Bal des ardents

mère. A l'âge de seize ans, elle rencontre le Prince de Clèves, un homme honnête et qui tombe amoureux d'elle dès qu'il l'aperçoit; Mlle de Chartres accepte la demande en mariage du prince, quoiqu'en n'étant pas amoureuse de lui. Plus tard, lors d'un bal à la cour, elle rencontre le duc de Nemours qui a la réputation d'être un homme volage.C'est alors un coup de foudre immédiat et partagé. La mère de la princesse sent que cette passion est dangereuse et avant de mourir, elle conjure sa fille de lutter

Eugène est un être supérieur (mis en valeur par le point de vue omniscient du narrateur). * CL mélioratif :  Ligne 2 : ''jeunes gens supérieurs''  Ligne 5 : ''hommes d'élite''  Ligne 51 : ''âmes grandes''  Ligne 63 à 65 /chiasme : ''homme ardent et spirituel dont l'esprit et l'ardeur ''  Ligne 63/64 :''dont l'esprit et l'ardeur '' (subordonnée relative)  Ligne 64/65 : e. mélioratives ''tournure élégante " et ''beauté nerveuse ''  Rastignac possède donc atouts pour plaire aux femmes

rues et en expulse le peuple, à Paris comme en province. Les libertés disparaissent et l’idéal républicain s’effondre. Le Second Empire est donc en place quand commence La Curée. L’Empereur apparaît en personne dans le texte au chapitre 3, lors d’un bal donné aux Tuileries. Paré de ses décorations, le « Prince […] fixe […] ses regards sur Renée et admire en elle la “fleur à cueillir”. » La politique de Napoléon III se veut une politique d’austérité : il s’agit en théorie de rétablir un ordre moral

le personnage souffre. Les répétitions de « brûlure » et « brûlante » (lignes 4, 8, avec l'insistance du synonyme "ardent" à la ligne 18)sont mises en valeur avec le déterminant démonstratif « cette » pour montrer la souffrance constante du personnage. Il y a un champ lexical de la douleur et de la souffrance composé de « douloureux », « mal » , « brûlures », « brûlante », "ardent". Les négations « ne pouvais plus supporter »(l.8) et « ne me débarrasserais pas » (l.9) insistent sur l’impuissance

sur la plage où peu avant avait eu lieu une altercation entre lui, son ami Raymond, Masson et deux Arabes. Tout semble terminé lorsque Meursault, à qui Raymond avait donné un revolver, rencontre par hasard l’un des deux Arabes et le tue de plusieurs balles. « Dès qu'il m'a vu, il s'est soulevé un peu et a mis la main dans sa poche. Moi, naturellement, j'ai serré le revolver de Raymond dans mon veston. Alors de nouveau, il s'est laissé aller en arrière, mais sans retirer la main de sa poche. J'étais

De jeunesse et d’amour et d’éclatante ardeur — Mon sang c’est la fontaine ardente du bonheur Et sois la plus heureuse étant la plus jolie   Ô mon unique amour et ma grande folie 30 janv . 1915, Nîmes.   Apollinaire, Guillaume, « Si je mourais là-bas... », Poème à Lou, 1915. La nuit d'avril 1915     À L. de C.-C.     Le ciel est étoilé par les obus des Boches     La forêt merveilleuse où je vis donne un bal     La mitrailleuse joue un air à triples-croches     Mais avez-vous le mot

impuissance et sa vulnérabilité « je savais que c’était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas en avant »(ligne 36), on observe que la lumière et la mer s’échange l'un à l'autre : La mer devient souffle épais et ardent(ligne 54) et lumière devient élément liquide, déluge « Le ciel s'ouvrait pour laisser pleuvoir du feu »(ligne 56) . Cela rappelle les images bibliques du châtiment de dieu. Meursault n'invoque pas la légitime défense, de ce fait il s'inscrit dans

encourageait les galibots à culbuter les herscheuses, au hasard des coups de reins. Mais, lorsqu'une gaillarde tombait avec un homme par-dessus elle, le piston couvrait leur chute de sa sonnerie enragée, le branle des pieds les roulait, comme si le bal se fût éboulé sur eux. Quelqu'un, en passant, avertit Pierron que sa fille Lydie dormait à la porte, en travers du trottoir. Elle avait bu sa part de la bouteille volée, elle était saoule, et il dut l'emporter à son cou, pendant que Jeanlin et

fille du prince don Astrubale Vanini. Elle est très belle. On dit que c’est « une jeune fille que l’éclat de ses yeux et ses cheveux d’ébène proclamaient Romaine » (p. 19). Elle refuse les plus beaux mariages et se plait à tourmenter son plus ardent prétendant, le prince Livio Savelli. Son tempérament romantique se trouve exalté par sa rencontre avec le carbonaro Pietro Missirili, qui s’est évadé de prison. Mais elle est exempte de toute sensiblerie. Devant la blessure du jeune homme, au début

du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épis et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. out mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le révolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois