Armand Huysmans

Commentaire Composé : La retraite de M.Bougran, HUYSMANS. Introduction : Le romancier naturaliste Joris-Karl Huysmans, auteur de l’œuvre à analyser, La retraite de M. Bougran (1888), fit toute sa carrière dans le ministère de l’intérieure puis le dernier quart du siècle il se dédiera a la critique de l’art. M. Bougran, un travailleur de l’état fut mis à la retraite prématurément. Le personnage principal ne put pas vivre dehors le cadre de l’administration publique donc il invente un travail. Nous

du Conseil qu'il tient le coupable. Alfred Dreyfus achevant une période de deux années de stage, est convoqué pour une inspection générale au ministère de la Guerre où il se rend en civil. En raison des soupçons pesant sur celui-ci, le commandant Armand du Paty de Clam lui demande d'écrire une lettre. Au cours de la dictée, le 15 octobre, il est arrêté sur ordre du général Mercier et accusé de haute trahison. Il proteste de son innocence et est incarcéré à la prison du Cherche-Midi. Le commandant

Chapitre 3: L'audience -D'Artagnan rencontre M. de Tréville qui semble heureux de faire sa rencontre. Par la même occasion, il apprend le nom d'un autre mousquetaire Athos. Il voit ces mousquetaires comme "des demi-dieux" et leur chef comme un "Jupiter olympien armé de toutes ces foudres". -M. de Tréville s'arrête devant Porthos et Aramis et leur apprend que le roi recrutera les mousquetaires du cardinal car ce dernier a perçu les mousquetaires (du roi, c'est-à-dire, Porthos, Athos, Aramis et

Tréville avait pris le côté faible de son maître, et c’est à cette adresse qu’il devait la longue et constante faveur d’un roi qui n’a pas laissé la réputation d’avoir été très fidèle à ses amitiés. Il faisait parader ses mousquetaires devant le cardinal Armand Duplessis avec un air narquois qui hérissait de colère la moustache grise de Son Éminence. Tréville entendait admirablement bien la guerre de cette époque, où, quand on ne vivait pas aux dépens de l’ennemi, on vivait aux dépens de ses compatriotes

Tréville avait pris le côté faible de son maître, et c’est à cette adresse qu’il devait la longue et constante faveur d’un roi qui n’a pas laissé la réputation d’avoir été très fidèle à ses amitiés. Il faisait parader ses mousquetaires devant le cardinal Armand Duplessis avec un air narquois qui hérissait de colère la moustache grise de Son Éminence. Tréville entendait admirablement bien la guerre de cette époque, où, quand on ne vivait pas aux dépens de l’ennemi, on vivait aux dépens de ses compatriotes

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chevalerie, capable d'inspirer des exploits héroïques aux braves. M. de Tréville, capitaine des mousquetaires du roi : Jean-Armand du Peyrer, comte de Tréville Mme de Chevreuse ; D'Artagnan : Charles de Batz de Castelmore d'Artagnan avait treize ans en 1625, date à laquelle Dumas situe le début du roman. Il aurait eu 15 ans au moment du siège de La Rochelle ; Athos : Armand de Sillègue d'Athos d'Autevielle ; Porthos : Isaac de Portau ; Aramis : Henry d’Aramitz ; Les gardes du Cardinal ; Les

avait pris le côté faible de son maître, et c’est à cette adresse qu’il devait la longue et constante faveur d’un roi qui n’a pas laissé la réputation d’avoir été très fidèle à ses amitiés. Il faisait parader ses mousquetaires devant le cardinal Armand Duplessis avec un air narquois qui hérissait de colère la moustache grise de Son Éminence. Tréville entendait admirablement bien la guerre de cette époque, où, quand on ne vivait pas aux dépens de l’ennemi, on vivait aux dépens de ses compatriotes

Tréville avait pris le côté faible de son maître, et c’est à cette adresse qu’il devait la longue et constante faveur d’un roi qui n’a pas laissé la réputation d’avoir été très fidèle à ses amitiés. Il faisait parader ses mousquetaires devant le cardinal Armand Duplessis avec un air narquois qui hérissait de colère la moustache grise de Son Éminence. Tréville entendait admirablement bien la guerre de cette époque, où, quand on ne vivait pas aux dépens de l’ennemi, on vivait aux dépens de ses compatriotes :

Les Trois Mousquetaires : « Le premier lundi du mois d’avril 1625, le bourg de Meng » voit le jeune d’Artagnan, cadet de Gascogne allant à Paris chercher fortune dans les mousquetaires, muni d’une lettre de recommandation de son père pour M. de Tréville, commandant des Mousquetaires.  Sur la route, D’Artagnan se voit humilié par Rochefort en présence de la belle Milady, tout deux agents de Richelieu, et dérober sa lettre de recommandation. Arrivé à Paris, d’Artagnan se retrouve avec trois duels