Bachelard Science Et Opinion

Cours de Sciences Sociales de M. PIAZZA. L1 section B, Université de Cergy-Pontoise Sciences sociales Introduction générale I/Quel est l’objet des sciences sociales ? A/l’opposition entre réalisme sociale et atomisme sociale Les sciences humaines ont un objet d’étude particulier : l’Homme. Cet Homme prit pour objet d’étude, ne peut être étudié de la même façon qu’un objet physique (table) ou qu’un animal/végétal. Au sein des sciences humaines, les sciences sociales se distinguent de la

est consacré à la « religion civile »), « la raison et le réel » (au sens où Le Contrat Social peut être questionné à partir de la méthode d’investigation mise en œuvre par Rousseau), « théorie et expérience » (la politique est-elle un art ou une science ?), mais également « la liberté » (sous forme de perfectibilité, qui définit l’homme au moins autant que la raison). Que pouvons-nous alors étudier avec nos élèves ? Tout ou partie de l’œuvre ? Le plus souvent, c’est le livre un qui est l’objet de

22 Cultural studies 22 Culturalisme 23 Culture Voir aussi « Culture (en sociologie des organisations) » 24 Culture (en sociologie des organisations) 24 La Culture du pauvre (livre de Richard Hoggart) (sociologie des publics) 25 Cybernétique (sciences de l’information et de la communication) 25 Darwinisme social 25 Date de Dernière Lecture (méthode) Voir aussi « Through the book (méthode) » 26 DEA Voir « Durée moyenne d’écoute par auditeur (DEA) » 26 Déduction 26 DEI Voir « Durée moyenne

véritablement, pourtant, la science progresse contre les certitudes établies. I: Le savant est celui qui sait de façon certaine.  La certitude est le sentiment qui accompagne la connaissance. Elle se distingue de la conviction qui est seulement le sentiment de savoir. La certitude est fondée objectivement, par exemple par un test empirique ou par une démonstration mathématique. Platon distingue la science de l'opinion. L'opinion est incertaine tandis que la science est certaine. Selon Descartes

leur nature mais par des degrés. « Dans la conception moderne du Monde, la Nature est considérée comme séparée des activités humaines, alors que dans bien des sociétés, ce n’est pas le cas. Mon idée est qu’il faut dépasser cette séparation entre sciences de la nature et de la culture pour progresser dans notre compréhension du Monde. » Descola Chercher à donner une signification à ce qu’est l’humanité pose le problème de savoir quel type de critère peut être retenu et si cette détermination peut

vecteurs de cet arrachement à l’être originaire. C’est pourquoi l’humanité de l’homme ne peut se situer dans la satisfaction de ses besoins primaires, mais consiste au contraire dans leur nécessaire transformation en désirs raffinés. C’est ainsi que Bachelard, dans sa Psychanalyse du feu, est amené à évoquer l’importance capitale du feu dans la nourriture de l’homme : « C’est par une sorte de plaisir de luxe, comme dessert, que le feu prouve son humanité. Il ne se borne pas à cuire, il croustille.

Alain FOGUE TEDOM qui, malgré ses nombreuses occupations, a été pour nous autant une source qu'un guide chaleureux et accueillant chaque fois que nous frappions à sa porte. Nos remerciements vont aussi à tous les enseignants du département de Science politique de l'Université de Yaoundé II qui ont concouru à notre formation académique. Nous saisissons cette opportunité pour leur exprimer notre gratitude. Quant aux documents recueillis dans nos collectes de données, nous rendons un grand hommage

autant les personnes qui s’intéressent à la recherche (Éducation-Recherche) que celles qui développent des moyens d’intervention (É ducation Intervention). Ces collections sont dirigées par madame Louise Lafortune, professeure au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières, qui, forte d’une grande expérience de publication et très active au sein des groupes de recherche et dans les milieux scolaires, leur apporte dynamisme et rigueur scientifique. Éducation-Recherche

de celle-ci, indiquer la démarche à suivre pour les affronter. A. Une recherche esthétique Le terme d’Esthétique, tiré au milieu du XVIIIe siècle par Baumgarten, d’un mot grec, aisthêsis, qui signifie sensation, désigne soit une science du Beau, soit une science des impressions produites par celui-ci. C’est dans ce deuxième sens que le prend Freud : la psychanalyse, en effet, « étudie les conditions dans lesquelles on ressent le beau, mais elle n’a pu apporter aucun éclaircissement sur la nature

L’évolution des idées − avec en particulier la crise des idéologies, l’émergence de la notion de complexité, l’attention aux phénomènes environnementaux, la critique des structuralismes et le retour du sujet − amenait à remettre en cause, dans les Sciences humaines, toute cohérence globale, forte, permanente et universelle : or toutes les méthodologies constituées, approche communicative incluse, avaient jusqu’alors relevé de ce modèle unique de cohérence. 3) À l’impression personnelle, dans mes visites