Augusto Pinochet

http://www.un.org/french/millenniumgoals/ ----------------------- [1] « Mobutu Sese Seko au Zaïre de 1965 à 1997, Suharto en Indonésie de 1965 à 1998, Ferdinand Marcos aux Philippines de 1965 à 1986, la dictature brésilienne de 1965 à 1980, Augusto Pinochet au Chili de 1973 à 1990, les généraux Videla et Viola en Argentine de 1976 à 1983 » (Source : CADTM) [2] “Dans de nombreux cas, les prêts étaient destinés à corrompre des gouvernements pendant la guerre froide. Le problème n’était pas alors

offert par l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet Ugarte. La Constitution du Chili de 1981 (écrite par la junte militaire de Pinochet et approuvée par un référendum populaire) déclarait que, à la fin du mandat de huit ans de Pinochet, la junte choisirait un seul candidat pour le remplacer, et les électeurs seraient appelés à le soutenir ou à le rejeter. S’ils le rejetaient, une élection avec plusieurs candidats serait organisée. En 1988, la junte choisit Pinochet pour servir un autre mandat de huit

Patrimonialisme et néopatrimonialisme ignore curieusement les incidences de la marginalisation des procédures de contrôle sur le développement de la corruption et du népotisme. Cette dimension, traitée par Karen Remmer à travers le cas d’Augusto Pinochet, vaudra au régime de ce dernier d’être déclaré de type néopatrimonial au regard de « procédures de fonctionnement de base, de modes de nomination et de processus décisionnels ...[devenus] plus patrimoniaux que bureaucratiques »92. L’introduction

la suite de la victoire inattendue à Cuba de la guérilla communiste dirigée par Fidel Castro et Ernesto "Che" Guevara, les Américains soutiendront tous les régimes anti-communistes, y compris les plus brutaux (en 1973 au Chili : putsch du général Pinochet contre un gouvernement d'union de la gauche socialiste et communiste) moyennant quoi ils empêcheront la réalisation du slogan de Che Guevara "Créons un, deux, trois Vietnam!" (Comme nous pourrions regarder l’avenir proche et lumineux, si deux, trois

Dans son programme, il y a la nationalisation des mines du Chili. Les Etats-Unis vont envoyer des messages et en septembre 1973, la CIA fait un coup d’état militaire à Santiago. Salvador Allende meurt et est remplacé par un pro-américain, Augusto Pinochet. * La révolution du Nicaragua Le Nicaragua, jusqu’en 1979, est une dictature pro-américaine avec Somoza. La population se révolte en 1979 et prennent le pouvoir et installent un régime marxiste « sandiniste » avec son leader Ortega. Les

des richesses nationales ». [pic] Coups d'État au Chili et en Argentine, 1973 et 1976 Dès le milieu des années 1960, l'Amérique latine voit se multiplier les dictatures militaires. Au Chili, le 11 septembre 1973, le coup d'État du général Pinochet met un terme sanglant à l'expérience de gouvernement d'Unité populaire de Salvador Allende. Le président Allende mourra dans le palais de… Pendant toute la durée de la présence des militaires au pouvoir, on en a surtout remarqué les aspects

les cubains et les russes soutiennent la formation de guérilla pour renverser l’autorité portugaise et mettre des régimes communistes à la place. L’Ethiopie, le Bénin et le Congo aussi passeront au communisme. Sur le continent Américain, Augusto Pinochet prends le pouvoir au Chili. Arrivé du président américain Jimmy Carter qui est moins attentif. En 1978 il y a au Nicaragua une révolution, les sandinistes (guérilla communiste) prennent le pouvoir. Le président Jimmy Carter est critiqué, il

la chute et la démocratisation de certains de ces régimes autoritaires jusqu’alors soutenus par les Américains : Chili ( Santiago ) dans les années 90 : régime autoritaire soutenu par les Américains qui va se démocratiser. C'est le général Augusto Pinochet qui prend la tête de la junte militaire et adopte, en juillet 1974, le titre de « chef suprême de la nation ». Aussitôt, il suspend la Constitution, dissout le Parlement, impose la censure absolue et interdit tous les partis politiques. Il

territoriales connues par l’Europe centrale au long du XIX° siècle. Cette notion va être très utilisé dès les années 30 par la géopolitique nazie => on pousse les frontières car « nous » qui définissons nos frontières. 5 Exemple : le Chili de Pinochet. Lui-même par des « frontières vivantes » => obligations de pousser les frontières vers le Nord (Bolivie) et au Sud (Patagonie). Johan Rudolf Kjellèn (1864-1922) : l’auteur fonde le terme de géopolitique => la vie d’un Etat c’est quoi ?

al decir, debido a un cáncer de próstata. La historia hace notar que, pocos días antes de la muerte del poeta, el gobierno de Salvador Allende, su amigo, había sido violentamente derrocado por un golpe de Estado, encabezado por el general Augusto Pinochet[46], el 11 de septiembre. Eso significaba el fin de la democracia en Chile. A esta ocasión, la casa de Neruda había sido saqueada y sus libros, incendiados. El poeta ha sido enterrado en el Cementerio General, rodeado de soldados armadas, donde