Autobiographie Simple

KELAI Kahina 3°4 Autobiographie : Rédaction au choix Sujet : Dans un texte autobiographique, raconte un événement de ton choix. Quand j'essaye de me remémorer mon enfance, je n'y arrive presque jamais. Je peux peut être me rappeler un nom, mais je ne peux pas « voir » de visages claires, comme si un voile me cachait les traits de cette personne. Il me faut comme un élément déclencheur, un mot, une chanson, une personne

mémoire problème de perception Montaigne n’écrit pas une autobiographie mais prend malgré tout de même cet engagement Il se prend comme modèle pour généraliser sur la conditin humaine car il se connaît mieux que personne. Cela révèle une certaine dimension autobiographique «Un livre de bonne foi» l.1 :il y a une démarche honnête de sa part «En ma façon simple, naturelle et ordinaire (juxtaposition d’adjectifs, rythme ternaire), sans

une enfance qui porte en elle les germes d’une quête initiative, et qui vise à comprendre ce qui entoure ce petit enfant. Il s’agit d’une prise de conscience. De cela, nous pouvons dire que le roman de Camara Laye ne se contente pas d’être le simple reflet des événements de son temps, mais il joue aussi un rôle actif dans la mobilisation idéologique en vue de défendre les droits des africains « Ils (les critiques) semblent s’intéresser a cette littérature non pas pour ce quelle est comme

inspira le jeune Chinois, et révéler aussi les liens difficiles qui l'unissaient à sa mère et à ses frères. Malgré tout, malgré l'utilisation du "je" qui laisse entendre la voix de l'auteur, on ne peut assimiler pour autant ce roman à une pure autobiographie. En effet dans son livre Marguerite Duras ne semble pas avoir la volonté de réalité, ainsi son imagination se mêle à sa mémoire. La narration est "éclatée" : elle papillonne en suivant le cours décousu des pensées et souvenirs de la narratrice

Philippe Grimbert paru le 5 mai 2004. Il remporte le prix Goncourt des lycéens en 2004 et le prix des lectrices de Elle Magazine en 2005. Résumé Fils unique, le narrateur a toujours été persuadé qu'il avait un frère. Il vit une vie tranquille et simple, élevé par des parents, Maxime et Tania, fous amoureux l'un de l'autre. Le garçon imagine la rencontre évidente de ces deux grands sportifs sur un stade ou au bord d'une piscine, lui l'enfant chétif et malingre qui s'invente un frère fort et merveilleux

hommes) et ses émotions à cœur ouvert. Elle écrit sur la langue du monde ouvrier et paysan normand qui a été le sien jusqu’à ses dix-huit ans. Son parcours littéraire est très fortement marqué par la sociologie . Thème : Cette courte autobiographie présente l’ascension sociale d’une famille, les liens d’un père autodidacte et d’une fille qui accomplit enfin le rêve de plusieurs générations en accédant au monde bourgeois. L’œuvre est organisée autour de la vie du père d’Annie Ernaux, jusqu’à

blanche et d’un riche Chinois dans l Indochine coloniale. Tout les oppose et cet amour sera voué à l’échec puisque la narratrice rentrera en France. Mais ce roman n’est pas uniquement une histoire d’amour et c’est la raison pour laquelle cette autobiographie m’a directement plu. Premièrement, le thème qui me plait le plus est l’amour mais pas simplement l’amour entre la Petite et le chinois. En effet, son père étant décédé lorsqu’elle n’a que quatre ans, on peut se douter qu’elle a un manque

Saint-Exupéry) un avion et comme fond le ciel. Cette illustration n’est pas un hasard car elle décrit l’univers du livre qui tourne principalement autour de l’aviation et des membres qui composent cette unité dans l’armée. Développement Ce livre est une autobiographie indirecte car elle raconte a la fois la vie et les expériences d’Antoine de Saint-Exupéry mais c’est aussi la biographie de Didier Daurat (représenté comme rivière dans le roman), personne a qui le livre est dédié car Antoine de Saint-Exupéry

Spieglman sont le noir, le blanc et le gris, qui ont pour idée de rentrer dans les souvenirs. Sur chaque page, il y a à chaque fois des bandes blanches. Ces lignes blanche (= Quadrillages) évoquent l’enfermement des déportés. Le trait de Spieglman est simple, brut et anguleux. Art Spieglman confronte le témoignage de son père à des éléments historiques qu’il introduit dans la BD. Il y a un vrai travail d’histoire qui est fait. Il reprend très fidèlement la porte d’entrée du camp d’Auschwitz. Il fait

avec sa famille en voiture et sa mère a beau lui crier dessus pour qu’il arrête de lire mais il en est incapable. Un ange cornu avec des ailes de tôle est un roman qui rend un certain hommage à sa mère. Dans cette histoire, qui est en fait une autobiographie, l’auteur raconte, en beaucoup de détails, des parties spécifiques de son enfance ainsi que de son adolescence comme quand il reçoit sont premiers livre pour noël. Il raconte comment se sont déroulées ses premières expériences de lecture et