Arche naturelle

Le gaz de schiste, également appelé « gaz de roche mère » ou « gaz de shale », est un gaz d'origine naturelle, généré par la décomposition d'argile riche en matières organiques, et extrait à partir de terrains marneux ou argileux[] Contrairement au gaz naturel, il est piégé dans les roches poreuses qui le produisent, et il est nécessaire de détruire la structure de ces roches pour pouvoir le récupérer. Il joue un rôle croissant dans l'approvisionnement en gaz aux États-Unis depuis le début du XXIe siècle

l’objectif n°7, c’est-à-dire, « assurer un environnement durable ». Il repose sur 4 cibles. Ces 4 cibles, en résumé, veulent intégrer les principes du développement durable dans les politiques internationales afin d’éviter la déperdition des ressources naturelles et de la biodiversité et de réduire le manque d’accès à l’eau potable et les habitations précaires. 1- LES CAUSES DE LA DEGRADATION DE L’ENVIRONNEMENT Si l’objectif N°7 a été fixé, c’est bien parce que notre monde fait face actuellement à de

extérieure ? Si c’est le cas, on peut alors se demander qui est autorisé à me dire « Tu dois », c’est à dire qui a le droit de me dicter mon devoir. Le droit est ce qui est légitime ou légal, ce qui est permis par des règles non écrites, le droit naturel (l’ensemble des prérogatives que tout homme est en droit de revendiquer, du fait même de son appartenance à l’espèce humaine), ou par des règles codifiées, le droit positif (l’ensemble des règles qui régissent les rapports entre les hommes dans une

domaines (l'habitat, les transports automobiles, les matières plastique ou encore l'agriculture). Le pétrole étant une énergie fossile ( énergie produite à partir de roches issues de la fossilisation des êtres vivants comme le pétrole, le gaz naturel et l'houille), elle n'est pas renouvelable (il faut 2 millions d'année pour former un litre de pétrole et quelque minutes au moteur d'un voiture pour le consommer) Cette consomation est passée de 2 800 millions de tonnes en 1973 à 4 900 millions

l'étape de l'incinération), préserver les sols (pas d'enfouissements), de préserver les ressources naturelles (le recyclage), d'améliorer la valorisation des déchets recyclables (moins de déchets limite le temps au centre de tri.), de limiter les coûts de production des matières et de traitement des déchets, elle permet aussi la participation éco-citoyenne** à la protection des énergies naturelles et de l'environnement en général, cela entraîne un changement de comportement dans l'achat et l'utilisation

international. Pays situé au cœur de l'Asie du Sud, le développement du tourisme au Vietnam n'est pas en dehors de la tendance globale de ce développement à l’échelle régionale et mondiale. Ce développement est facilité par une ressource naturelle et humaine abondante. L’attractivité de l’offre touristique est aidée par des services de plus en plus étendus et une stabilité politique et sociale. Le Vietnam est de plus en plus visité. Cependant, le développement du produit touristique du Vietnam

Évaluation économique de l’environnement: théorie et pratique Guillaume Lescuyer CIRADCIRAD-CIFOR, Ydé lescuyer@cirad.fr IEPF - MOGED 18-29 novembre 2007, Alexandrie MODULE DE FORMATION EN ECONOMIE ET POLITIQUE DE GESTION DES RESSOURCES NATURELLES Rationalité de la gestion économique de l’environnement Problème: la dégradation de l’environnement vient de la non-prise en compte de l’ensemble de ses bénéfices (« externalités ») Objectif: mettre les biens et services environnementaux au

droit d'ailleurs. Mais, est-ce que ces deux notions sont nécessairement accolées ? Il y a deux approches opposées : * Elle distingue fortement l'Etat et le droit : c'est l'approche justnaturaliste (droit naturel) qui admet qu'au-dessus du droit posé par l'Etat, il existe un droit naturel qui s'impose à lui. * L'approche dite positiviste (droit positif) qui estime qu'il n'existe que le droit posé par l'Etat (en droit constitutionnel, c'est la Constitution). La morale n'a rien à voir avec le

(Molina & Cámara 2005, Molina et al. 2004). Les habitats les plus grands correspondraient à des places centrales, d’où les élites dirigeantes pouvaient contrôler de vastes territoires, les réseaux de distribution, ainsi que certaines ressources naturelles comme les affleurements de cuivre. Parallèlement, les petits habitats seraient des communautés agricoles dépendantes, obligées de payer un tribut aux premiers. Outre les différences de taille entre les établissements, viendraient principalement

prendre des décisions à long terme en matière d'environnement et de développement durable. Il est composé de 6 grand groupes : lutter contre les changements climatiques et maîtriser la demande d’énergie, préserver la biodiversité et les ressources naturelles, instaurer un environnement respectueux de la santé, adopter des modes de production et de consommation durables, construire une démocratie écologique, et promouvoir des modes de développement écologiques favorables à l’emploi et à la compétitivité