Avarice Maupassant

AFFAIRES D'AMOUR ET D'ARGENT DANS LA MAISON D'UN AVARE Scène 1: Duo amoureux, éloges (paradoxal) de l'hypocrisie/ de la flatterie: "mais quand on a besoin des hommes, il faut bien s'ajuster à eux" stratégie de contournement Valère : "et l'excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants pourraient autoriser des choses plus étranges" (pourraient justifier des actions encore moins honnêtes) => excuse de la malséance du comportements des jeunes gens par le vice d'Harpagon. Valère

la Renaissance. Cet argent mal employé empoisonne les relations familiales. Cléante, à la merci de son emprunteur, obligé d’accepter les conditions exorbitantes du prêt, exprime sa rancœur : « Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères ; et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent.
Cette comédie présente deux séries de personnages opposés par l’argent : * Valère s’oppose à Cléante.
Valère et Cléante appartiennent au groupe des jeunes premiers

exemples suivants : «  je n’en puis plus », « je me meurs », « je suis mort » et « je suis enterré ». A la fin, l’affaire est tellement importante pour lui qu’il affirme se tuer par lui-même s’il ne récupère pas son argent. On comprend alors que son avarice le rend fou et qu’elle risque de le tuer vraiment petit à petit. La scène sept est représentée comme une véritable scène comique. L’avarice d’Harpagon est tellement ridicule que ça en devient drôle. Il est représenté sous plusieurs aspects mais

L’Avare Harpagon contredit et perverti la logique de l’échange : il veut organiser « un festin » pour ses convives sans rien dépenser car tout pour lui est bon pour faire des économies. De plus ce personnage qui « prête le bonjour » est d’une avarice tellement mesquine qu’il modifie le calendrier pour imposer des jeunes sévères à sa famille. Ignorant la réciprocité, Harpagon conçoit l’échange selon deux poids de mesure : lorsqu’il s’agit de son propre intérêt, il veut tirer le meilleur profit

L’éloge de la cupidité. « Mesdames ;Messieurs » Tout le monde vous dira que la cupidité est un vilain défaut dont les ravages sont redoutables et les effets dévastateurs. Aujourd’hui, la plupart des hommes se contentent d’un minimum d’argent, pour vivre et donc d’un MINIMUM de bonheur. Certains pensent que « l’argent ne fait pas le bonheur ». D’après l’opinion commune, la cupidité est considérée commune source de mal et les personnes cupides sont perçues comme « inhumaines ». En effet, elle est

de situation et de gestes. Mais Dorine reste le personnage comique de cette pièce d'un côté elle se moque d'Orgon et de Mme Pernelle et de l'autre de Tartuffe. Dans l'Avare le personnage qui fait le plus rire reste Harpagon par sa cupidité et son avarice, comique de geste et de mots avec sa cassette rempli d'argent qu'il embrasse et enlace. On y trouve plusieurs Comiques par exemple de mots : insultes, parodie, flatterie. Comique de gestes: coups de bâton, fouille, soufflet, poursuite. Comique de

« Rends-moi mon argent, coquin … » suivie de la phrase exclamative « Ah ! c’est moi » (l.7) démontre comment Harpagon a cru trouver le coupable, mais qui se traduit par un regret. Harpagon pensait avoir trouvé le voleur, mais il est pris au piège par son avarice, de ce fait il pense être victime d’un complot dont le but était de voler sa cassette. Après avoir couru dans tous les sens en criant « Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! » (l.2), Harpagon se présente en tant que victime d’un complot

sauvé la vie lors d’un naufrage. Élise doute de la continuité de l’amour de Valère. Il proteste de la sincérité de son amour. Il s’est introduit chez Harpagon en qualité d’intendant pour arriver à ses fins. L’obstacle est Harpagon et « l’excès de son avarice » l’oblige selon lui a faire le flatteur. Le projet des amants est de faire du frère, Cléante, un allié. L’entendant arriver, Valère se retire. Scène 2. Cléante, Élise. Dans cette seconde scène d’exposition, on apprend en même temps qu’Élise

notons de même que les actions choisies par l'auteur ne sont pas celles d'un catalogue complet, (celui qui serait celui de la vérité ) Mais toutes celles qui viendraient au service du renforcement des caractéristiques de chacun des protagonistes: avarice de Grandet, caractère efféminé, peu avisé, de Charles, détermination d'Eugénie, courage, puis continuité de sa filiation, avec épargne et économie de sa part aussi, fidélité de la bonne, perversité des soupirants de la fille, cupidité du mari d'Eugénie

En second lieu, son avarice lui amène à faire de mauvais choix pour ses enfants. En effet, Harpagon décide des personnes que Cléante et Élise devront épouser sans même tenir compte de l’avis de ses enfants. Après que Cléante et Élise se soient querellés avec leur père à propos des dix mille écus qu’il dit ne pas posséder, Harpagon dit à Élise : « Quant à ton frère, je lui destine une certaine veuve dont ce matin on m’est venu parler; et pour toi, je te donne au seigneur Anselme. » (p.45). Ce comique