pendant près de 15 ans, se présente comme une sorte de carnet de bords des productions poétiques d'Apollinaire, faussement chronologique. (ex : Zone : premier alors que vraisemblablement

« Le pont de Mirabeau » Apollinaire (1912) Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en

ont choisi de tendre vers un “horizon” terrestre ou céleste, de prendre la route en ne regardant que devant soi. Ces poètes nomades, tels que Blaise Cendrars, Apollinaire ou Saint-John Perse privilégient le mouvement. En marchant dans Paris, Apollinaire voyage parmi un kaléidoscope de visages, une foule d’êtres humains. Il dépasse la “zone”, le cercle en parcourant même les contrées de sa mémoire. dans la poésie persienne, les figures de conquérants, parcourant les plaines et franchissant les montagnes