Bagne de la Guyane française

Affaire Dreyfus Introduction : Le 5 janvier 1895, le capitaine Alfred Dreyfus est solennellement dégradé dans la cour de l'École Militaire, à Paris. Il a été condamné au bagne à vie pour haute trahison. L'«Affaire Dreyfus» commence un an plus tard avec la révélation de son innocence. Elle va secouer l'opinion publique en France et dans le reste du monde pendant plusieurs décennies. Elle débute comme une banale affaire d'espionnage par la découverte en septembre 1894 d'un bordereau contenant des

illustré, n° 218, 20 janvier 1895 Le 17 janvier 1895 Dreyfus est sorti en pleine nuit de la prison de la Santé, amené depuis la gare d'Orsay par train cellulaire à La Rochelle, où une foule haineuse qui le reconnaît menace de le lyncher, puis au bagne de l'Île de Ré. Il est embarqué le 21 février à La Rochelle à destination des îles du Salut. Dans Cinq années de ma vie Dreyfus relate la traversée : « Les premiers jours de la traversée furent atroces ; le froid était terrible dans la cellule ouverte

Dreyfus L’affaire Dreyfus a pour origine une erreur judiciaire[1],[2] sur fond d’espionnage et d'antisémitisme, dont la victime est le capitaine Alfred Dreyfus (1859-1935), français et alsacien d'origine, et juif. Cette affaire a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906. La révélation de ce scandale, dans « J'Accuse…! », un article d’Émile Zola, paru en 1898 dans L'Aurore, journal de Clemenceau , provoque une succession de crises politiques et sociales uniques en France. À son

universel masculin pour les hommes de plus de 21 ans, la liberté de réunion et la liberté de presse. Des ateliers nationaux sont créés pour réduire le chômage, croissant depuis les mauvaises récoltes de 1846. Et l'esclavage est aboli dans les colonies françaises. C'est un grand élan d'optimisme pour la France, qui n'a pas connu autant de libertés depuis l'Empire de Napoléon. En avril 1848, les libéraux obtiennent la majorité lors de l'élection à l'Assemblée nationale constituante, ce qui inquiète les paysans

III. La consolidation de la république Après des décennies de révolutions, de tentatives de restaurations monarchiques et d’agitation violentes, la France républicaine fait figure d’exception dans une Europe monarchique. La démocratie française s’est bâtie progressivement en s’appuyant sur l’école, et des symboles forts pour s’attacher les masses rurales majoritaires. A. La III République A la belle époque, la III République est connaît son apogée, mais le phénomène est récent.

public …………………………………………………………. p 4 C - Le « Code noir » et ses origines ………………………………………………….. p 5 D - Le statut de l’esclave ……………………………………………………………... p 5 E - Le commerce triangulaire ……………………………………………………….. p 7 II - Dans les colonies françaises ……………………………………………………………… p 8 A - La vie quotidienne des esclaves …………………………………………………. p 8 1 - Colonie pénitentiaire ……………………………………………………… p 8 a - Les Forçats b - Les Canaques c - Le Code de l’Indigénat 2 - Aux Antilles ………………………………………………………………

avec le reste du journal. On appelle “localier” le journaliste responsable d'une locale, ou rédacteur dans un tel bureau. Albert Londres Journaliste français né à Vichy en 1884. Pionnier du grand reportage “engagé” (son livre Au bagne, dénonce le régime pénitentiaire de Guyane), il est mort dans l'océan Indien en 1932.Le prix de journalisme qui porte son nom récompense des enquêtes de qualité exceptionnelle. main courante : Dans le domaine commercial, registre sur lequel sont consignées des opérations

Introduction (de niveau première) : voir pp. 164-168 Proclamée après la chute du Second Empire, la IIIe République s’impose progressivement dans le pays. Entre 1870 et 1914, les républicains réalisent un projet dont les racines remontent à la Révolution française. Celui-ci s’appuie sur les libertés, la démocratie parlementaire, l’égalité ou encore la laïcité. Sa mise en œuvre s’effectue toutefois sans plan préétabli, au fil des événements politiques. En outre, de nombreuses contestations existent, que ce

est malheureusement très fournie en exemples. Ce crime, qui paraît si horrible et inconcevable de l'extérieur, est motivé par diverses raisons : la première, et sans aucun doute la plus courante, est la honte de l'enfant illégitime, que la société française au XIXe siècle cultive en faisant de ce type d'enfants un symbole de dépravation des jeunes filles ; avoir un enfant d'une relation hors-mariage est absolument inadmissible dans une société encore très religieuse, particulièrement en milieu rural

Paris (majoritairement à l’Est) installation de barricades. Les pleins pouvoir sont donnés au Général Cavaignac pour mater la rébellion -> 3 à 5k de morts (1,5k tués sans jugement) + 12k arrestations. Les prisonniers sont envoyés au bagne (Nouvelle-Calédonie et Guyane) dont Blanqui. Pour finir, Cavaignac prend la tête du gouvernement -> rupture entre le pouvoir (ouvriers et socialistes) 2) Des tensions multiplesAu niveau politique, des divisions de plus en plus grande