Artémis José Maria De Heredia

José-Maria de Heredia (1842 – 1905) Les Trophées Table des matières    LA GRECE ET LA SICILE o L'Oubli o HERCULE ET LES CENTAURES  Némée  Stymphale  Nessus  La Centauresse  Centaures et Lapithes  Fuite de Centaures o La Naissance d'Aphrodité o Jason et Médée o ARTEMIS ET LES NYMPHES  Artémis  La Chasse  Nymphée  Pan  Le Bain des Nymphes o Le Vase o Sphinx o ÉPIGRAMMES ET BUCOLIQUES  L'Esclave  Les Bergers  Le Coureur ROME ET LES BARBARES o Pour le Vaisseau de Virgile o

douce voix la flexible harmonie, Caressant doucement une âme épanouie Au souffle de l'amour, La berçait mollement sur de vagues images, Comme le vent du ciel fait flotter les nuages Dans la pourpre du jour : Gérard de Nerval (1808-1855)Artémis La Treizième revient... C'est encor la première; Et c'est toujours la seule, ou c'est le seul moment; Car es-tu reine, ô toi ! la première ou dernière ? Es-tu roi, toi le seul ou le dernier amant ?... Aimez qui vous aima du berceau dans la bière

couleurs et les effets de chatoiement (bijoux etc), inspiration puisée dans l’archéologie. Et pour terminer, les auteurs clés sont : Théophile Gautier (1811-1872): avec Emaux et Camées ainsi que Leconte de Lisle (1818-1894) avec Poème barbares et Hérédia (1842-1905). Présentation d'œuvres : A deux beaux yeux: Vous avez un regard singulier et charmant ; Mille petits amours, à leur miroir de flamme, Comme la lune au fond du lac qui la reflète, Se viennent regarder et s’y trouvent plus beaux

jamais pu l'atteindre. Héraclès, la sachant consacrée à Artémis (Diane), ne voulut pas la percer de ses flèches ; il entreprit donc sa poursuite. Il y mit du temps, une année entière, mais finit par la prendre au moment où elle traversait le fleuve Ladon : visant habilement ses pattes avant entre l'os et le tendon, il immobilisa la biche d'une flèche sans la blesser. D'abord courroucée qu'il ait touché à une bête qui lui était consacrée, Artémis reconnut que seul Eurysthée était à blâmer et permit à

UFRJ / Unibenett 127 Telófases em amanheceres de abril: mortes, dores e solidão nos ectoplasmas amorosos de Maria Polydouri Luciana Póvoa – UFRJ / Farol de Alexandria - UERJ Aquelas mulheres de Troia: Eurípides e o desterro Tatiana Bernacci Sanchez – UERJ / FGV 143 152 Fraternidade e Fratricídio: o utópico e o trágico no romance Irmãos Inimigos, de Níkos Kazantzákis 169 Tatiana Maria Gandelman de Freitas - UFRJ O filósofo e o imperador: Marco Aurélio e suas meditações Vitor Roberto de Paula

concision et sa densité, ce petit « corpus » poétique exprime, mieux que tout autre texte, la nature du « mal » qui hante Nerval et les tentatives faites pour le guérir. Voici les titres de ces sonnets: El Desdichado, Myrtho, Horus, Antéros, Delfica, Artémis, Le Christ aux oliviers (I-V), Vers dorés. Composés dans un état de rêverie « supernaturaliste », ils expriment d’une façon allusive et symbolique la hantise mystique du poète : croyance dans le retour des anciens dieux, et syncrétisme unissant les

s'assemblaient pour leurs banquets, tout comme les habitants d'une ville s'assemblaient au palais de leur roi. Zeus avait une femme jalouse, Héra, et de nombreux enfants. Parmi eux était le jeune Apollon, le dieu du soleil, et sa timide soeur jumelle, Artémis, déesse de la lune. Tous deux pouvaient frapper les hommes, en tirant sur eux des flèches de maladie. Il y avait encore Athéna, la plus intelligente des déesses, l'habile boiteux Héphaïstos, Déméter, déesse de la terre, et Poséidon, dieu de la mer

résidence d'Apollon et des neuf Muses. Le mot désigne tout de suite ces poètes qui se reconnaissent dans leur réaction contre le Romantisme. D'abord groupés autour de Théophile Gautier,  ils se réunissent le samedi soir chez Leconte de Lisle ou José-Maria de Hérédia : Banville, Villiers de l’Isle-Adam, Sully Prudhomme, François Coppée apparaissent comme les plus représentatifs. À l'épanchement personnel, les Parnassiens opposent un souci d'impersonnalité qui leur fait fuir les facilités du lyrisme. Leurs

pour sa fille et son devoir de roi. Artémis : vêtue d’une robe blanche, elle repose dans le ciel sur la lune au-dessus de la scène, la présence de la biche permet d’identifier la déesse de la chasse et de révéler l’issue du « sacrifice », la substitution d’Iphigénie par une biche (version du mythe par Ovide dans Les Métamorphoses). b. Cet arrière-plan annonce la tension : possibilité d’une alternative au sacrifice, pourtant attendu de façon pressante. 6. Artémis, prise de pitié, diffuse une brume