Avarice Maupassant

5) lintrt philosophique (page 6) la destine de luvre (page 7) lanalyse dune scne (page 7) Bonne lecture Rsum Harpagon, veuf qui est le pre de deux enfants, leur impose, comme ses domestiques, des conditions dexistence indignes, du fait de son avarice de bourgeois pourtant riche qui fait obstacle leurs amours respectifs. Sa fille, lise, est amoureuse de Valre, un gentilhomme napolitain qui lui a sauv la vie, et qui sest introduit incognito dans la maison en qualit dintendant mais Harpagon consentira-t-il

d’avarice. Par analyser les particuliers d’être inconsidéré, l’irrationalité et Ross 5 l’égoïsme, on peut noter les vices terribles de ce personnage. Les temps de la grande dépression ressortir le pire côté des gens. Dans le contexte du roman, avarice sépare les bons personnages et les horribles. Cette livre « est un roman qui, à cause d'une force interne quasi mystérieuse, continuera d'être à l'étude dans de nombreux cours de littérature québécoise » (Sirois et Francoli, 63).

L’Avare de Molière Avez-vous bien lu ? par Evelyne Amon L’Avare Avez-vous bien lu ? L'auteur et la pièce 1. Molière était : auteur dramatique, comédien, metteur en scène, directeur de troupe. 2. Molière (1622-1673) a vécu sous le règne de Louis XIV (1638-1715), Richelieu (1585-1642) et Mazarin (1602-1661). 3. L'Avare a été crée en 1668. Le genre 1. Dans L'Avare, Molière se propose de corriger les hommes de son époque en tournant en ridicule leurs défauts, au moyen de la caricature

Félix Grandet a été tonnelier. Grâce à un sens aigu des affaires et une avarice plus que prononcée, il a réussi à faire fortune en profitant des événements de cette époque instable. Autrefois maire de Saumur, il fait maintenant fructifier sa grande fortune tout en faisant croire à sa femme et à sa fille Eugénie qu’ils sont moyennement riches. Les habitants de Saumur, plus au courant de la fortune du père Grandet, voient en Eugénie Grandet le plus beau parti de la ville, et deux notables la courtisent

dramaturgie complexe. Nous allons voir tout d’abord comment la situation, les gestes ainsi que le langage du protagoniste donnent à cette scène un aspect comique. Nous verrons par la suite la complexité du personnage d’Harpagon, un homme nerveux doté d’une avarice extrême mais également le pathétique du personnage.   Le personnage d’Harpagon se montre particulièrement nerveux dans cette scène. En effet,  nous avons pu remarquer la rapidité et l’impulsion avec laquelle Harpagon réagi lorsqu’il s’aperçoit du

défauts, au moyen de la caricature : il fait la satire de la société.1 L avarice d Harpagon le réduit à un état de solitude envers sa famille et envers la société dite « saine ». Tout le monde se moque de lui, même ses fils et ses collaborateurs les plus proches. Molière montre l avarice non dans sa seule dimension analytique mais aussi dans le but d en éloigner le spectateur. Pour ce faire, il montre surtout combien l avarice est ridicule. Les effets comiques ont donc un but didactique et éducatif

Harpagon s’abandonne au comique de geste « il se prend lui-même le bras » qui nait du jeu de l’acteur. Cela rend la pièce encore plus vivante. Transition : Dans ce texte de Molière le personnage d’Harpagon est présenté comme très avare , son avarice a été mise en valeur par plusieurs procédés de comiques . Jean baptiste Poquelin utiliser la comédie pour « corriger les vices des hommes en les divertissants » II) Dénoncer par le rire : 1) L’avarice est considéré selon les traditions catholiques

l’achèvera. Simmel prend justement garde de distinguer l’avarice de la cupidité au motif que le cupide cherche à gagner de plus en plus d’argent alors que l’avare vénère l’argent comme une personne. Mais il est bien obligé de considérer que cupidité et avarice ont un point commun fondamental : l’argent est pour chacun une fin absolue. Or, comment l’avare pourrait avoir de l’argent si ce n’est en le gagnant d’une façon ou d’une autre ? C’est déjà en ça qu’il en connaît le prix comme Alain le faisait remarquer

intérieurement.’’ Malheureusement, les personnes qui l’entourent ne peuvent pas voir cette partie de lui, car il se parle dans sa tête. Séraphin qui est débordé par son péché capital, ne ressent aucun sentiment pour sa pauvre femme décédée, car son avarice prend toute la place en lui. En conclusion, on peut dire que cette transgression de la morale est traitée de la même façon, car dans les deux œuvres, l’homme qui tente de se faire de l’argent sur le dos de ses proches est très mal perçu auprès de

permet de flatter notre égo et nous sentir vivant. Mais l’argent peut être source de malheur si on prend l’exemple d’Harpagon, dans l’avare de Molière. Il voit dans l’argent un plaisir et un pouvoir. L’argent devient un but et pas un moyen. Son avarice l’amène à n’écouter que ses désirs et à ignorer la morale. Lorsqu’il découvre que sa cassette a disparu, Harpagon préfère sacrifier sa vie de famille et lui-même plutôt que son argent. Le bonheur serait-il dans le court moment de la dépense ? Le