Arts Et Détoues De La Description Flaubertienne

Nietzche, les philosophes ne sont jamais que les « astucieux défenseurs de leurs préjugés, baptisés par eux vérités » 41 : « Comme on fait sa philosophie, on se couche 42. » Cette radicalisation du débat va plus loin que n'auraient su faire les détours d'une argumentation. Mais l'évêque parle surtout en chêne du Salon des Tapisseries porte à son fronton la statuette d'un évêque encadrée d'une double inscription: à droite, « Crosse de bois, evesque d'or »; à gauche, « Crosse d'or, evesque de bois

romanesque  ? Quelles ont été les grandes étapes de son évolution ? xviie siècle : du roman pastoral au roman d’analyse Avec la Renaissance, les divertissements de Cour, les modes et les comportements se transforment : les spectacles et les arts remplacent ainsi peu à peu les tournois et autres jeux du Moyen Âge où la violence primait. Apparaît alors le roman pastoral, genre illustré par Honoré d’Urfé (L’Astrée) ou Madeleine de Scudéry (Clélie). Il met en scène, dans un territoire imaginaire

château de Versailles). Portrait de Jean-Jacques rousseau par Alain ramsay, 1766. siècle : du roman pastoral au roman d’analyse Avec la Renaissance, les divertissements de Cour, les modes et les comportements se transforment : les spectacles et les arts remplacent ainsi peu à peu les tournois et autres jeux du Moyen Âge où la violence primait. Apparaît alors le roman pastoral, genre illustré par Honoré d’Urfé (L’Astrée) ou Madeleine de Scudéry (Clélie). Il met en scène, dans un territoire imaginaire

romanesque  ? Quelles ont été les grandes étapes de son évolution ? xviie siècle : du roman pastoral au roman d’analyse Avec la Renaissance, les divertissements de Cour, les modes et les comportements se transforment : les spectacles et les arts remplacent ainsi peu à peu les tournois et autres jeux du Moyen Âge où la violence primait. Apparaît alors le roman pastoral, genre illustré par Honoré d’Urfé (L’Astrée) ou Madeleine de Scudéry (Clélie). Il met en scène, dans un territoire imaginaire

sonder la mauvaise foi et d’introduire précisément une salutaire distance critique à l’égard de soi-même. Montaigne ne pratique pas l’introspection comme on le ferait dans un récit autobiographique : la prosopopée de l’esprit, c’est l’artefact, le détour, l’invention proprement littéraire qui permet à l’introspection de s’installer latéralement, comme par ruse, comme pour débusquer justement les ruses de « l’esprit », autrement dit de la raison. Raison de plus pour ne pas enfermer le texte dans un

conflit peut encore être décrit comme celui des partisans de l'explication littéraire, comme recherche de l'intention de l'auteur (on doit chercher dans le texte ce que l'auteur a voulu dire), et des adeptes de l'interprétation littéraire, comme description des significations de l'oeuvre (on doit chercher dans le texte ce qu'il dit, indépendamment des intentions de son auteur). Pour échapper à cette alternative, une troisième voie, souvent privilégiée aujourd'hui, insiste sur le lecteur comme critère

de l’inconscient, op. cit., p. 62. 3 contenus dans les romans zoliens pour figurer l’inconscient, mieux explorer la part d’ombre de l’être humain et participer à cette aventure qu’est l’exploration du psychisme de l’homme dans les lettres et les arts. Ainsi proposons-nous l’hypothèse d’un inconscient chez Zola. De quel inconscient s’agit-il ? Fonderons-nous notre approche sur une théorie psychanalytique qui a prévalu dans notre démarche intellectuelle ? Notre doctrine sera-t-elle jungienne, freudienne

quoique ressentie et exprimée intuitivement, du même imaginaire (dont ce n’est point la bibliographie qui nous fasse défaut !)… C’est dans cette double perspective que nous avons conçu cette thèse. Précisons que, du côté de la littérature (ou des arts), « la mécanique » de cette troisième direction de recherche est, selon une fameuse expression bergsonienne, « plaquée sur du vivant », donc en permanente mobilité et évolution : comme une langue vivante, par exemple, qui condamne, dès le début, toute