Apparence(s)

monde de Jésus par une vierge. Invraisemblable, mais article de foi pour Rabelais ! 2) Une controverse sur l’expression foy est argument des choses de nulle apparence (Saint Paul). a) La Sorbonne pense qu’il s’agit là d’une définition de la foi, et que celle-ci consiste donc à croire des choses invraisemblables (« de nulle apparence » de réalité). ⇒ Absence d’esprit critique, qui fait du croyant un simple naïf, prêt à croire n’importe quoi (citations ironiques des « Ecritures », confondues

cas. Voilà donc les composantes du "malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près" (126). C'est pourquoi nous avons besoin de palliatifs : l'imagination, les apparences, le divertissement. * L'imagination Pascal n'a pas de mots assez durs pour en parler : c'est l'un des "principes d'erreur" (41) ; "maîtresse d'erreur et de fausseté" (41), elle est toute puissante ("cette maîtresse d'erreur et de fausseté"

raison, sa capacité au langage (ce qui le définit véritablement comme homme), tandis que tel individu possède tels traits du visage, telle couleur de cheveux, etc. Or, ses attributs moins essentiels sont-ils pour autant moins réels ? ● Réalité et apparence (a) Héraclite : « Rien n'est permanent, sauf le changement » : les objets changent de couleurs en fonction des heures du jour, etc. Le réel n'est donc pas dans la fixité, mais au contraire dans la variété même de ses apparitions sensibles. (b)

différence, son identité : « Tandis qu’on me croyait ». Monde secret de l’adolescence : répétition de cacher « à me cacher », « de cacher les objets ».   c) Un caractère affirmé. caractère manipulateur de la marquise de Merteuil, qui joue sur son apparence, et dirige son entourage : « me montrer sous des formes différentes », « celle qu’il m’était utile de laisser voir ». elle se décrit comme indépendante d’esprit, se formant elle-même : « écoutant peu à la vérité les discours », j’essayai de guider

le chapitre et dans le conte qui consisterait à observer En quoi ce morceau d’éloquence sent-il la visée critique du conte ? -Trois volets peuvent être observés pour mesurer la portée du discours de Cacambo : 1) Les apparences logiques du discours 2) La dimension persuasive de Cacambo

aspects du comportementStructure du texte· L.1-5 : apparences physiques + style de conversation de Phédon qui est incapable de s’imposer· L.6-11 : comme phédon ne se fait pas écouter, il écoute les autre prend position de satellite par rapport aux autres courtisans· L.11-12 : insignifiance sociale du personnage exprimée par réduction physique, métaphorique et littéraire· L.20 : chuteAnalyse linéaireON/IL GITON/PHÉDON1. · L. 1-2 : apparences physiques  antithèse de Giton, pas de masse corporelle

VÉRITÉ, indépendamment des apparences. -Chaque individu est capable de le faire, mais cela exige beaucoup plus d’efforts que de se laisser porter par les pensées suggérées par les apparences. Penser selon les apparences est facile. Penser la VÉRITÉ — sans égard aux apparences – est laborieux et exige plus d’efforts que tout autre travail. -Pour la plupart des gens, c’est le travail le plus difficile au monde. C’est surtout vrai quand la VÉRITÉ est contraire aux apparences. On peut cependant le faire

texte présente la forme d’une prière en apparence, sachant que Voltaire est déiste cette prière est détournée et s’adresse, non pas à Dieu, mais aux hommes. C’est un appel à la tolérance entre les hommes. Il montre que les pratiques ou les rites religieux sont des sources de conflits entre les hommes. Voltaire appelle à la liberté dans la pratique de la religion ce qui rejoint son déisme. STRUCTURE DU TEXTE Ligne 1 à 5 : adresse de la prière à Dieu (en apparence) Ligne 5 à 19 : contenu de la prière

complicité envers les hypocrites aboutissent à une véritable inversion des valeurs ds la société du tps de Molière, comme le montre l’alliance contre-nature de la religion et du vice et thème du vice récompensé, d’où l’abondance d’antithèses (opposition apparence de vertu, réalité du vice) et de paradoxes à valeur de maxime : « l’hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertu » (67-69) NB : chiasme mettant en valeur l’inversion des valeurs ou “Combien […] ont la permission

Perturbateurs/hallucinogènes Son nom usuel Buvard, acide Qu’est-ce que c’est ? Le LSD fait partie de la famille des perturbateurs, c’est-à-dire qu’il agit sur le système nerveux central en perturbant les sensations et les perceptions de la réalité. Son apparence Le LSD se présente sous forme de buvard (un papier imprégné d’une goutte de solution de LSD), de comprimés, d’une micropointe (ça ressemble à un bout de mine de crayon) ou, plus rarement, sous forme liquide. Ses effets Le LSD est un puissant hallucinogène