Armée de Dumbledore

et Polynice, frères jumeaux, avaient tous les deux le droit de régner sur Thèbes. Ils se livrèrent, malgré les efforts d’Antigone et d’Ismène pour les réconcilier, une guerre sans merci. Alors qu’Eteocle régnait à Thèbes, Polynice arriva avec une armée, assiégea la ville, causant de nombreuses destructions. Les deux frères se battirent en duel et s’entretuèrent. Or, le roi qui succéda aux frères ennemis, Créon, l’oncle d’Antigone, décréta que Polynice, puisqu’il avait assiégé la ville, n’aurait pas

rationalisation – récurrents – recouvrement – standardiser À l’issue de sa dernière réunion, la direction financière a publié le communiqué suivant, à diffuser largement auprès du personnel de toute l’entreprise. Afin que l’entreprise soit toujours plus armée face à la concurrence, nous demandons : — aux équipes de conception, d’uniformiser au maximum nos produits, avec un effort particulier sur l’optimisation du processus de fabrication ; — aux équipes commerciales, de travailler à l’étude d’un panel

douce Capucine. Celle-ci sera-t-elle de taille à lutter contre les terribles instincts de son protégé ? Tome 3 : Le Jugement du guerrier Le moment de la terrible rencontre est arrivé. Sigrif le furet, seigneur de la guerre, suivi de son armée de renégats, est au pied de Salamandastron. Tout en haut de sa forteresse, Solaris le blaireau, son ennemi de toujours, guette le sinistre furet. Dès qu'il l'aperçoit, il sent bouillir en lui le sang de ses ancêtres et fonce tête baissée... R JAC

n’est jamais revenu ? répéta aussi James. Mais enfin, c’était le fantôme de la maison Gryffondor. Qui est notre fantôme désormais ? À nouveau, Sabrina secoua la tête. — Nous n’en avons plus. Certains d’entre nous espéraient que ce serait le vieux Dumbledore, mais ça n’a pas marché. — Mais… James s’arrêta, ne sachant comment continuer. Chaque maison avait un fantôme. Pourquoi pas eux ? Il pensa à la forme spectrale du jeune homme silencieux qu’il avait vu sur la pelouse le matin même. 48

– « sauf pour la gloire, il aurait mieux valu que Napoléon n’existe pas » – qui jugeait toutefois que la gloire napoléonienne était éternelle et avait donné aux Français une haute image d’eux-mêmes, de leur valeur guerrière. « Quand la Grande Armée n’était composée que de Français, elle n’a jamais été vaincue », plastronnait-il. Sans doute songeait-il que la gloire napoléonienne ne serait pas de trop pour restaurer la flamme d’un peuple humilié, laminé, détruit par la défaite de 1940.