Avantages Inconvénients Théorie Keynésienne

empirique, la modélisation, les résultats obtenus.et les recommandations de politiques économiques. 4 PREMIERE PARTIE Chapitre 1 : Rôle des prix et de l’inflation Ce chapitre aborde la notion d’inflation, ses déterminants et les coûts et avantages d’un environnement économique inflationniste. 1-Le concept de prix d’un produit Les économies nationales sont des combinaisons de trois réalités différentes mais complémentaires : l’économie de production, l’économie de consommation et l’économie

chose restant égale par ailleurs. Cela signifie que l'on va s'occuper qu'en dehors de ce marché de l'auto toutes les autres situations sont inchangées. La contrepartie de cette théorie est que c'est totalement irréaliste. Si on devait être réalistes on étudierait simultanément tous les marchés et cela s'appellerait une théorie générale. Sur un marché isolable des autres marchés: l'offre et la demande détermine le prix d'équilibre et la quantité échangée. Ex: si j’étudie le marché de l’auto je suppose

industriels avancés maintenaient leurs quotas. Les banques occidentales ne se sont rendues sur les marchés financiers asiatiques et sud-américains que pour mieux se retirer ensuite. Le droit de la propriété intellectuelle, établi lors de l’Uruguay Round, avantage clairement les firmes occidentales, comme le montre l’attitude scandaleuse des compagnies pharmaceutiques. De plus, les pays pauvres remboursent les projets dictés par le FMI quand bien même ces projets n’apportent que crise, corruption, chômage

MODÈLE DU CIRCUIT ÉCONOMIQUE  LA FONCTION DE CONSOMMATION LE MODÈLE DU CIRCUIT ÉCONOMIQUE  LA FONCTION DE CONSOMMATION LE MODÈLE DU CIRCUIT ÉCONOMIQUE        LA FONCTION DE CONSOMMATION Les limites de la théorie keynésienne de consommation . Il a été constaté qu’à long terme la propension moyenne à consommer reste stable, malgré l’augmentation des revenus. Milton Friedman (l’hypothèse du revenu permanent) Franco Modigliani (hypothèse du cycle de la vie) L’accent

Partie 1 : l’équilibre économique global keynésien Modèle ISLM, créée en 1937 par Hicks. Ce modèle a été crée avec pour objectif de construire une analyse du modèle de Keynes pour le réintégrer dans le modèle néoclassique. Le problème est qu’il est assez simple et relativement souple. On peut l’interpréter de plusieurs façons. Chapitre 1 : Le modèle IS-LM I = Investment S = Saving L = Liquidity M = Money Le modèle ISLM a pour objectif la détermination du niveau de revenu global « Y » et du

tout positive (explicative) et non formalisée, il met l’accent sur les aspects empiriques du fonctionnement du système de protection social français, avec cependant des comparaisons internationales. Il consiste à prendre en compte les apports de la théorie économique pour exposer à la fois : les fondements des systèmes de protection sociale, les relations entre acteurs, les justifications éco de l’intervention publique, mais aussi les débats sur le devenir et les réformes du système. Ce cours mobilise

l’or (entre 1850 et 1914), une devise (le dollar entre 1944 et 1971) ou une monnaie composite (l’Ecu dans le cadre européen entre 1979 et 1999); * ECU:European Currency Unit, « unité de compte européenne » Avantages et inconvénients des changes fixes Avantages Stabilité monétaire Inconvénients Système contraignant; nécessité d’équilibrer la balance des transactions courantes Prévisibilité Conduit à privilégier la politique monétaire 4 M. Larbi TAMNINE /larbitamnine@yahoo.fr Favorise le développement

implique la création d’une monnaie unique. UEM qui rassemble actuellement 17 pays. L’intégration économique comprend l’intégration et l’intégration monétaire. L’étude de l’intégration commerciale fait référence a la théorie de l’union douanière de J.V et au théories des échanges commerciaux. Les effets de l’instauration des droits de douane Les effets d ‘un droit de douane sur le bien être d’un pays protégée dépend du degrés de protection mais aussi

un retour à la libre concurrence, ce sont apparemment les pays où l’État intervient largement dans l’économie qui surmontent le mieux les effets de la crise. Véritable anomalie pour les libéraux, ce phénomène s’explique aisément dans l’optique keynésienne. Keynes voit dans la crise le résultat d’un effondrement de la « demande effective », ou demande globale, adressée aux entreprises. Dans ces conditions, les gouvernements qui parviennent à ranimer la demande effective que ce soit par des commandes

graphique en terme de niveau ou en terme de rythme. L’évolution de l’activité économique ne s’opère pas de façon linéaire : il y a des phases de bonnes et de mauvaises conjonctures. Cette irrégularité d’évolution a conduit à la naissance de la théorie des cycles, laquelle est un constat très ancien. Il existe deux types de cycles : cycles longs et courts. En ce qui concerne la conjoncture, on va simplement retenir la notion de cycle économique, où il existe plusieurs phases. ? Croissance