Art Poétique De La Fontaine

mineur à l’époque : une tragédie classique est toujours en cinq actes, une comédie peut-être en trois ou cinq actes. La règle des trois unités doit être respectée : unité de lieu, unité de temps, unité d’action. Elle est définie par Boileau dans son Art Poétique : « Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli/Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli ». La bienséance doit aussi être assurée : « Ce qu’on ne doit point voir, qu’un récit nous l’impose/Les yeux en le voyant saisiront mieux la chose/Mais

vieilles formes poétiques du Moyen Age et en transformant la langue française. * Joachim Du Bellay : « Défense et illustration de la langue française » qui renouvelle l’art poétique. On utilise divers principes : * L’enrichissement de la langue : on utilise des mots techniques, des termes dialectaux et on enrichie le style avec des figures de rhétorique. * L’imitation des anciens : on se nourrit des œuvres antiques pour renouveler l’inspiration. * Un nouvel art poétique : retour des

I – Apologues = petites histoires qui forment l’esprit et le cœur {text:soft-page-break} 1) Raisons liées à leur forme a) La nature même de la fable et de l’apologue est de présenter un récit à visée moralisatrice (ex de Ésope, Phèdre et La Fontaine qui chacun en leur temps écrivent l’anecdote du corbeau et du renard pour dénoncer les flatteurs et ceux qui aiment être flattés). b) L’objectif premier de la fable : écrite en priorité pour l’instruction, Ésope et Phèdre ne s’attardent pas sur

moins fait éprouver un sentiment tout à fait éphémère. Mais Baudelaire n’est pas le seul a s’exilé volontairement et a en éprouvé le besoin. En effet, Saint-Amant énonce « Oh ! que j’aime la solitude » dans son poème « Solitude » extrait d’Oeuvres poétiques. Il montre ainsi que son isolement est désiré et apprécié. Enfin, le poète est aussi un homme incompris qui se posent de nombreuses questions sur le monde qui l’entoure. Musset nous livre dans « Ballade à la lune » certaines de ses interrogations

fiction : Mensonge ; fait imaginé, opposé à réalité ; création de l'imagination, en littérature. apologue : Récit court et plaisant porteur d'un message, d'une morale. Candide et L�Ingénu de Voltaire sont des apologues. Les Fables de La Fontaine sont également des apologues. pouvoir : Du latin populaire potere, réfection du latin classique posse, «être capable de ». 1° Verbe : avoir la possibilité, la faculté de. 2° Avoir le droit, l'autorisation de. 3° Nom : puissance, aptitude à

(L’Astrée) | |4. Le classicisme, seconde moitié du 17ème : Règne de Louis 14 |Recherche l’équilibre et l’harmonie. Idéal esthétique répondant à des règles strictes (règles de trois unités) La poésie: fable |Molière(Tartuffe) Boileau(Art poétique) de La Fontaine(Fables) assis sur une Racine(Bérénice) regardant les Corneille(Horace) | |Les Lumières, 18ème siècle Règne de Louis 15 et 16 Affaiblissement du pouvoir royal |Développer l’esprit critique et lutter contre les préjugés Valorisation du

bourgeois aisés, les étudiants, à qui les Jésuites ont donné le goût du théâtre aiment les divertissements intelligents. Les érudits les critiques et les doctes impose de nouvelles exigences esthétiques en s’appuyant sur la lecture des Anciens. Un art légitime Le théâtre, autrefois associé aux lieux mal famés, devient un endroit respectable. 1641:Edit royal affirmant la dignité d’un métier qu’une partie du clergé condamne encor Le temps des chefs-d’œuvre Une poignée de chefs-d’œuvres signés Molière

renaissante qui refuse cet héritage, mais prône l’imitation des poètes antiques et des poètes italiens, auxquels ils empruntent les formes (odes, sonnets…) et les thèmes de PETRARQUE ; ils défendent la langue française en la valorisant par l’écriture poétique, la poésie engagée qui face aux guerres de religion (fin XVI°) défendent les Catholiques comme RONSARD ou les Protestants comme D’AUBIGNE, et développent la satire. Formes et thèmes De même qu’à cette époque des groupes de poètes se forment comme

très général, une sorte de structure ou d'ordre qui caractériserait les savoirs et les discours entre 1630 et la Révolution. Ses thèses intéressantes et controversées seront présentées durant le cours. On renoncera aussi à traiter du classicisme en art, quoique la comparaison avec l'architecture ou l'art des jardins à l'époque de Louis XIV puisse apporter des éclairages précieux sur la littérature, par l'importance accordée à la symétrie et à l'ordonnance des parties. Du point de vue restreint de

poètes ne doivent pas se soucier de morale -         La morale est l’affaire des peuples -         La morale déprécie l’inspiration poétique c.      La reformulation du sujet Mallarmé pose dans sa déclaration la problématique liée à la relation entre Poésie et Morale. Pour lui, les poètes ne doivent pas se soucier de morale car elle empêche l’inspiration poétique. Donc on peut reformuler la pensée de Mallarmé en ces termes suivants : la morale déprécie la poésie. d.     La consigne Quelle réflexion