Aquifère

Important c: Assez important d: Pas important du tout e: Je ne sais pas   a Procéder à une planification préalable (par ex. le nombre de puits prévu, l'espace entre les puits, la distance jusqu'aux zones résidentielles, les aquifères et les zones * protégées)   Evaluer les risques liés aux formations souterraines (géologiques) avant de décider d'entreprendre un forage et une * fracturation hydraulique   b c d e Définir les risques opérationnels

Zélande. 3) Deux grands types d’utilisation Pour le chauffage : Extraire la chaleur contenue dans la croûte terrestre afin de l’utiliser pour les besoins en chauffage. On peut, pour cela, utilisé l’énergie du sous sol ou récupérer l’énergie dans un aquifère, nappe d’eau souterraine permanente située entre quelques centaines et plusieurs milliers de mètres de profondeur et donc la température est comprise entre 30 et 100 degrés. Pour l’électricité : Il y a 350 centrales géothermiques qui en produisent

souterraines : elles proviennent du sous-sol (aquifères ou roches réservoirs) captées par sources naturelles ou forages, de l’infiltration des eaux de pluie dans le sol par gravité dans les pores, les microfissures et les fissures des roches. Elles humidifient les couches de plus en plus profondes jusqu’à rencontrer une couche imperméable où elles s’accumulent formant un réservoir d’eau souterraine. Environ 95% d’eau douce est stockée dans ces aquifères phréatiques et une grande partie que nous consommons

d'électricité géothermique consiste à convertir la chaleur des nappes aquifères à haute température (de 150 à 350°C) à l'aide de turboalternateurs. La première centrale géothermique a été construite en 1904 sur le site de Larderello en Italie. * La technologie du cycle binaire Mis au point au début des années 80, le principe de production binaire d'électricité géothermique repose sur l'utilisation de l'eau des nappes aquifères pour chauffer un fluide intermédiaire (isobutane, isopentane, ammoniac)

urbaines Zones géologiques défavorables Elément Tissu urbain actuel et en projet Principales formations aquifères p q affleurantes Zone de fracturation tectonique Forêts Zones naturelles à protéger Mattoral du domaine forestier SIBE et PN Zone culturelle/Site Historique Site historique/ Site archéologique 1 Km - Aires des nappes p pp phréatiques q - Aires des couches de recouvrement des formations aquifères 100 à 60 m 300 m 300 m 1000 m 500 m 105 Périmètre de sécurité Sous Etape 2 : Identification des éléments d’EEEL

seule propre à la consommation, est difficilement accessible (glaciers, eaux souterraines). Il existe de plus, une grande diversité des ressources aquifères selon les pays. On parle d'un stress hydrique plus ou moins fort. Plus le stress hydrique est fort, plus l'eau est rare et devient un enjeu géopolitique. Les ressources aquifères d'un pays varient selon des facteurs climatiques et topographiques. Le fait qu'il y ait beaucoup d'eau par habitant dans un pays ne veut pas signifier qu'elle

ressources en eaux souterraines, en décembre 2008, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution A/RES/63/124 sur le « droit des aquifères transfrontières ». Par cette résolution, l'Assemblée générale des Nations Unies encourage les Etats aquifères à conclure des accords bilatéraux ou régionaux appropriés pour gérer convenablement leurs aquifères transfrontières en tenant compte des dispositions du projet d'articles » figurant en annexe. Au niveau régional, un certain nombre d'accords

eau douce n’est qu’un aspect de la crise mondiale. Nous sommes de plus en plus nombreux à être menacés aussi par sa qualité. La croissance démographique, l’industrialisation et l’urbanisation ne font pas qu’épuiser les lacs, les rivières et les aquifères ; elles les polluent également. Déjà, l’accès à l’eau potable fait défaut à plus d’un milliard de personnes ; trois milliards d’êtres humains n’ont pas accès à un réseau d’as-sainissement. La pénurie d’eau met en péril la vie de millions de gens

ruissellement de surface. Au niveau du périmètre d’étude du RUE « Plateau de Belle-vue », on observe des axes de ruissellement concentré (risques faible à moyen). Le site du RUE se trouve au droit de la formation aquifère supérieure des « Schistes houillers », ainsi que d’une formation aquifère inférieure, celle des « Calcaires du primaire ». Aucun captage ne se situe au niveau du périmètre d’étude. Le captage le plus proche (dépourvu de zone de prévention) se trouve à minimum 130 mètres du périmètre

intégrer trois aspects majeurs : ■ la disponibilité de la quantité d’eau nécessaire au forage et à la fracturation, ■ le recyclage et le traitement de l’eau utilisée pour un usage ultérieur, ■ la prévention d’éventuelles contaminations d’autres aquifères par les fluides de forage. Document 5 a : ordre de grandeur du volume d’eau et de produits chimiques nécessaires à la réalisation d’un forage et sa fracturation hydraulique Volume en mètres cubes Volume en piscine olympique Volume en camion