Architecture Contemporaine

plus en plus visitée par des touristes et ses logements exercent un nouvel attrait auprès d'une population de cadres et de professions intellectuelles. III) Le Corbusier a conçu trois plans de villes idéales : la "ville contemporaine de trois millions d'habitants", la "ville radieuse" et, plus tard, une ville linéaire. Son regard sur la ville de son époque est très critique : il la trouve malade, chaotique, propre à déclencher une révolution. C'est ainsi qu'il cherche à

LA PYRAMIDE DU LOUVRE I Présentation de l’œuvre Nature/genre de l’œuvre : architecture a vocation culturelle Artiste : Ieoh Ming Pei Date de construction : de 1983 à 1989 Dimensions : 21,64m de hauteur, 35,42m de largeur Lieu : Paris Catégorie : Arts de l’espace Informations sur l'artiste : Ieoh Ming Pei est né le 26 Avril 1917 à Guangzhou en Chine. C'est un architecte américain d'origine chinoise connu pour ses grandes, complexes mais élégantes constructions urbaines. Pei est allé au Etats-Unis en

(université Harvard) ou il est resté 1 an. Frank GEHRY fraîchement diplômé d'architecture de l'université de Los Angeles, il côtoie peintres et sculpteurs et découvre la culture européenne (des églises romanes à Le Corbusier), qu'il oppose à une architecture californienne sans respect pour l'environnement. Des années plus tard, il résumera : « J'étais un libéral engagé et j'aimais l'art, et ces deux faits réunis ont fait de moi un architecte. » Il a travaillé dans de nombreuses agences, celle de Welton

études d’architecture à l’Université Technique de Münich et travail en collaboration avec différents bureaux d’architecture, en France, à Avignon chez Douine+Prunis, puis en Suisse, à Genève, chez Favre+Guth. En 1986 il obtient son diplôme en architecture à l’Université Technique de Münich. La même année, il travail en Suisse à Zürich dans le bureau d’architecture Betrix et Consolascio. En 1987, il crée le bureau d’architecture Allmann Sattler Wappner à Münich en collaboration avec Amandus

formule de coopération, d’association, de partenariat et non pas l’asservissement de l’architecte algérien. b. C’est quoi un architecte : On comprend par là que le rôle de l’architecte est prépondérant pour l’avènement d’une architecture de qualité. A partir de là, on est on droit de se poser ces questions : qu’est ce qu’un architecte, son domaine et ses prérogatives, a ces questions l’architecte J-J Deluz nous renvoi a 4 points indissociables que sont :

Architecture et développement durable ... Défis du XXI eme siècle. Jacques Ferrier, né le 16 février 1952, originaire de l'Aude dans le sud de la France, il sort de l'école centrale d'ingégnieurie (centrale des arts et manufacture) de paris en 81 pour devenir quelle que année plus tard Architecte DPLG. Il travaillera ensuite chez NORMAN FOSTER et associés, au siège londoniens. Et décide de fondé son propre bureau en 90 et reçoit déjà son premier prix en 93 pour le Centre de recherche des

exprime, accélère et transforme nos pratiques, nous devons le prendre en compte : − − − Nous, architectes, urbanistes, artistes, designers, devrons nous approprier ces « virtualités» inévitables : nouvelles architectures, changeantes, évolutives, sensuelles, fragmentées, architectures paramétriques ou protéiformes. L'accès individuel aux images virtuelles et aux informations publiques, par les habitants, les techniciens, les politiques qui habitent la ville ou la gèrent, nous autorise à une

sa formation au baccalauréat professionnel ; B)- celui de ses expériences professionnelles ou personnelles liées à son étude ou sa pratique de la langue étrangère concernée ; C)- celui de la culture quotidienne, contemporaine ou patrimoniale du ou des pays où la langue étrangère étudiée est parlée, le candidat pouvant s'exprimer sur une œuvre étrangère (œuvre littéraire, picturale, musicale, architecturale, cinématographique, etc.), sur un objet ou produit du design

références artistiques qui dominent à la fois dans notre imaginaire collectif, mais aussi sur des supports de médiation contemporaine. L'opération est drastique, la mise en scène du "tableau" perfectionniste et l'éclairage maîtrisé, l'image sape l'authenticité de la photographie jusqu'à se confondre à l'esthétisation d'une peinture hyperréaliste, autrement artificielle. Dans une architecture paradoxale où la tradition picturale et photographique se rejoignent, l'épreuve, fixée sur un gigantesque caisson

d’appréciation d’une architecture, où la subtilité d’une mise en relation d’éléments natifs autre, nouvelle, met en avant la richesse de significations au dépens de la clarté de lecture. Une profondeur devant laquelle le spectateur devient lecteur et ne fait plus qu’éprouver, subir, mais s’approprie, découvre et comprend. Une poésie que l’on retrouve dans les projets des plus grands comme dans certains édifices de l’ordinaire. Robert Venturi, dans son ouvrage De l’ambigüité en architecture, se confronte