Apollinaire Calligrammes Voyage

Cette forme poétique est composée de telle façon que la lecture, dans le sens vertical, de la première lettre de chaque vers donne un mot, souvent le sujet de ce poème. Apollinaire en a dédié à Lou. Adieu L’amour est libre il n’est jamais soumis au sort O Lou le mien est plus fort encore que la mort Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord Lettres Envoie aussi des lettres ma chérie On aime en recevoir dans notre artillerie Une par jour au moins une au moins je t’en prie Lentement la nuit noire

de partir vivre à Alger pour se rapprocher de sa famille. Camus s’avère être un très bon élève, et ira en hypokhâgne après son bac ; il obtiendra ensuite une maîtrise de philo. Néanmoins, il est atteint de tuberculose. Il fera de nombreux voyages en Europe, il vivra à Paris, où il sera coincé durant la 2nde Guerre Mondiale ; pour lui, cette capitale restera une ville grise où il s’y sent étranger. Ses premiers écrits sont en 1937, où il début L’Étranger (seulement publié en 1942). En 1957

que anthologie. L’illustration éclaire le sens de ces mots car on voit des carrées avec à l’interieur des caractères repréentés. Ces carrés représentent les extraits de poèmes présents dans les anthologies. Thème choisi pour l’anthologie : Le voyage À travers l’Europe A M. Ch. Rotsoge Ton visage écarlate ton biplan transformable en hydroplan Ta maison ronde où il nage un hareng saur Il me faut la clef des paupières Heureusement que nous avons vu M Panado Et nous somme tranquille

rythme est donné grâce aux coupes, aux césures, aux allitérations (en « p » vers 20-21) et assonances qui remplacent la ponctuation. choses matérielles évoquées avec précision poème-chose : matérialité du poème. Le poème devient objet (cf. Apollinaire et ses calligrammes). Vers de six syllabes à la fin (vers 31 à 33) pour un commantaire nostalgique. 2ème axe : le poète construit un poème pour se construire. a- dimension autobiographique il s'adresse aux lecteurs : « je » « vous » pronoms personnels

musical au sein du vers. Les assonances (répétitions d’une voyelle) et les allitérations (répétitions d’une consonne) permettent de créer une harmonie imitative : les sonorités en elles-mêmes expriment le sens du poème. Le lecteur peut alors vivre et voyager dans l’esprit du poète. Par exemple, dans Andromaque (1667), Racine écrit « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? ». Ici, l’allitération en [s] imite un sifflement, on peut l’assimiler à celui des serpents. Ainsi, les mots ont

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Zone’’ (1913) poème de Guillaume APOLLINAIRE figurant dans le recueil ‘’Alcools’’ On trouve ici : le texte son analyse Bonne lecture ! À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes 5 La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Zone (1913) pome de Guillaume APOLLINAIRE figurant dans le recueil Alcools On trouve ici le texte son analyse Bonne lecture la fin tu es las de ce monde ancien Bergre tour Eiffel le troupeau des ponts ble ce matin Tu en as assez de vivre dans lantiquit grecque et romaine Ici mme les automobiles ont lair dtre anciennes 5 La religion seule est reste toute neuve la religion Est reste simple comme

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Zone’’ (1913) poème de Guillaume APOLLINAIRE figurant dans le recueil ‘’Alcools’’ On trouve ici : le texte son analyse Bonne lecture ! À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes 5 La religion seule est restée toute neuve la religion Est

Poète symboliste français qui utilisa notamment le vers libre pour exprimer son angoissant sentiment de l'éphémère. Il perdit sa mère en 1877 et se retrouva seul à Paris. En 1881, il devint lecteur pour l'impératrice allemande Augusta, qui le fit voyager dans toute l'Europe. Mais la sécurité matérielle ne fit pas disparaître l'ennui qui le hantait et qui imprime sa marque à sa poésie. De retour à Paris en 1886, après s'être marié avec une jeune Anglaise, il succomba en peu de temps à une phtisie galopante

qu'il est intéressant de voir à travers les œuvres de plusieurs auteurs la perception commune d'une même société. (Horace (-65 à -8), Odes ; Lamartine, Les Méditations poétiques ; Victor Hugo, Les Contemplations ; Alfred de Musset, Les Nuits ; Apollinaire, Alcools ;…) La poésie engagée à elle aussi de tous temps exister mais elle s'est plus concrètement manifester lors de l'apparition de guerres civile, militaires, philosophique et surtout politique dans la fin des années 1800, le but de cette dernière