Après la vie

peut affirmer son athéisme car lorsque Sganarelle le questionne sur l'existence du Ciel et de l'Enfer dans l'Acte III scène 1, Dom Juan réplique l.64 « laissons cela » et sur l'existence du diable il répond par l'ironie l.68 « Oui,oui », sur la vie après la mort, il rit l.70 « Ah!ah!ah! ». Malgré son indifférence apparente Dom Juan se sert de la religion à son avantage pour justifier ses actes : Acte I scène 3, Dom Juan justifie sa fuite par des scrupules, un péché qu'il a commit qui le ronge

cette perfidie ; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de voeux, de soupirs et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin et tant d'emportements qu'il a fait paroître, jusqu'à forcer, dans sa passion, l'obstacle sacré d'un couvent, pour mettre Done Elvire en sa puissance, je ne comprends pas, dis−je, comme, après tout cela, il auroit le coeur de pouvoir manquer

le 27 décembre 1585, trois semaines après avoir rédigé le sonnet en alexandrins (sonnet de type italien) « Je n’ai plus que les os… ». Il a encore composé la veille de sa mort, deux autres sonnets. Le sonnet étudié est extrait du recueil posthume Derniers Vers qui fut publié en 1586, au moment des obsèques officielles. Il paraît morbide et désespéré avec la description minutieuse de l'agonie, mais se termine sur une chute pleine d'espoir avec la croyance en la vie éternelle et la réunion au paradis

de dire qu’il est en majorité supérieur. Ainsi, l’idée que certaines religions comme le christianisme répondent au fait qu’il y aurait une vie après la mort ou une résurrection, montre l’absence de lien entre l’esprit et le corps. L’esprit est de manière transcendante supérieur au corps puisqu’il peut vivre sans sa présence. Par exemple, l’idée du paradis après la mort, montre que seul l’esprit est immortel et est donc supérieur au corps. Mais sans la présence du corps, l’esprit ne pourrait exprimer

alors il se cherche un nouveau but à sa vie. Alors beaucoup cherchent le bonheur, ce qui inclus parfois l’amour, la paix intérieur, la sensation d’être quelqu’un de bien, certains cherchent à trouver leur bonheur dans leur malheur, ou encore à le semer mais des fois un sentiment beaucoup simple le bonheur. D’autre vouent leurs vies aux autres, aux enfants aux pauvres. D’autres encore cherchent un but à leur vie toutes leur vie. Enfin cherchent à dépasser leur vie à ce qu’il reste vivant dans la mémoire

par précaution, je t'apprends, inter nos, que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a épousé ta maîtresse: crois qu'il aurait plus

 La vie, la mort Dans le film qu'on a écouté en classe, Socrate parle de la mort et dit que la mort serait peut-être une délivrance de la vie. Moi je crois que la mort ne doit pas être si pire que ça, c'est juste la peur de l'inconnu qui est effrayante. Certains, dirons qu'avant de vivre il n'y avait rien alors c'est sûre qu'après ce sera le néant. On peut nier la mort en prétendant qu'elle n'est pas réelle, qu'il ne s'agit que d'une illusion. À première vue, il semble s'agir d'une solution

apprenant à se poser des questions qui se rapportent à ce monde dont nous n’avons plus de connaissances. Heureusement, des personnes sont là pour nous rappeler qu’il existe une autre vie après la mort, une vie éternelle où toutes connaissances passées et futures y sont rassemblées. Au fur et à mesure de notre vie d’ignorance les personnes plus âgées nous apprennent leurs connaissances, acquises jusqu’aujourd’hui, pour qu’à notre tour nous puissions faire de même avec nos enfants. Les évolutions

nous-mêmes. Le cinéaste Woody Allen est, par exemple, le maître incontesté de la dérision. Il suffit de se souvenir de l’un de ses propos, d’ailleurs proposé l’année dernière comme sujet de dissertation, pour s’en rendre compte : « Je ne crois pas à la vie après la mort, mais au cas où, je prendrai des vêtements de rechange ». En réalité, Woody Allen, par ses paroles, rit de ses faiblesses en se moquant de ses propres angoisses face à la mort. Dans le même domaine, mais à un tout autre niveau d’humour,

d'abord nous allons voir que dans la vie des hommes il n'y a pas une très grande place pour le merveilleux. En développent les points comme : l'éducation (familiale ou scolaire) exige de nos jour un minimum de compétence scientifiques de la part des enfants. Ce qu'on nous inculque la société de nos jour est ce qui nous servira demain. la science explique tout (ou presque) comme l’apesanteur, les mathématiques, certains faits surnaturels ou même la vie (Cf.Charles Darwin) Ensuite, nous