Bab El Oued

l'islam[76] ; - Carthage, Sidi Bou Said, la médina (avec la mosquée El Zitouna) située au cœur de la capitale Tunis ; - le Collisé d'El Djem le plus grand de l'Empire romain après celui de Rome, Dougga (site archéologique romain inscrit au patrimoine mondial de l'humanité), le site archéologique punique de Kerkouane, les habitats Troglodytes du sud tunisien, etc * Maroc : Mosquée Hassan II, Université Al Quaraouiyine, Jamaâ El Fna. Quels sont les enjeux politiques et économiques qui prédominent

trouvait en face d’Alger, et à portée de flèche, quatre îlots séparés que le géographe arabe, Bekri, indiquait, dans le cinquième siècle de l’Hégire (onzième de notre ère) —6— sous le nom collectif de Stofla. Ces massifs rocheux étaient aussi appelés El Djezaer (les îles) par les Indigènes, qualification pompeuse qui a donné naissance aux diverses expressions plus ou moins altérées par lesquelles, en Europe, on désigne la capitale de l’Algérie ; telles que Alger, Argel, Algiers, Algieri, etc. Les trois

manifestations encadrées, canalisées, laissent apparaitre une nouvelle organisation, celle-là, à l’évidence, est rompue à la discipline et à l’ordre… La suite s’écrira sur plus d’une décennie dans le sang. En 2011, la Tunisie aura son Badjarah et Bab el Oued. Le régime Bourguiba, et ensuite le régime Ben Ali, ont totalement confiné dans une portion congrue les islamistes. Ils étaient dans la quasi-clandestinité. Dans le feu de Sidi Bouzid « Ils sont sortis de cette quasi-clandestinité à la faveur d’une

l'Organisation armée secrète (OAS), fondée pour s'opposer aux négociations d'Évian. Impuissante à empêcher l'indépendance, l'OAS multiplie les attentats (en Algérie et en métropole), les destructions systématiques et les massacres, comme la fusillade de Bab-el-Oued en mars 1962. Les violences commises par l'OAS ne cesseront qu'après l'accord FLN-OAS du 17 juin 1962. Dans un tel climat de haine et de peur, 900’000 Français d'Algérie décident de quitter le pays, de se faire « rapatrier » en France.   Les accords

Rapatriés Internautes) soutenu par l'ADIMAD et le collectif Harkis Infos47, arguent du fait qu'il s'agit en réalité d'un arrêt formel des hostilités mais pas de la guerre d'Algérie, puisque l'OAS a poursuivi sa lutte anti-indépendantiste (bataille de Bab el Oued) en ignorant le cessez-le feu entre la France et le FLN (termes des accords d'Évian le 18 mars 1962) et que les massacres ont continué après cette date (fusillade de la rue d'Isly le 26 mars 1962, puis massacre d'Oran le 5 juillet 1962). Le sénateur

remercier toutes les personnes ainsi que toutes les institutions qui ont rendu possible l’élaboration du présent document. Nous remercions d’abord, Mr. Allal SAKROUHI, Wali - Directeur Général des Collectivités Locales-Ministère de l’Intérieur, Mme Zakia el MIDAOUI, Directrice de la Coopération Multilatérale du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération, Mr. Bruno POUEZAT, Représentant Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement au Maroc, et Mme Alia AL DALLI, Représentant

m’avoir consacré beaucoup de son temps précieux. Je remercie également la MAMDA qui m’a donné la possibilité d’être membre de son équipe. J’adresse aussi mes vifs remerciements à tout le staff de notre bureau régional sans exception Mme EL MESKYNY Majda et Mr NACHAT EL Mustapha. Finalement, j'adresse mes remerciements à mes collègues que j'ai rencontrés pendant le séminaire d’intégration à Rabat et mes formateurs. PLAN DU RAPPORT Introduction I- L’assurance au Maroc.

l'art de faire la guerre ne sont pas les moindres, Ramel, de son vrai nom Hadji Athman, devient commandant des opérations dans le Grand-Alger sous les ordres de Ali la Pointe. Sous sa coupe, il y a Lyès Henni, à la tête de la Zone II qui va de Bab-El-Oued à Guyotville, à l'Ouest De taille moyenne, avec son regard bleu pointu, Henni force le respect. C'est un combattant. Ramel, en revanche, conserve le commandement de la Zone I (Alger-Centre et Casbah) précédemment dirigée par Arbadji Abderrabmane

chaos : « ils jetteront, par d’incessantes provocations, les deux communautés l’une contre l’autre et les massacres obligeront l’Armée française à tirer sur les Musulmans, la guerre se rallumera sur l’herbe » (lignes 79 à 81), comme à la bataille de Bab El-Oued (mars 1962), la fusillade de la rue d’Isly (mars 1962) ou encore l’attentat du Port d’Alger (2 mai 1962). L’armée française est alors obligée d’intervenir pour maintenir le calme mais surtout pour faire respecter le cessez-le-feu. La question

|anti-indépendantistes du FAF jetant des pierres aux M8 Greyhound de l'Armée française le 9 décembre 1960 ; soldat français utilisant un| |détecteur de métaux pour vérifier que des musulmanes en hayek ne dissimulent ni bombe ni arme. 4e rang : émeute FLN à Bab el Oued du | |10 décembre 1960 ; gardes mobiles utilisant un lance-grenades défensives à Alger ; sympathisants FLN face à face avec les parachutistes| |français durant la manifestation FLN du 10 décembre 1960.