Babylone

durement au réel. Il s’agit aussi d’un conte oriental à la manière du XVIIIe siècle où la fantaisie est utilisée pour exprimer des idées philosophiques, en particulier la question de la Providence et du bonheur. Résumé Zadig, jeune sage oriental de Babylone, dont le nom désigne « celui qui dit la vérité », est victime de l’inconstance féminine. En effet, Sa fiancée Sémire l’abandonne pour épouser Orcan. Il épouse alors Azora qui lui manifeste son infidélité en n’hésitant pas à lui couper le nez au

à une vitesse fulgurante. Par exemple, en une centaine de pages, on nous conte la chute du royaume de Moadbar et comment Zadig parvient à épouser la reine, ancienne épouse de ce premier.   -      L’espace : l’intrigue se passe essentiellement à Babylone ou en Egypte – ici, c’est le caractère oriental que Voltaire a choisi pour que le lecteur se sente dépaysé. De plus, cela participe à un effet de mode incité par la traduction des Mille et une nuits et les Lettres persanes de Montesquieu.   -       Les

‘ ZADIG ‘ Voltaire Chapitre I: À Babylone, Uun jeune homme, beau, riche, vertueux et très apprécié nommé Zadig était destiné à épouser Sémire lorsqu’un homme, Oracan, étant jaloux, fit enlever Sémire. Mais Zadig défend Sémire mais se blesse gravement au niveau de l’œil. Un grand médecin qui affirme à Sémire que Zadig sera borgne. À cette nouvelle, Sémire se refuse d’épouser un borgne et se précipite épouser Orcan. Ayant guéri, Zadig à cette nouvelle décide de se marier à Azora. Chapitre

L'envieux. Zadig voulut se consoler, par la philosophie et par l'amitié, des maux que lui avait faits la fortune. Il avait, dans un faubourg de Babylone, une maison ornée avec goût, où il rassemblait tous les arts et tous les plaisirs dignes d'un honnête homme. Le matin sa bibliothèque était ouverte à tous les savants ; le soir, sa table l'était à la bonne compagnie ; mais il connut bientôt combien les savants sont dangereux ; il s'éleva une grande dispute sur une loi de Zoroastre, qui défendait

fond d'son hôpital 

Refrain. Babylone : Le ciel se voile, les glaciers transpirent 
Babylone 
Plein de gasoil nos poumons quand on respire 
Dans Babylone
 Bruits d'aéroplanes qui t'empêchent de dormir
 Alors tout le monde se came 
Pour pouvoir s'évanouir 
Jouir sans entrave dans son travail 
et vieillir 
Mourir au volant d'une Safrane et de quelques loisirs

 Refrain
 : Je me tire 
Babylone 
Je me tire
 Faut que je respire 
Je me tire 
Babylone 
Je me tire
 Faut que je respire



avant de revenir triomphant à Babylone. La fiction narrative permet à la verve de l’auteur de se donner libre cours, grâce à un déguisement oriental de fantaisie qui autorise toutes les insolences. 1/ L’introduction du décor spatio temporel à la façon des contes Dès la première phrase d’ouverture de ce chapitre, on retrouve les éléments caractéristiques d’un comte. En effet, on nous indique que « Du temps du roi de Moabdar, il y avait à Babylone un jeune homme nommé Zadig ».

injustice caractérisent le récit de Zadig, qui est continuellement à la recherche de la béatitude. Il s'engage sur divers chemins qui ne le mènent guère au bonheur. Enfin, il finit par se marier avec la belle Astarté, la reine de Babylone. A ses cotés, Zadig gouverne Babylone et trouve enfin le bonheur. III. Les actants:Zadig: Dominant physique: “ richesses, et par conséquent avec des amis, ayant de la santé, une figure aimable(…)” Ainsi, Zadig est un homme

A Babylone, Zadig :un jeune  homme comblé par la nature. Il est jeune, riche et beau. Zadig, toujours intègre, optimiste, est persuadé que le bonheur est possible. S'interroge sur les concepts du bien et du mal, de la liberté humaine et de la volonté divine. Hélas, il ne va enchaîner que désillusion sur désillusion. Ses nombreuses qualités entrainent la jalousie de certains. Il va être trahi, déçu, emprisonné… Il aime passionnément Sémire et est sur le point de l’épouser. Orcan , jaloux

a la dénonciation du fanatisme religieux. Zadig est un moyen pour Voltaire de faire la satire de personne avec qui il veut régler ses comptes. Tout d’abord, il y a la figure de Moabdar, le roi versatile et influençable mais aussi tyrannique de Babylone qui est une évocation de roi Louis XV. Mais ce même personnage peut faire allusion au roi de Prusse Frédéric II, car comme lui, le roi Moabdar « aimait la poésie » et tous deux, se piquent de culture. Ensuite, il y a Yébor, qui est Boyer, l’évêque

le bruit de votre maladie, et je vous ai apporté un basilic cuit dans de l’eau de rose. » (Lignes 199-201), puis il propose un marché fort intéressant, celle-ci sera suivi d’un compliment, « Je ne vous demande que la liberté d’une jeune esclave de Babylone que vous avez depuis quelques jours ; et je consens de rester en esclavage à sa place si je n’ai pas le bonheur de guérir le magnifique seigneur Ogul. » (Lignes 201-205). Zadig se sous-évalue face au seigneur pour lui donner un sentiment de sécurité