Autoportrait En Soldat

femmes à l’arrière est une nounou les deux dames autour de la petite sont des demoiselles d’honneur (privilège) la petite fille est l’infante Margueritte (elle est la plus éclairée) on lui propose un plateau avec un pichet le peintre est Velasquez (autoportrait) ce qu’il peint est le spectateur ou la roi Philippe IV et sa femme que l’on peut voir dans le reflet du miroir au fond 3. Le baroque d’Europe du Nord a. Caractéristiques générales Sujets laïques pour orner les demeures de riches bourgeois. b.

continuité. Diapo : Otto DIX est née en 1891 et mort en 1969 à l'age de 77ans. C'est un peintre allemand, engagé volontaire au début de la première guerre mondiale . Cet homme a vécu l'horreur de la "Grande Guerre" et donc il témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté est mise en scène. Diapo : Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les gens commencent à oublier les souffrances apportées

Guerre Mondiale en tant que soldat. Il en revient très révolté et pacifiste. Il est aussi très choqué par l’horreur et l’inhumanité de cette guerre. Cet artiste réalise son œuvre entre 1929 et 1932, à une période où les idées nationalistes refont surface en Allemagne et où les gens commencent à oublier les terribles souffrances apportées par la guerre. Otto Dix a donc voulu les rappeler Description : Panneau de Gauche : Au premier plan on aperçoit un groupe de soldats en tenues de combat : avec

elle travaille en tant que couturière. Elle transmet ensuite ces données à des femmes qui les communiquent aux soldats combattant au front. Policarpa Salavarrieta permet également à certains soldats de déserter de l'Armée royale pour rejoindre le mouvement révolutionnaire et, par ailleurs, transporte des armes et diverses fournitures aux insurgés... * Lire la suite Autoportrait (1794) — Musée du Louvre, Paris, France. Jacques-Louis David, peintre français né le 30 août 1748 à Paris et

vouloir nous dire que la guerre prive les hommes de toute humanité. Panneau de gauche : des hommes en uniforme, probablement des soldats allemands, marche de dos dans un brouillard épais. Une roue nous indique que la scène se déroule à la campagne. L’atmosphère tendue nous laisse présager que les soldats partent à la guerre. Le ciel rougeoyant signifie que l’avenir des soldats est incertain et s’annonce funeste. Panneau de droite : Ce panneau semble représenter la fin de la guerre. Les villages sont

Dans la partie centrale, un soldat avec son masque à gaz est une figure symbolique de la première guerre mondiale. Une dépouille criblée de balles est rongée par la vermine. Le monde terrestre n’est qu’un charnier de boyaux disséminés sur toute la largeur du panneau. On n’y retrouve pas une figure humaine reconnaissable. En utilisant les procédés spécifiques au triptyque religieux, Otto Dix en effectue une parodie qui vise à mettre en avant la déshumanisation des soldats. La chronologie impliquée

Panneau central : 204x204cm ; Panneaux latéraux : 204x102cm chacun ; Prédelle : 204 x 69 -On peut observer une évolution dans le temps au cours des panneaux. Ils racontent une histoire. A gauche dans la brume du matin, on voit les soldats partir au font. An centre on voit la terrible bataille et ses mots. A gauche, on peut voir le soir ou la nuit avec des flammes en arrière-plan. La lumière nous donne quelques indices et l’on peut distinguer une bande de lumière qui traverse les trois

allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. La Guerre est donc l’œuvre d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat. Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place en Allemagne et où les gens commencent à oublier les terribles souffrances apportées

C'est dans ce contexte particulier que le peintre réalise cette oeuvre afin de rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. 2. Dans le panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) soldat francais , tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, ( ce qui peut faire allusion à tout les homme partis et

un soldat allemand casqué et portant un masque semble vivant mais il est immobile et incapable de réagir. Il n’a pas de visage. Au deuxième plan, on voit des villes détruites, de la brume, des morceaux de bois qui laissent une ambiance lugubre. Les couleurs rouges et brunes du sang dominent. DIAPO 7 : Le panneau de gauche représente les soldats partant au front, on ne voit pas leurs visages, ils sont de dos. On ne peut pas les compter, ils marchent en « troupeau ». Otto Dix rend ces soldats anonymes