Bagaudes

pourchassé de tanière en tanière. Une complication surgit Malplaquet traîna deux jours et mourut. Il l'apprit d'un paysan qui, la nuit, lui apportait du couteau qu'il ouvrit les côtes : : pain dans le bois. Tout fertile en ruses qu'il était, le bagaude comprit que la position n'était plus tenable il aurait beau biaiser, se terrer, grimper à la cime des arbres, il fini; rait par être Le rustre pris. l'avait averti battait les taillis qu'une escouade de forestiers avaient été réquisitionnés

nombreuses terres restent inexploitées. Les rendements, fondés sur le travail servile, ne progressent pas. L’industrie n’a pas non plus progressé, malgré des centres parfois florissants. Elle dépend des transports, mis à mal par l’insécurité des bagaudes, des barbares et de la guerre civile. L’hémorragie de métaux précieux vers l’Orient en raison des dépenses somptuaires devient de plus en plus grave en raison de l’épuisement progressif des mines occidentales. L’inflation est galopante. Par exemple

contrôle des Champs décumates, à l’est du Rhin ; les villes s’entourent de murailles Reprise en mains assurée fin IIIè siècle par les emp. Illyriens : poussées germaniques sont contenues ds les provinces rhéno-danubiennes ; écrasement des bagaudes ; Europe partagée en plusieurs nouvelles provinces, plus réduites pour mieux assurer la défense et la perception des impôts. Ainsi, la Bretagne, déjà divisée en 2 par Septime Sévère comprend désormais 4 provinces ; péninsule ibérique passe de 3 à

l'information, et l'éducation au public314. 8- 4. 2 LE PARC NATIONAL DE PORT-CROS Le Parc National de Port Cros est créé par le décret n° 63-1235 le 14 décembre 1963. Il comprend les îles de Port-Cros et les îlots du Rascas et de la Gabinière ; île de Bagaud et les îlots constituant les parcelles cadastrales 391 et 392 et la zone marine autour de ces îlots jusqu’à 600 mètres des côtes. Comme dans tous les parcs nationaux, une réglementation générale indique les pratiques à appliquer dans le parc. L’interdiction

fertile, industrieux, couvert de riches monuments, où une classe moyenne tendait toujours à se reconstituer comme un produit du sol après chaque tempête, était d'instinct conservateur. Il avait horreur de l'anarchie. Les communistes du temps, les Bagaudes, dont les tentatives révolutionnaires avaient toujours été vaincues, n'étaient pas moins redoutés que les Barbares du dehors. La Gaule romaine désirait un pouvoir vigoureux. C'est dans ces conditions que Clovis apparut. À peine Clovis eut-il succédé

de ses maîtres, comme un animal domestique, trop battu et enragé. Toujours, de siècle en siècle, la même exaspération éclate, la jacquerie arme les laboureurs de leurs fourches et de leurs faux, quand il ne leur reste qu’à mourir. Ils ont été les Bagaudes chrétiens de la Gaule, les Pastoureaux du temps des Croisades, plus tard les Croquants et les Nu-pieds courant sus aux nobles et aux soldats du roi. Après quatre cents ans, le cri de douleur et de colère des Jacques, passant encore à travers

fertile, industrieux, couvert de riches monuments, où une classe moyenne tendait toujours à se reconstituer comme un produit du sol après chaque tempête, était d'instinct conservateur. Il avait horreur de l'anarchie. Les communistes du temps, les Bagaudes, dont les tentatives révolutionnaires avaient toujours été vaincues, n'étaient pas moins redoutés que les Barbares du dehors. La Gaule romaine désirait un pouvoir vigoureux. C'est dans ces conditions que Clovis apparut. À peine Clovis eut-il succédé