Bal des ardents

du soleil sur mon front et, indistinctement, la glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la

rues et en expulse le peuple, à Paris comme en province. Les libertés disparaissent et l’idéal républicain s’effondre. Le Second Empire est donc en place quand commence La Curée. L’Empereur apparaît en personne dans le texte au chapitre 3, lors d’un bal donné aux Tuileries. Paré de ses décorations, le « Prince […] fixe […] ses regards sur Renée et admire en elle la “fleur à cueillir”. » La politique de Napoléon III se veut une politique d’austérité : il s’agit en théorie de rétablir un ordre moral

du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la

n’est pas la lumière de l’esprit, bien au contraire. Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres, Comme des papillons errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant; Autre essai de réponse, Goya et ses scènes d’horreur, déliquescence reflétée par les miroirs d’une vieillesse sans dignité qui veut encore séduire et à l’inverse mais tout aussi repoussante: l’innocence bafouée des lolitas. Goya

politique anti-impériale et communarde. « Morts de quatre-vingt douze et de quatre vingt-treize… » : vers 13, « Nous, courbés sous les rois comme sous une trique » « Rages de Césars » : vers 4, « Et parfois son œil terne a des regards ardents » Vers 8, « La liberté revit ! Il se sent éreinté ! » « Le dormeur du val » : vers 5, « Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, » Vers 14 « Tranquille. Il a deux

II. Le meurtre, deux explications : 1) Explication naturelle et rationnelle : La cause du meurtre est le soleil qui va provoquer des réactions physiologiques chez Meursault. Le premier coup de feu n’est pas volontaire. Les quatre autres balles sont moins explicables. 2) Explication fataliste (tragédie) : Un personnage va se battre en sachant qu’il ne pourra pas s’en sortir. C’est un acte incompréhensible et involontaire. III. La signification de l’épisode : 1) Le meurtre

Contrairement à ce qu’on pourrait penser en apprenant que l’auteur de Clarté s’est enrôlé dans l’armée de sa propre initiative au commencement de la Grande Guerre, Henri Barbusse n’était pas du tout un sympathisant ardent de l’idée de conflagration même avant le conflit. En fait, ses idées pacifistes n’étaient pas un secret, mais les dix-sept mois passés par cet homme intellectuel en première ligne dans une violence aveugle ont transformé ses sentiments antimilitaristes dans une véritable « religion

par la nécessité de se créer des relations, il remarqua 37. combien les femmes ont d'influence sur la vie sociale, et avisa soudain à se lancer dans 38. le monde, afin d'y conquérir des protectrices: devaient-elles manquer à un jeune 39. homme ardent et spirituel dont l'esprit et l'ardeur étaient rehaussés par une tournure 40. élégante et par une sorte de beauté nerveuse à laquelle les femmes se laissent prendre 41. volontiers? Ces idées l'assaillirent au milieu des champs, pendant les promenades

soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à

finale (voir plus bas) Un regard singulier posé sur le monde : le narrateur flaubertien Séance 4 : Lecture analytique : la rencontre de Mme Arnoux. Frédéric, le narrateur : quelle vision ? 1 Séance 5 (2heures) : Lecture analytique : le bal masqué chez La Maréchale. Comparaison rêverie de Frédéric Moreau / rêverie d’Emma Bovary : l’héritage romantique. Séance 6: Contrôle de lecture : Perec, Les Choses. Séance 7 (2 heures) : Lecture analytique : La prise du Palais Royal Comparaison