Au plus près du paradis

Anthologie sur l’œuvre Les Fleurs du Mal de Baudelaire. La mort est une réalité qui nous rattrape tous à un moment ou un autre, nous sommes tous concernés par elle, et même les plus grands des poètes y ont pensé. Elle est liée à chaque civilisation, des hommes de l’Antiquité au monde moderne dans lequel nous vivons. Elle est une inconnue à laquelle chacun voudrait se dérober. Certains la considèrent comme une fin pure et simple, sans retour et sans au-delà. D’autres la considèrent comme un rite

ANTHOLOGIE SUR BAUDELAIRE J'ai choisi de réaliser une anthologie sur Charles Baudelaire (1821-1867), et plus précisément sur les poèmes traitant du Spleen ( la mort, la souffrance, la laideur, la misère, le temps, l'ennui ou encore l'échec) issus de l'ouvrage majeur de l'auteur, Les Fleurs du Mal (1861, deuxième édition), notamment de la 1ère partie de ce livre: « Spleen et Idéal », pour deux raisons principales; d'abord pour la personnalité de l'auteur que j'apprécie, c'est-à-dire un homme

mer évoquera l'allégresse, le désespoir, le regret, l’angoisse ou encore la liberté. Dans cette anthologie, je n'ai pas recherché à illustrer chaque sentiment, mais certains poèmes sont empreints d'une forte émotion, comme Mer du Paradis, un poème extrait d’Ombre du paradis, écrit entre 1939 et 1943, où l’auteur décrit avec justesse ses sentiments vis-à-vis de la mer, à la fois tendres et admiratifs, évoquant son enfance, et l'associant à la beauté, à la joie et à l'amour. Il s’adresse à la mer comme

sortit, son seau à la main, si morne et si accablée qu'elle fût, elle ne put s'empêcher de lever les yeux sur cette prodigieuse poupée, vers la dame, comme ellel'appelait. La pauvre enfant s'arrêta pétrifiée. Elle n'avait pas encore vu cette poupée de près. Toute cette boutique lui semblait un palais; cette poupée n'était pas une poupée, c'était une vision.C'étaient la joie, la splendeur, la richesse, le bonheur, qui apparaissaient dans une sorte de rayonnement chimérique à ce malheureux petit être englouti

 Ce descriptif rendant compte de l’ensemble du travail de l’année ainsi que le travail plus spécifique sur la première séquence consacrée à l’autobiographie, ont été réalisés par Alain GUERPILLON, agrégé de Lettres, pour ses élèves de 1ère L du Lycée Thiers à Marseille Travail de l’année : Classe de 1ère L – Liste pour l’E.A.F. 1ère Séquence :

surmonté d'un chapeau cloche ,de même les robes de soirée taille basse s'arrêtant au-dessus du genou. Virtuose, entreprenante et volontaire, Coco Chanel à su sans cesse innover dans le monde de la mode en proposant des collections indémodables. Plus qu’une mode, Chanel est avant tout un style, une attitude. Entre le blanc, le noir ,les vêtement en tweed, le rouge a lèvres vif, parfum ,les sacs à mains, les chaussures vernis, les tailleurs et les collier de perles, tout y est pour séduire la

p.38 ). Les indigènes mènent alors une vie sans contrainte, se contentant de ce que la nature leur procure. Ils ne travaillent pas comme le font les européens, n’ont pas de commerce ou de système juridique par exemple, qui pourrait rendre leur vie plus complexe. Ils ne ressentent pas ce besoin là et c’est un état d’esprit que Montaigne met en avant et qu’il admire. Il parle d’ailleurs d’un « monde encore dans l’enfance » vivant « tout nu dans le giron de sa mère ». On pourrait comparer ce monde décrit

illustrent l'ampleur du phénomène. 1.     Un phénomène ancien, dont la mondialisation est récente 200 millions de personnes vivent à l'extérieur de leur pays de naissance (Organisation internationale pour les migrations, 2008), soit deux fois et demie plus qu'il y a quarante ans. Toutefois, ce volume demeure faible en valeur relative par rapport aux 6,8 milliards d'hommes peuplant la planète en 2008 : 2,9% de la population mondiale, soit nettement moins qu’à la veille de la première guerre mondiale (5

Consigne : Ecrivez un souvenir en adoptent le style de Line. Triste jour Je me souviens que j'entendais les adulte dire le Monsieur untel nous a quitté, la femme de telle homme n'est plus, leur l'enfant s'est éteint. Ils parlaient de la mort, mais c'est quoi la mort? C'était la question à laquelle j'avais pas de réponse qu'après que le père de ma mère mourut. Depuis toujours, j'étais moi et ma mère presque toujours chez mes grands parents, je passais un temps merveilleux car ils me gâtaient

excluons la mort de nos pensées car elle serait alors un obstacle à notre bien-vivre. Or si nous étions destinés à ne jamais mourir, nous ne serions pas aussi pressés de vivre pour la simple raison que nous aurions tout le temps. Mais nous deviendrons aussi moins responsables car nous n'aurions plus peur d'un jugement dernier et d'un refus du paradis. 1) Vivre en ignorant la mort : le bien vivre ? 2) Memento mori : l'idée de la mort pour réveiller le vivant Extrait du document: La vie se caractérise