Apollinaire Alcools Zone

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La chanson du mal-aimé’’ (1909) poème de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici le texte puis son analyse Bonne lecture ! À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. 1 Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La chanson du mal-aimé’’ (1909) poème de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici le texte puis son analyse Bonne lecture ! À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. 1 Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard qu'il me jeta Me fit baisser les yeux

coffres et pilastres, nourrit un « Petit poème » issu du Cornet à dés de Max Jacob (texte B du corpus) ; les vers libres de la Prose du Transsibérien (Cendrars) qui traduisent le mouvement et le bruit même du train ; les vers libres de « Zone » (Alcools, Apollinaire) qui accueillent la présence des affiches et du bruit des sténodactylographes ; les « proêmes » de Ponge ; les emprunts contemporains au langage de la rue, de la publicité, des nouveaux médias, l’insertion de souvenirs de cinéma

révolte et son indignation a travers les arts poétiques. Tout d’abord, nous allons observer le désir d’un renouvellement de la poésie. Cela commence avec le rejet des valeurs anciennes et passées, comme le dit Guillaume Apollinaire dans son texte « Zone », extrait du recueil Alcools, il fait l’éloge de la modernité, en passant par la Tour Eiffel, des rues, des hangars et des industries, et rédige le blâme de l’ancienneté en se moquant de l’antiquité grecque et romaine ainsi que de la religion. Francis

de Mallarmé, les symbolistes se lancent à la pour­suite d’un art total, ayant l’opéra pour modèle. Ainsi ré­affir­ment-ils l’alliance ancestrale du lyrisme et de la musique, ainsi que le caractère idéal du chant. Au début du XXème siècle, Apollinaire dans “Zone” et Blaise Cendrars dans “Pâques à New-York” (1912) et “Prose du Transibérien” (1913) ouvrent au contraire l’espace du poème aux innovations du monde moderne dont s’étaient détournés leurs prédécesseurs. Ils vont jusqu’à célébrer le lyrisme

mourir dans une cité heureuse.SEQUENCE 2 Texte 5 "Zone", vers 1 à 24 Alcools, de Guillaume Apollinaire (1913) A la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'Antiquité

des blancs sur les noirs qui ignorent beaucoup de choses). PROLONGEMENT (LECTURES COMPLEMENTAIRES) Quelle image de l’homme noir les trois textes construisent-ils ? •Batouala, Véritable roman nègre de René Maran (1921) Dénonciation des blancs (alcool, comportements dégradants...). Mise en cause de la vie coloniale. •Voyage au Congo (1927) et Retour du Tchad (1928) d’André Gide « Saigneurs de caoutchouc ». Profit de la récolte des noirs pour les blancs (exploitation) -> pouvoir économique. •Tintin

met en avant le domaine du regard qui est souverain « zone » alcools, Apollinaire, 1913, du vers 1 a 24 Intro : Poème publié en 1912 ds une revue intitulée « les soirées de Paris » Dernier avant la publication du recueil « Alcools » Alcool-> occasion de se liberer des contraintes +ref a son addiction à l’écriture poétique. Et liberation ds l’écriture poétique des contraintes thematiques et formelles Avant d’etre « zone » ce poème était « cris », placé en tete du recueil ->engagement

poésie du début du XXeme siècle trouve une inspiration et de nouvelles formes d’écriture en relation avec une vision optimiste du monde industriel. La poésie abandonne la representation de l’iréel. Dans son poeme Zone, extrait du recueil de poésie Alcools, publié en 1913, Guillaume Apollinaire fait une critique de son époque qu’il trouve ancéstrale. Le poete est sensible a la modernité et décrit le parfait esthétique comme des formes d’art nouvelles, ce qu’on ressent dans l’originalité de la forme métrique

immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi. Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918) Zone (extrait) (Recueil : Alcools) « Zone » est le poème d'ouverture du recueil Alcools de Guillaume Apollinaire. C’est en changeant le titre du recueil Eau de vie en Alcools et en décidant de supprimer toute ponctuation que l’auteur rajoute en tête de l’ouvrage le poème « Zone », dernier écrit de l’ensemble: il donne ainsi à son recueil une orientation philosophique. À