Au Coeur De La Rose

phrases possessif n, strophe 3 montre le peuple, image du vice : néant physique et morale + sonorité du « v ». Strophe 4 :« la mort cœur renversé «  est une oxymore, «  mort et cœur » exprime une expression de gâchis dû à la mort + image renversée fait penser au tableau de Picasso. Strophe 10 : «  rose rouge » et « sang » : mort qui a la couleur du sang image de rose rouge qui est normalement la passion . Strophes 9-10 : espoir défait puis il n’y a pas d’avenir : impression de gâchis car le trésor

Saint Gilles-les-Hauts, le 12 février 2013, Chère Madame, Je vous écris cette lettre afin de vous faire part de mes pensées quant à ce livre s'intitulant «Oscar et la Dame Rose» dont vous m'en avez fortement conseillé la lecture. L'auteur, Eric Emmanuel Schmitt parle au coeur et touche l'âme du lecteur, qui oscille entre rires suite à la manière dont Oscar s'exprime, et pleure lorsque ce dernier doit affronter la fatalité. À travers ce roman, nous retrouvons les préoccupations

leur mufle sinistre. Entre les deux piliers, le gobelin vit apparaître une haute porte en fer forgé. Sous ses yeux, elle claqua violemment, avec un bruit qui résonna dans l’obscurité, enfermant Forget à l’intérieur. Il 3 pivota sur ses talons, le cœur battant, et vit que le fer forgé délimitait une sorte de périmètre au milieu du terrain vague. Les grilles faisaient deux mètres de haut, avec des pieux menaçant au sommet. Il n’y avait plus aucun débris dans cette zone close ; au contraire, la pelouse

dans un univers où le temps file à toute allure sans que vous vous en aperceviez. Bonne lecture. 2 Décembre, François Coppée, Les mois (XIXème) Le hibou parmi les décombres Hurle, et Décembre va finir ; Et le douloureux souvenir Sur ton cœur jette encor ses ombres. Décembre, expose le fait que les mois passent à grande vitesse et qu’il ne Le vol de ces jours que tu nombres, L’aurais-tu voulu retenir ? Combien seront, dans l’avenir, Brillants et purs ; et combien, sombres ?

la chapelle Et l'autre s'y dérobât Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous les deux étaient fidèles Des lèvres du coeur des bras Et tous les deux disaient qu'elle Vive et qui vivra verra Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Quand les blés sont sous la grèle Fou qui fait le délicat Fou qui songe à ses querelles Au coeur du commun combat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Du haut de la citadelle La sentinelle tira Par deux fois et l'un

chapelle Et l'autre s'y dérobât Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous les deux étaient fidèles Des lèvres du coeur des bras Et tous les deux disaient qu'elle Vive et qui vivra verra Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Quand les blés sont sous la grêle Fou qui fait le délicat Fou qui songe à ses querelles Au coeur du commun combat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Du haut de la citadelle La sentinelle tira Par deux fois

la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Imitant les auteurs antiques, Ronsard emploie d'abord les formes de l'ode(Mignonne, allons voir si la rose) et de l'hymne, considérées comme des formes majeures3, mais il utilisera de plus en plus le sonnet transplanté en France parMarot en 1536 en employant le décasyllabe (Mon dieu, mon dieu, que ma maistresse est belle! , Les Amours, ou Je vous envoye

1558. Las1, où est maintenant ce mépris de Fortune2 ? Où est ce cœur vainqueur de toute adversité, Cet honnête désir de l'immortalité, Et cette honnête flamme au peuple non commune ? Où sont ces doux plaisirs, qu'au soir sous la nuit brune Les Muses me donnaient, alors qu'en liberté Dessus le vert tapis d'un rivage écarté Je les menais danser aux rayons de la Lune ? Maintenant la Fortune est maîtresse de moi, Et mon cœur qui soulait3 être maître de soi Est serf de mille maux et regrets

de l’auteur qui a permis au poème de passer à travers les contrôles et la censures de toutes sortes de littératures au temps de la seconde guerre mondiale, par l’Etat hitlérien,. Ce cœur qui haïssait la guerre, de Desnos Ce cœur qui haïssait la guerrevoilà qu'il bat pour le combat et la bataille ! Ce cœur qui ne battait qu'au rythme des marées, à celui des saisons, à celui des heures du jour et de la nuit, Voilà qu'il se gonfle et qu'il envoie dans les veines un sang brûlant de salpêtre et

femme il prit sa main délicatement et l’embrassa. Belle demoiselle effleurée moi votre nom à l’oreille pour s’avoir pour qui mon cœur bat si vite. PENELOPE : monsieur je rougis de vos paroles, elle s’approcha de lui et lui chuchota à l’oreille, je ne suis qu’une simple servante nommée pénélope. Et vous quel est votre nom, vous qui m’aviez chambouler l’esprit et le cœur ? PERCE : mon nom est Percé. Pénélope j’aimerais vous connaître comme je me connais moi-même, venez avec moi au bord de la rivière