Au Bord De La Mer Hugo Les Chants Du Crépuscule

1 L’image de la mer chez Victor Hugo Après Chateaubriand, il convient de s’arrêter à Victor Hugo. Mais son œuvre est si vaste qu’il est bien difficile en quelques pages de parler comme il faut de ce qui fut pour l’exilé de Jersey et de Guernesey une présence de plusieurs années, présence ô combien envahissante d’ailleurs. Nous voulons simplement déterminer dans ses grandes lignes ce que fut pour Hugo la compagnie de l’océan. Pourquoi s’arrêter plus spécialement à Victor Hugo ? Sinon parce que

La chevelure 6 commentaire 8 Baudelaire; Parfum exotique 11 commentaire 12 La Fontaine; Eloge à l'oranger 13 commentaire 15 Eugène Guillevic; Douceur 16 commentaire 17 Victor Hugo; Printemps 18 commentaire 20 Maurice Carême; Il fait doux 21 commentaire 22 George Rodenbach; Douceur du soir 23 commentaire 25 Henri Salvador; Une chanson douce 26 commentaire

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

Charles Baudelaire s'adonnèrent à la peinture et au dessin en marge de leurs écrits, et bien des artistes s'essayèrent à la poésie et à l'écriture comme Dubuffet, Marcel Duchamp ou Giorgio de Chirico. Quant à d'autres tels que William Blake, Victor Hugo ou bien encore Henri Michaux, il peut parfois être difficile de dire qui du peintre ou du poète domine. Des alliances on aussi parfois exister entre chaque univers, peintres et poètes on coopéré ensemble ou fait fusionner leur art pour ne faire qu’un

rabaisser la monarchie de Juillet, crépuscule de la vie publique (“Prélude”). D’autres textes évoquent la crise intime traversée par le poète, épris de Juliette Drouet (“Puisque j’ai mis ma lèvre”). André Durand présente ‘’Les feuilles d’automne’’ (1831) recueil de poèmes de Victor HUGO pour lequel on trouve ici une présentation générale puis l’analyse de ‘’Soleils couchants’’ Bonne lecture ! Victor Hugo manifestant son ambition d’atteindre

Victor HUGO (1802-1885) 1er janvier A André Chénier A celle qui est restée en France A celle qui est voilée A ceux qu'on foule aux pieds A ceux qui sont petits A des âmes envolées A des oiseaux envolés A dona Rosita Rosa A Granville, en 1836 A Jeanne A l'Arc de triomphe A l'enfant malade pendant le siège A la belle impérieuse A la fenêtre, pendant la nuit A la France A la mère de l'enfant mort A M. Froment Meurice A ma fille A ma fille Adèle A Madame D. G. de G. A mademoiselle Louise B. A Mlle Fanny

sois mortel, me donnant leur retraite, De me faire berger. Ô que j'aime les eaux, laissez-moi les rivages, Ô beaux rivages verts : Belle Seine, beaux prés, petits monts, bois sauvages, Je vous donne mes vers. Ô vers qui m'échappez sur le bord de la Seine, Allez, suivez son cours, Et dites aux Zéphyrs que je vous fais sans peine, Et non point sans amours. J'aime tant vos fraîcheurs, et j'aime tant vos ombres, Ô prés, bois et zéphyrs, Que je ferai le frais de vos mollesses sombres

vieilles » // Victor Hugo, « Le Mendiant », in Les Contemplations , 1856 en racontant l’histoire « d’un pauvre homme » gelé par le vent et la neige. - L’abject et l’obscène : cf critique de Gustave Bourdin qui a signalé l’ouvrage à la censure : « ce livre est un hôpital ouvert à toutes les démences de l’esprit ». Le poète s’inspire du vice des hommes sans se poser d’interdits moraux. Ex : « Le Crépuscule du soir » décrit

Biographie Pg 13 « Aux arbres » Les Contemplations, Victor Hugo Pg 14 Biographie Pg 15 « A une fleur » Alfred De Musset Pg 16 Biographie Pg 18 « Brumes et pluies » Baudelaire Pg 19 Biographie Pg 20 « La Bonne chanson » Paul Verlaine Pg 21 Biographie Pg 22 La Poésie en Liberté «  Automne malade » Guillaume Apollinaire Pg 23 Biographie Pg 24 « Crépuscule rustique » Nérée Beauchemin Pg 25 « La Mer » Nérée Beauchemin Pg 26 Biographie Pg 27 PREFACE

LE DORMEUR DU VAL C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil de la montagne fière, Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature