Autoportrait En Malade

propice à l’énonciation dédoublée de la méditation intérieure) tandis que le « je » l’emporte dans la deuxième partie (v. 15, p. 12 : « J’ai vu ce matin… »). Ce dispositif se complique de séquences qui entrelacent le « je » et le « tu » (« Je suis malade d’ouïr… / Et l’image qui te possède… », v. 85 et 87, p. 15). La fin du poème cède la place au « tu », marquant ainsi des degrés dans le mouvement méditatif du texte et sa dynamique remémorative. Quoi qu’il en soit, ce procédé rejoint les mécanismes

médecine, s'établit en banlieue, à La Garenne-Rancy. Trop compatissant, gêné d'avoir à réclamer des honoraires, il vivote. De Bébert, le neveu de la concierge, à la fille du cinquième qui mourra des suites d'un avortement, il se traîne au milieu de ses malades qu'il décrit sans complaisance. Les Henrouille lui proposent de le payer pour qu'il fasse enfermer la vieille mère qui les empêche de faire des économies. Il refuse mais les visite régulièrement. Robinson reparaît, accepte d'assassiner la vieille

| |[pic][pic] |C'est une allégorie décrivant la mélancolie dans la création de l'artiste, qui | |[pic][pic] |a aussi été perçue comme étant un autoportrait symbolique. | |[pic][pic] |"La Mélancolie" de DÜRER est "bourrée" de symbolismes alchimiques apparentés | |[pic][pic] |directement à une grande partie du symbolisme

théâtre. Autre effet : inclure le public comme destinataire direct de ces portraits, au même titre presque que les personnages sur scène qui les entendent. Sans être, bien entendu, séparés de l'action dans laquelle ils s'inscrivent, les portraits et autoportraits – jeu mondain, très en vogue dans les salons – marquent une pause dans l'intrigue, où le plaisir des mots passe au premier plan. Autre intérêt : chaque portrait dessine les contours d'un personnage de comédie, comme le souligne Donneau de Visé

érotiques de Dalí envers des fillettes de 12 ans qui firent réagir jusqu'au comité central du parti communiste57, et son obsession pour la figure d'Hitler durant deux années57, le peintre fut convoqué en janvier 1934 chez Breton où il se présenta vêtu en malade, avec un chandail et un thermomètre dans la bouche57. Une fois l'accusation de Breton terminée, il lut sa plaidoirie en faisant un strip-tease58, affirmant en langage fleuri, qu'il ne faisait que retranscrire ses rêves — particuliers — et que, en

sujets, tels les cafés, les boulevards de Paris et la campagne des bords de Seine. Le 19 février 1888, Van Gogh partit pour la Provence. Il loua à Arles la « Maison jaune », où il voulait créer une communauté d’artistes. Paul Vincent van Gogh, Autoportrait comme peintre, 1888 Van Gogh Museum, Amsterdam 15 Lettres de Van Gogh L’artiste parle 09.10.2009-03.01.2010 Description du programme Gauguin vint l’y rejoindre en octobre 1888. Les deux peintres travaillèrent ensemble, découvrirent

quand il pleut sur les cheveux et les fringues, mais quand même j’ai osé, et maintenant qu’on est là, que je ne veux pas me regarder, il faudrait que je me sèche, retourner là en bas me remettre en état – les cheveux tout au moins pour ne pas être malade, or je suis descendu tout à l’heure, voir s’il était possible de se remettre en état, mais en bas sont les cons, qui stationnent : tout le temps de se sécher les cheveux, ils ne bougent pas, ils restent en attroupement, ils guettent dans le dos, et

L’humanisme 34 5.1 L’arrivée des Humanistes. 35 5.2 L’influence de la Théologie 35 5.3 Le retour des Anciens 36 Conclusion 37 Bibliographie 39 I. Les grands Hommes de la Renaissance Autoportrait, de Raphaël peint entre 1504 et 1506 (huile sur bois de 47.5 X 33 cm, Galerie des Offices, Florence Italie) 1.1 En France Joachim Du Bellay

donc pas de séparation tranchée entre le normal et le pathologique. Pas facile à 2 © Groupe Eyrolles Introduction entendre lorsque l’on est attaché à l’image narcissique idéale de l’être sain de corps et d’esprit par opposition à l’être malade. De ce point de vue on peut dire que le fou a quelque chose à nous apprendre de notre propre fonctionnement dans ses aspects les plus méconnus de nous-même, car inconscients. À la suite de Freud d’autres psychanalystes ont complété cette série de

Les Mots de Sartre sont des autobiographies. ■ Dans l’autobiographie, le narrateur qui dit « je » est identique à l’auteur, ce qui implique que l’autobiographie n’est pas une fiction : elle est censée représenter la réalité et constituer un autoportrait fidèle. Cette « équation » (narrateur = auteur) et ce « serment de fidélité » forment ce que l’on appelle le « pacte autobiographique ». De plus, par définition, le narrateur d’une autobiographie est intradiégétique, c’est-à-dire qu’il est