Baisse Des Taux Directeurs

Efficacité de la politique monétaire III. Recommandations pour lutter contre les tendances inflationnistes Conclusion INTRODUCTION GENERALE L'inflation est le phénomène de la hausse généralisée des prix, et correspond donc à une baisse durable de la valeur de la monnaie. Il s'agit d'un phénomène persistant qui fait monter l'ensemble des prix, et auquel se superposent des variations sectorielles des prix. La monnaie (ou l'argent) étant l'étalon des valeurs, sa variation n'est pas

de l’activité économique peut provoquer une baisse des dépenses et une hausse des recettes fiscales. b) Un ralentissement de l’activité économique peut provoquer une hausse du chômage et une hausse des recettes fiscales. c) Un ralentissement de l’activité économique peut provoquer une hausse des dépenses, une baisse des recettes fiscales et un déficit budgétaire. d) Un ralentissement de l’activité économique peut entraîner une baisse des dépenses et des recettes fiscales. 2.

1. La hausse des prix correspond à une augmentation de la masse monétaire en circulation dans une zone (zone euro par exemple) et donc entraînant une baisse du pouvoir d’achat des agents, ce qui est néfaste pour l’économie de la zone puisqu’elle assiste à une poussée inflationniste. Dans la zone euro, c’est la Banque Centrale Européenne (BCE) qui est chargée de s’assurer de la stabilité des prix en contrôlant que l’offre de monnaie n’est pas excessive par rapport à l’offre de biens et de services

à celle des prix et le de la conso des ménages. Cette stabilité va se mesurer par rapport au taux d’inflation. Définition :Inflation est le phénomène de hausse généralisée et auto-entretenue du niveau général des prix Aujourd’hui la maie est instable puisque nous connaissons un phénomène de déflation = baisse du tx d’inflation. Le taux d’inflation est le signe d’un phénomène déflationniste puisque le taux est de 0,3% en 09/2014. 2) La stabilité externe C’est la stabilité par rapport aux autres maies

2. Les opérations de refinancement * a) La politique de taux directeur * (1) Les opérations d'open market et les facilités permanentes * (2) Le marché interbancaire * b) Quelle fonction de réaction ? * C. LES CANAUX DE TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONÉTAIRE * 1. Les canaux « objectifs » * a) Le canal des taux d'intérêt * b) Le canal du crédit * 2. Les canaux

Accroissement des revenus Augmentation des rentrées fiscales Relance de l’activité Création d’emplois Hausse de la FBCF publique Réduction des déficits publics Hausse de l’investissement Baisse des coûts fixes unitaires Aide à la FBCF privée DOCUMENT 2 – Taux directeurs des banques centrales des Etats-Unis (Fed), de la zone euro (Repo), de l’Angleterre (BoE) et du Japon (BoJ) (en %) DOCUMENT 3 – Perspectives de l’économie des pays de l’OCDE après la crise de 2008-2009

centrales dans la relance économique a) le cas de la BCE ➢ Totalement indépendante depuis Maastricht : confiée la politique monétaire de la zone économique de l’UEM, elle contrôle M3 avec pour objectif stabilité des prix à 2%. Taux directeur à 2% depuis 2009. Souvenir des deux guerres mondiales provoqué par l’Inflation ! ➢ Aujourd’hui, la BCE intervient pour : - couvrir le risque de liquidité, elle en a injecté pour la crise et pour un bon fonctionnement

Aujourd’hui le Maroc 17/12/2014 Bank Al-Maghrib abaisse de nouveau son taux directeur à 2,5% «Le Conseil de Bank Al-Maghrib (BAM) a décidé de baisser à nouveau son taux directeur, de 2,75% à 2,5%», a annoncé, Abdellatif Jouahri, gouverneur de BAM lors d’une conférence de presse tenue à l'issue du conseil du BAM mardi 16 décembre 2014. «Le Conseil de Bank Al-Maghrib (BAM) a décidé de baisser à nouveau son taux directeur, de 2,75% à 2,5%», a annoncé, Abdellatif Jouahri, gouverneur de BAM lors d’une

plus souvent accompagnée de l’accroissement de la quantité de monnaie en circulation). L’inflation est dite galopante Le taux de hausse des prix est supérieur à 10 % Il arrive alors que les agents économiques soient enclins à diminuer leur détention de monnaie aux vues de la dévalorisation. (Brésil et Argentine à la fin des années 80) L’inflation est dite rampante Le taux de hausse des prix est faible, mais continu. (Courant dans las pays développés). II) Les politiques de lutte contre

mais très risqués, car elles voulaient améliorer leur situation. Selon les dernières prévisions du Crédit Agricole des 27 et 29 juillet derniers, le scénario envisagé était, avec une probabilité des deux tiers, une reprise graduelle de la montée des taux. Le dernier tiers restant comportait un élément de « credit event », c’est-à-dire de crise de liquidités. Ce scénario ne prenait pratiquement pas en considération le risque d’inflation qui constituait à cette époque, pour beaucoup d’opérateurs, le