Arthur Rimbaud Entre Tradition Et Modernité

industrielleSous le Second Empire, de grands travaux sont engagés notamment sous l’impulsion du baron d’Haussman qui souhaite moderniser Paris, on entre dans l’ère des révolutions industrielles, c’ets le développement du charbon, du chemin de fer, des mines et de la métallurgie…3- Contexte littéraireLe Romantisme : Ce mouvement célèbre marque l’osmose entre l’homme et la nature. Il se caractérise en poésie par l’utilisation du registre lyrique dans lequel l’écrivain exprime ses sentiments personnels

valeurs de la IIIe République. La modernité littéraire s'affirme dans ce siècle à l'Histoire mouvementée avec des courants marquants qui touchent tous les arts, comme le romantisme, le réalisme, le naturalisme et le symbolisme. Les créateurs les plus importants échappent cependant à un étiquetage étroit et offrent des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo,Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le

Nanterre I. Une poésie de la modernité a) Baudelaire : aux origines de la modernité b) les découvreurs du modernisme poétique : Verhaeren, Larbaud, Romains et l’Unanimisme c) Les chantres de l’esprit nouveau : Apollinaire, Cendrars, Max Jacob I. Une poésie de la Modernité a) Aux origines de la Modernité - Baudelaire Au début du XXème siècle, de nombreux mots tournent autour de la notion de modernité : modernisme, moderne... Ces mots

pathétique. .culture: Le Bernin/ Pierre Puget .Architecture: Boro Mini .Literature: De Vigné/Saint-Amant/Tristan/Lermitte LE CLASSIQUE: Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe en France, et plus largement en Europe, à la frontière entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Principe: Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection

tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du XIXe siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité2. Comme le suggère le titre de son recueil Les Fleurs du mal, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal

majeur de la poésie française du XIXe siècle. Il publie « Les Fleurs du mal » en 1857. Cette œuvre poétique entamée dès 1840 est le travail de sa vie. Il marque une rupture radicale avec le style convenu et ouvre une troisième voie, celle de la modernité en poésie. Il explore des thèmes nouveaux comme la ville au contraire des romantiques qui puisent leur inspiration dans la nature. Il fait entrer la laideur dans la poésie, mélange le beau et le trivial, le spleen et l’idéal. Il évoque l’ivresse

des" Fleurs du mal." En 1847, il découvre l'écrivain américain Edgar Allan Poe, il partage une certaine idée du goût du mal et une même conception de l'art..Dans Les Fleurs du Mal, il met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l'enfer et le ciel... Le spleen selon lui : le drame Baudelairien. Il était toute sa vie un malheureux. Il souffre du remariage de sa mère, de sa solitude

présente au début de chaque vers. Il ne présente en revanche aucune régularité, ni au niveau du mètre, ni au niveau des rimes. « Le poème en prose se reconnaît : — à la forme (il n'est pas en vers) ; — au thème (récit de rêve ou spectacle de la modernité) ; — au primat des images ; — à l'absence de continuité narrative (succession de tableaux). • La problématique du corpus La problématique du corpus vous est suggérée dans la formulation de la question (« Ce corpus vante les charmes du jardin »)

La «Belle Époque» société et vie culturelle en France au début du XX° siècle « Belle Époque » à laisser entre guillemets, correspond à la période à laquelle la France croyait encore avoir ses chances de retrouver son statut dans la hiérarchie des puissances mais à la fois consciente des changements que la guerre a provoqués dans la société française. En fait, la « Belle Époque », charnière entre le XIX° et le XX° siècle relève surtout du mythe et du fait de la période difficile vécue après la guerre

j’aime l’ortie » 314 Lautréamont, « Le Pou » Le poète, alchimiste du quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir de l’alchimie poétique baudelairienne, la poésie a su se saisir