Ballade des pendus

« Dans la nuit éternelle / emportés sans retour » (Alphonse de Lamartine, Le lac) o décasyllabes : 10 pieds (très utilisé au Moyen Age, il est facilement découpable) Exemple : « Frères humains/ qui après nous vivez » (François Villon, la Ballade des pendus) o octosyllabes : 8 pieds (sans coupe régulière se caractérise par la légèreté) Exemple : « une grenouille vit un bœuf Qui lui sembla de belle taille » (Jean de la Fontaine, Fable I) o hexamètres : 6 pieds Exemple : « Il pleure dans

paragraphe pour y donner un titre, etc). J'espère cependant que ce cours pourra vous aider. Bonne étude à tous. Informations pratiques Lectures personnelles : lire un maximum de textes, même en dehors de ceux qui sont pour l’examen. Poésie : - Odes et Ballades Les Orientales Les Rayons et les Ombres Les Feuilles d’Automne Les Contemplations Romans : - Les Misérables Notre Dame de Paris L’homme qui rit Théâtre : (pas imposées). Marion Delorme, Le Roi s’amuse. /!\ Lire les préfaces Jusqu’ici on manquait

équipes de deux ou trois au maximum. Assigner une des activités cicontre à chaque groupe. Le travail se fait oralement. L’élève peut aussi remettre un travail écrit, selon les directives de l’enseignant. Activités 1. Lire et faire apprécier La Ballade des pendus de François Villon. Situer le poème dans le contexte de l’époque. En faire une présentation orale animée. 2. Établir une comparaison entre le système pénal chez les Grecs et chez les Romains. En donner un compte rendu à la classe. 3. Qu’est-ce

«L’Hymette» : colline proche d’Athènes renommée pour ses abeilles. Vers 30 : «L’essaim noir de Montfaucon» : les corbeaux qui, au Moyen Âge, s’abattaient sur les cadavres des pendus au gibet parisien de Montfaucon qui se trouvait sur une éminence englobée actuellement dans le Xe arrondissement (voir ‘’La ballade des pendus’’ de Villon). Le poème est remarquable par un effet de contraste (entre «l’azur» et «la fange») et surtout par son mouvement. Après une ouverture lyrique (strophes 1 et 2) où

«L’Hymette» : colline proche d’Athènes renommée pour ses abeilles. Vers 30 : «L’essaim noir de Montfaucon» : les corbeaux qui, au Moyen Âge, s’abattaient sur les cadavres des pendus au gibet parisien de Montfaucon qui se trouvait sur une éminence englobée actuellement dans le Xe arrondissement (voir ‘’La ballade des pendus’’ de Villon). Le poème est remarquable par un effet de contraste (entre «l’azur» et «la fange») et surtout par son mouvement. Après une ouverture lyrique (strophes 1 et 2) où

peine du châle fut infernale, il se jeta au canal lors de la promenade journalière. Le déclin du négoce de châles avait mis un terme au rythme infernal qu'offrait naguère le bal des péniches sur le canal. Condamné à l'inutilité, l'éclusier s'est pendu. Un banal faux pas que révèle son journal intime. J'ai lu ce matin dans le journal, dans la rubrique "Faits Banals", qu'un couple mystérieux, (ce serait Pierre et Louise dit-on de source sûr car le châle retrouvé sur les lieux a pu être analysé)

Mais… BÉLISE 320 Adieu, pour ce coup ceci doit vous suffire, Et je vous ai plus dit que je ne voulais dire. CLITANDRE Mais votre erreur… BÉLISE Laissez, je rougis maintenant, Et ma pudeur s'est fait un effort surprenant. CLITANDRE Je veux être pendu, si je vous aime, et sage… BÉLISE Non, non, je ne veux rien entendre davantage. CLITANDRE 325 Diantre soit de la folle avec ses visions. A-t-on rien vu d'égal à ces préventions? Allons commettre un autre au soin que l'on me donne20, Et prenons le secours

avec Musset. Il est donc assez clair que le plan attendu est de type dialectique (Thèse/antithèse/ et éventuellement synthèse). On peut imaginer un premier axe qui cite des exemples de poètes maudits ou désespérés, de François Villon (« La Ballade des pendus »), à Baudelaire (« Spleen ») en passant par Hugo(« Demain, dès l’aube»), et un second axe qui reprendrait des thèmes plus joyeux : la poésie courtoise et épicurienne de Ronsard, les éloges des femmes aimées faites par les surréalistes, etc…

mort de son père, en 1658, le laisse dans une situation financière inconfortable qui le conduit à chercher un protecteur. Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et Molière. Il est nourri- loger, il rencontre l'intendant Fouquet. En 1664/65/67 il publia

film. Shumann se renseigna particulièrement sur le folklore du fleuve Ohio, auprès duquel Grubb, natif de cette région, avait situé l'action. Grubb ne souhaitait pas entendre dans cette adaptation des airs folkloriques enregistrés, mais plutôt des ballades qu'il pouvait ouïr dans son enfance, pour souligner l'ambiance de se voyage sur le fleuve, un endroit paisible et hors du danger, royaume de la protection, où la mère (son cadavre) demeure. Ce dernier leur donna également des recommandations précises