Autoportrait Physique

Le saut dans le vide d'Yves Klein nous pouvons nous poser la question de savoir si l’œuvre est la photographie ou si la photographie est la trace de la performance artistique de l'artiste ? Nous pouvons également nous demander s'il s'agit d'un autoportrait, l'homme sautant étant Yves Klein lui-même, ou s'il s'agit d'un portrait, les photographes étant identifiés : Harry Shunk et John Kender .Cette action artistique a été réalisée en 1960 au 5 rue Gentil-Bernard à Fontenay-aux-Roses. La photographie

nous permet de suivre son parcours personnel, tant physique qu'émotionnel. Le peintre représente sans aucune complaisance, ses imperfections et ses rides. Une des caractéristiques majeures de son œuvre est l'utilisation de la lumière et de l'obscurité (technique du clair-obscur), qui attire le regard par le jeu de contrastes appuyés.  Les scènes qu'il peint sont intenses et vivantes. Ses thèmes de prédilection sont le portrait (et les autoportraits) ainsi que les scènes bibliques et historiques.

sujet : religieux, profane, historique, mythologique, politique, publicitaire,...
Style : parti-pris stylistique Abstrait, figuratif plus ou moins réalisme, décoratif
Genre : portrait, autoportrait, genre, paysage, nu, allégorique, fantastique, symbolique,... Le(s) personnage(s) : Nombre :
Aspect physique : sexe, âge, taille, couleur de peau, de cheveux, Hiérarchie : un personnage semble-t-il plus important ? Lequel ? Pose du modèle : de face, de profil, de trois quart, de dos, Les

représenté dans l’attitude de la marche, en référence à L’Homme qui marche de Rodin, véritable défi au mode de conception de la sculpture. De même, les visages deviennent comme des lames de couteau (Le Nez, 1947). Il peint également des portraits et autoportraits où le regard est perdu dans un réseau de lignes qui emprisonnent la figure. Opéré d'un cancer de l'estomac en février 1963, Giacometti en guérit. Après la guerre, son œuvre est saluée dans de nombreuses rétrospectives et obtient un grand succès

donnera des œuvres qui se situent entre la peinture et la sculpture. Ils rejettent en quelques sorte le passé pour laisser place au futur. Deux exemples peuvent prouver que les artistes sont sensibles temps qui passe: le mouvement futuriste6 et les autoportraits de Cindy Sherman7. Le premier exemple montre bien que les artistes sont intéressés par toutes ces évolutions que subit la société et qu'ils essayent de l'exprimer et de les représenter par des œuvres assez abstraites mais tout de même explicites

famille. Il veut être naturel, honnête et sincère.     II) motivations, justifications et contraintes de l'autobiographie.   Tout au long du texte, on trouve des verbes de motivation et volonté. Champ lexical de la peinture : autoportrait moral, psychologique, et non physique de Montaigne. ⇒ rapport écriture/peinture. Volonté de simplicité et sincérité. "tout nu" sincérité. Idée de testament. Euphémisme : "perdre", pour atténuer la douleur de ses proches. Cliché : figure entrée dans le langage

famille. Il veut être naturel, honnête et sincère.     II) motivations, justifications et contraintes de l'autobiographie.   Tout au long du texte, on trouve des verbes de motivation et volonté. Champ lexical de la peinture : autoportrait moral, psychologique, et non physique de Montaigne.  rapport écriture/peinture. Volonté de simplicité et sincérité. "tout nu" sincérité. Idée de testament. Euphémisme : "perdre", pour atténuer la douleur de ses proches. Cliché : figure entrée dans le langage

révélation de la sensualité. En effet, il voit Manon, non comme un être humain, mais comme une vraie femme. Ainsi il est sensible à ses charmes : charmante ; et surtout à son apparence physique : regard, air. Concernant ses propres réactions, il emploie les termes désirs ; plaisirs qui évoquent une attirance physique pour Manon.     II – UN RECIT RETROSPECTIF DISTANCIE Un récit qui a pour but d’expliquer les faits Cependant ce récit est effectué avec quelques années de recul, suffisantes pour

suivent le même traitement, ils ont une présence mais uniquement vocal, ils ont une certaine autonomie, Gide donne l’impression d’écouter ses personnages, de les laisser agir comme bon leurs semblent mais en revanche, ceux-ci n’ont pas de précisons physique, ils ne sont pas physiquement décrit. Ces particularités de l’écriture du roman montrent une simplicité et une nudité de la plume. Gide refuse le récit discursif et propose aux lecteurs, auxquels il demande sa collaboration, une reconstruction des

à des idées nouvelles à travers un nombre infini de combinaisons, qui diffèrent d’un écrivain à un autre pour constituer ce qu’on appelle : style, génie, don, talent ou inspiration. C’est aussi la transformation et la transposition d’une réalité physique en des signes qui, combinés à la lisière du beau et de l’imaginaire, offrent une polysémie poly dimensionnelle qui cache toujours un arrière-plan idéologique et/ou esthétique. L’écriture est une exploration des univers langagiers par un effort qui