Archipel Juan Fernández

comédie ; Eschyle et Sophocle ont, eux, produit de grandes tragédies. 27 Le cours • Au e siècle, le théâtre classique a repris cette distinction : Molière a écrit des comédies célèbres (L’Avare, Le Bourgeois Gentilhomme, Le Misanthrope, Don Juan, Le Malade imaginaire, etc.) ; Pierre Corneille et Jean Racine, des tragédies non moins fameuses (par exemple, Le Cid, pour le premier ; Phèdre, pour le second). • Le théâtre baroque, lui, n’hésitait pas à mélanger dans une même pièce le comique et

siècle ; il rêva la gloire des Mungo-Park, des Bruce, des Caillié, des Levaillant, et même un peu, je crois, celle de Selkirk, le Robinson Crusoé, qui ne lui paraissait pas inférieure. Que d’heures bien occupées il passa avec lui dans son île de Juan Fernandez ! Il approuva souvent les idées du matelot abandonné ; parfois il discuta ses plans et ses projets ; il eût fait autrement, mieux peut-être, tout aussi bien, à coup sûr ! Mais, chose certaine, il n’eût jamais fui cette bienheureuse île, où il

327-341. Fernández Casas F. J., Molero J., Montserrat J.M. & Romo A.M. 1987. Iter maroccanum anno 1985 ieiunii tempore perfectum. Treb. Inst. Bot. Barc. 11: 1-44. Fernández Casas F. J. & Pizarro Domínguez J. M. 2007. Acerca de Narcissus obsoletus (Haworth) Steudel (Amaryllidaceae). Adumbr. Summae Ed. 24: 1-22. Fernández Casas F. J. & Suzanna de la Serna A. 1982. De Centaureis occidentalibus notulae sparsae. 3. Fontquiera 1: 1-8. 37 Flore de Tunisie : catalogue synonymique Fernández-Carvajal

lois éternelles qui soutiendra le corps fatigué de la race humaine, le défendant contre le temps et les choses, et l’incitant en même temps à la contemplation dynamique de la montagne, de la forêt et de l’estuaire américains. J’aimerais imaginer un archipel d’universités et de centres de culture, refuge de toutes les possibilités suprêmes de l’homme en cet instant historique, s’élevant pour suivre de près les illustres savants que les Etats-Unis offrent à l’admiration des anciennes civilisations. Je