Baiser éluard

et, dessus, Un petit insecte rose. J'aurais dû - mais, sage ou fou, A seize ans on est farouche, Voir le baiser sur sa bouche Plus que l'insecte à son cou. On eût dit un coquillage ; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche franche était là : Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle ; Mais le baiser s'envola. - Fils, apprends comme on me nomme, Dit l'insecte du ciel bleu, Les bêtes sont au bon Dieu, Mais

baloon95 dit : bsr bsr c'est Frank du site jecontacte comment vas tu ? baloon95 vous a envoyé un wizz. magnevamarline@hotmail.fr dit : bsr ca va merci et toi? baloon95 dit : oui merci enchanté de te te coonaitre magnevamarline@hotmail.fr dit : je serai peut etre décnnecté car il ya coupures de courant à Madagascar car c'est la crise moi aussi baloon95 dit : ok pas de soucis tu es célibataire ? magnevamarline@hotmail.fr dit : oui baloon95 dit : depuis

ki sortaient d’une mercedes,portant des vêtements de marque dont une est la capitaine de l’équipe et l’autre est la plus populaire …..et bien ca en fait des regards.Chris était devant sa porsche à nous attendre,il me prit dans ses bras et déposa un baiser sur mon front en me disant ke j’étais belle ,je lui rendis la pareille en ébouriffant ses cheveux et en déposant un bisou sur sa joue .Il était plus que beau dans sa chemise Burberry et ses chaussures Gerard Darel. Il fit tourner Amanda autour de

grand, Viens verser ta blanche pensée, Comme un ruisseau dans un torrent ! Car sais-tu, seulement pour vivre, Combien il m'a fallu pleurer ? De cet ennui qui désenivre Combien en mon coeur dévorer ? Donne-moi, ma belle maîtresse, Un beau baiser, car je te veux Raconter ma longue détresse,Vous connaissez que j'ai pour mie Une Andalouse à l'oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu'au matin. Voyez-la, quand son bras m'enlace, Comme le col d'un cygne blanc, S'enivrer

et, dessus, Un petit insecte rose. J'aurais dû - mais, sage ou fou, A seize ans on est farouche, Voir le baiser sur sa bouche Plus que l'insecte à son cou. On eût dit un coquillage ; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche franche était là : Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle ; Mais le baiser s'envola. - Fils, apprends comme on me nomme, Dit l'insecte du ciel bleu, Les bêtes sont au bon Dieu, Mais

et, dessus, Un petit insecte rose. J'aurais dû - mais, sage ou fou, A seize ans on est farouche, Voir le baiser sur sa bouche Plus que l'insecte à son cou. On eût dit un coquillage ; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche franche était là : Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle ; Mais le baiser s'envola. - Fils, apprends comme on me nomme, Dit l'insecte du ciel bleu, Les bêtes sont au bon Dieu, Mais

HISTOIRE DES ARTS I – Présentation Gustave Klimt Le Baiser 1907 – 190 180cm x 180cm c'est une œuvre figurative huile sur toile On peut dire que c'est une scène de genre car nous avons des personnages dans une scène extérieure en action mais on peut aussi dire que c'est un portrait du couple. II – Représentation On voit une femme et un homme, un couple dans un espace qui semble extérieur. Le couple est enlacé sur un parterre de fleurs. Ils sont enveloppés dans un ample vêtement doré. La

premier temps, nous parlerons d’une stratégie de séduction singulière et dans un deuxième temps, l’association des registres, lyrique et pathétique. I – Une stratégie de séduction singulière … Il utilisera plusieurs métaphores pour désigner le baiser, comme par exemple au vers 16, où il cite l’abeille et le miel, ce qui caractérise le goût ou encore une énumération de mots qui constituent le domaine de l’engagement « Un aveu », « Une promesse », « Une façon »… 1. Un badinage plaisant et léger

dit d’arrêter pour pas qu’elle ait des ennuis avec ses très chers parents. Elle descendit de sa tour pour rejoindre son bien-aimé et lui dire qu’elle ressentait la même chose que lui. Clotaire n’en revenait pas et se décida enfin à l’embrasser. Ce baiser se termina très vite car ils entendirent quelqu’un arriver à leur rencontre. C’était le prince Clovis qui vint retrouver sa prétendante. Arianne trouva le prétexte qu’elle était fatiguer pour s’éclipser. Le lendemain, Arianne retrouva son amant

triangle, où comme à ces mâtins Hors œuvre on voit pousser de longues dents pourries, Une lèvre chancreuse à baiser les furies, Un front plâtré de fard, un boisseau de tétins, Sont tes rares beautés, exécrable Thessale. Et tu veux que je t'aime, et la flamme loyale De ma belle maîtresse en ton sein étouffer ? Non, non, dans le bordeau va jouer de ton reste ; Tes venimeux baisers me donneraient la peste, Et croirais embrasser une rage d'Enfer. Jean AUVRAY (1590-1630) Ce poème est un poème