Arménien

destinée les « lois mémorielles » votées dans les années 1990 : La loi Gayssot du 13 juillet 1990 condamne le négationnisme et intègre la mémoire de la Shoah aux devoirs du citoyen français. Deux lois en 2001 prônent la mémoire du génocide arménien de 1915 et le statut de crime contre l'humanité de la traite négrière et de l'esclavage. Le négationnisme consiste à nier l'existence du Génocide, des camps d'extermination et de la solution finale, puis par extension, la négation des crimes contre

civils 1. Pendant la Première Guerre mondiale, des civils globalement épargnés mais des exemples de violence • L’arrière globalement à l’abri mais des exactions dans les territoires occupés • Un premier génocide : les Arméniens en 1915 2. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la généralisation des violences contre les civils • La mise en oeuvre de la solution finale : un génocide à l’échelle européenne • Les civils victimes ciblées des bombardements

reconnaître symboliquement les mémoires blessées. Ainsi, la loi Gayssot du 13 juillet 1990 condamne le négationnisme, c’est-à-dire la négation de l’existence du génocide des juifs par l’Allemagne nazie. En 2001, deux lois défendent la mémoire du génocide arménien de 1915 et reconnaissent la traite négrière et l’esclavage comme étant des crimes contre l’humanité. Enfin, les souffrances et les sacrifices endurés par les rapatriés à la suite de la décolonisation sont reconnus en février 2005.

l’effort de guerre (première partie). Elles ont aussi été des guerres d’anéantissement particulièrement brutales et meurtrières pour les civils (deuxième partie). Elles ont connu enfin les premiers génocides de l’histoire du XX° siècle, celui des Arméniens en 19141918, celui des Juifs et des Tsiganes en 1939-1945 (troisième partie). Développement Première partie : La mobilisation des civils pour l’effort de guerre. Les civils ont participé à l’effort de guerre sous des formes diverses. – Comme combattants

propagande sont censées garder le moral. 2) A l’arrière, les gens souffrent des bombardements, du manque de nourritures et des produits de première nécessiter. 3) La violence de masse peut s’exercer contre des populations civils avec le génocide des Arméniens en 1915. II) La transformation de l’Europe A) La vague révolutionnaire en Europe 1) En Russie, l’empire Russe était mal préparer à la guerre. Privation, augmentation des prix, et la mort des soldats ont augmentés le mécontentement du peuple.

9 mai 1998, l'Assemblée nationale adoptait en première lecture une proposition de loi faite d'un article unique : « la France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915 ». On peut douter que cette proposition devienne jamais une loi, les réactions au vote du 29 mai laissant attendre une intensification des pressions diplomatiques en cas de poursuite du processus législatif. Ce probable inachèvement suffirait à exclure tout commentaire, si le texte proposé à l'approbation n'était

à réellement fait son apparition en France dans les années 60 à cause de l’ignorance et du mépris que portait les jeunes à la Seconde Guerre Mondiale. Le devoir de mémoire s’applique sur beaucoup de chose et pas seulement au nazisme. Le génocide arménien par les turques (reconnu en France), la traite des nègres et l’esclavage très présente en Afrique et mené par des pays comme la France durant de très longues années. Mais pourquoi vouloir se souvenir de tels évènements ? Pourquoi vouloir parler

donc efficaces(ossuaires+monuments pour les morts),(la tombe du soldat inconnu) (on estime pratiquement 10 millions de civils morts Bombardements +mort infantile L’épidemie de la gripe espagnole tue environ deux millions de gens Génocide des arméniens :2 millions de morts (blessés,mutilés,gueules cassées,invalides: 20 millions :pension(ils ne peuvent plus travailler) (des millions de veuves et d’orphelins Traumatisme,manque d’argent (”classes creuses”(déficit de naissances,couple séparées)

L'arrivée des soldats pendant la guerre provoque des violences contre les populations, qui sont obligés de fuir. Leurs maisons sont mises à feu. La limite entre les lieux de combat et l'espace civil n'existe plus, tout devient militaire. Le génocide arménien de 1915 provoque près d'un million de morts, il s'agit de personnes assasinés sur place ou lors de vastes opérations de déportation. Les populations civiles sont plus exposées à la mort pendant cette guerre, que lors des précédents conflits. Dans

rationnement, les civils subissent également des violence plus marquées, en particulier dans les territoires occupés, ou a l'arriere front, ou les bombardements se multiplient. La violence faite aux civils trouve sont paroxisme avec le génocide des arméniens, minorité chrétienne de l'empire Ottoman, victime de déportation et de massacres. Bilan humain: 10 millions de morts, 20 millions de blessés ( France : 1,5 million de morts), 3 millions de veuves et orphelins, véritable traumatisme qui débouche