Avoué

qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée… Acte II (6 scènes) Hippolyte propose à Aricie de lui rendre le trône d'Attique, laissé vacant par la mort de Thésée, et lui avoue son amour. Leur entretien est interrompu par Phèdre, venue prier Hippolyte de prendre soin de son fils mais qui finit par

Le passage présenté se situe à la fin de la scène 5 de l’acte II, qui voit Phèdre et Hippolyte se rencontrer suite à l’annonce de la mort de Thésée. Hippolyte vient de déclarer sa flamme à son amour, Aricie, et Phèdre dans l’extrait lui avoue sa passion. L’extrait constitue l’aveu terrible de Phèdre par une tirade, et marque un rebondissement dans le drame de la pièce. (présentation de l’extraitcruel » est employé trois fois v. 671 v. 681 v. 684. → Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver

la surveille. Figaro peut aider le Comte mais Bartholo s'apprête à épouser Rosine. Figaro propose au Comte de le déguiser en soldat pour le faire héberger chez Bartholo. Acte II Figaro a pu avertir Rosine de l'amour que lui porte Lindor; elle avoue elle aussi son amour. Mais Bazile, maître de musique de Rosine, avertit Bartholo de l'arrivée du Comte à Séville. Figaro a surpris leur conversation. Bazile parti, Bartholo réussit à faire avouer à Rosine qu'elle a écrit une lettre. Arrive alors le

comtesse arrivera à l’y empêcher et à le faire sortir de la chambre mais il prend la précaution de fermer la porte de la chambre. Entre temps Suzanne arrive à aller dans le cabinet et chérubin arrive à s’enfuir. Mais la Comtesse ne sachant pas cela avoue au Comte qu’il y a chérubin dans le cabinet. Le comte devient furieux et profère des menace contre le page « Je le tuerai » acte II scène 16.Pour finir Suzanne sort du cabinet et dit au comte qu’ils voulaient lui faire une blague qui n’a pas marché

Le texte soumis à notre commentaire est de nature juridique et foncière. En effet, il s’agit d’une présentation de la seigneurie de Zissen en lorraine, qui énumère les revenus que l’abbé peut attendre de cette seigneurie et se partager avec son avoué, en insistant sur les profits réalisés par la justice. L’auteur est Charles-Edmond Perrin, historien de Lorraine réputé du XXème siècle, ayant rédigé une thèse d’histoire médiévale. L’extrait étudié provient de son ouvrage « Recherches sur la seigneurie

Un jour après mon cours d’introduction à la comptabilité je lui ai démandé d’aller prendre un café puisque le lendemain matin c’était congé. Pendant qu’on prenait notre café, je lui ai fait part un peu de ce que je ressentais pour elle. Elle m’a avoué qu’elle aussi s’intéréssait à moi, mais elle attendait que je fasse les premiers pas. On s’aimait énormement, on faissait plein d’acitivités ensemble, nous étions vraiment bien. Je n’ai jamais été en amour avec une fille comme ça auparavant. Cela

maître 6. Les serviteur vont donc à la rencontre de Sganarelle qui ausii décris pr sa femme d’etre un médecin non ordinaire car il nie parfois sa profession et que sous le baton il avourait 7. Les deux serviteur vont battre sganarelle jusqu'à qu'il avoue le titre de sa profession 8. Il est donc apporter à la demeure du maître où on lui présente la malade qui avait perdue sa voix 9. La perte de sa voix retarde son mariage avec l’homme que son père a choisi pour elle . 10. Après avoir refusé qu’elle

amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, seconde épouse de Thésée, avoue à OEnone , sa confidente et nourrice , la passion coupable qu’elle ressent pour Hippolyte , son beau fils . Juste après son aveu, Phèdre apprend que Thésée est mort. 2ème acte : Hippolyte propose a Aricie le trône de Attique ( région qui entoure Athènes ) , laissé vaquant par la mort de Thésée , et il lui avoue son amour . Cet entretien est interrompu par Phèdre, venue prier Hippolyte de prendre soin

séduction (>comédienne), calculatrice. Derville : avoué qui gagne beaucoup d’argent grâce à une grande capacité de travail, Derville parvient à accorder vie mondaine et profession. Malgré son jeune âge, il est très lucide et à une vision pessimiste de la société. C’est un modèle d’écoute et de compréhension qui a une importante faculté à observer et à comprendre : il est le double du romancier. Adjuvant. Evolutions : Delbecq : ancien avoué ruiné, il est devenu le secrétaire du comte Ferraud

l’auteur annonce le thème de sa thèse et les raisons qui selon lui l’ont poussé à orienter ses recherches sur le territoire Tunisien. En effet, l’auteur ayant des origines tunisiennes, il pense que ce facteur a pu influencer son choix. De plus, il avoue avoir eu peur de ne pas être à la hauteur en travaillant sur la France, sujet largement étudié par de nombreux historiens. Cette partie du texte dévoile les difficultés qu’a rencontrées Serge La Barbera durant ses recherches. Continuant à exercer