Art Poétique Verlaine Boileau

lui permettent de placer après le pastiche ce développement, rédigé auparavant. 18. Mlle de Champlâtreux devint la belle-mère d'Anna de Noailles en 1897. Elle avait été auparavant l'égérie de Sainte-Beuve, dans un poème intitulé "La Fontaine de Boileau, Épître à Madame la Comtesse de Molé", Pensées d'Août (1843). Le personnage de Mme de Beausergent est fictif, comme le sont ses Mémoires. 19. L'éditeur Charpentier et sa femme Madeleine tenaient un salon rue de Grenelle où ils recevaient les peintres

unei profunde antipatii pentru tot ce nu constituie „poezie” (inefabil, muzicalitate, sugesti, etc.), întreţinută de numeroşi poeţi ai epocii, printre care, în modul cel mai susţinut şi programatic, simboliştii. Purtătorul lor de cuvînt Verlaine, cu a sa Art poetique (1874), este de altfel şi autorul celebrului şi dispreţuitorului vers, peste tot citat: „et tout le reste est literature”. Dar poate şi mai explicite sunt aceste Invectives (XVI): „Detestant tout ce qui sent la literature,/ Je chasse de

phrase, où il se confond avec le point final). Cette règle est peu respectée. Hachette 1995 abrège « cordonnerie » en {cordon.}, réalisant ainsi une double faute facilement évitable > cordonn. Quelques abréviations courantes la transgressent : article > art., auxiliaire > aux., capitale > cap., caractère > car., colonne > col., commentaire > comment., éditeur > édit., volume > vol. Dans la plupart des cas, le contexte élimine l’équivoque, mais on évitera d’abréger « article nouveau » ou « éditeur de Nantes

(et le jugement officieux de la France à propos d’elle-même). Autour du Roi-Soleil, on rencontrait l’architecte Mansart, le musicien Lully, le paysagiste Le Nôtre, et une pléiade d’hommes de lettres : Corneille, Racine, La Fontaine, Molière, Boileau, La Bruyère. Il faut s’arrêter au cas de Molière. Jean-Baptiste Poquelin (1622-1673) avait renoncé au barreau pour les planches. Louis XIV le nomma « comédien ordinaire du roi », avec une pension et la création de la Comédie-Française. Surtout, il

signification est un corollaire de la vision que l’on a des fonctions du langage : selon la fonction que l’on choisit de mettre en avant (fonction de structurer la pensée, fonction d’informer, fonction dénotative, réflexive, émotive, conative, ou encore poétique, etc. – cf. Baylon, Mignot 2000:7, Jakobson 1963:213 sq.), nous serons devant des théories de la signification et du sens fort différentes. Nous allons présenter ici la conception qui appréhende la signification lexicale du point de vue de la fonction