Bambara

pensées comme une valeur culturelle symbole de l’identité sociale de la femme. Elle est pour la jeune fille un signe de bravoure et de pureté. On la constate dans les différents milieux comme celui de malinkés. Dans son étude de l’excision chez les bambaras de Béléko au Mali R. Luneau écrit : « A l’égard d’un rite que beaucoup considèrent aujourd’hui (et à juste titre), les jeunes filles ne manifestent ni réticence ni revendication. La pression sociale a évidemment marqué les mentalités et personne

Enfin 16% ont moins de 10 ans et parmi cellesci 9% sont fabriquées en branchage. Ces mosquées en branchage traduisent simultanément une 3 4 E. MAGE, Voyage dans le Soudan occidental (Sénégambie, Niger),1968, pp. 432-438. J. BAZIN, "A chacun son Bambara", 1985, p. 104. 3 certaine pauvreté et l'adhésion récente du village à la foi islamique, elles précèdent habituellement la construction d'une mosquée en dur. Enfin, 10% des villages de la zone ne se sont pas encore résolus à en entreprendre

Autorisé par Mr Lassané ZIBA Administrateur Général Date 14/03/2012 Mlle Rosine BAMBARA Directrice Générale Adjointe Des Achats et de la Logistique Zil Telecom International.sa – RC : BF OUA 2011 M 3709 – IFU 00001866T – Email zti@fasonet.bf – website : www.zil-telecom.net | Autorisé par | OUA 2011 M 3709 – IFU 00001866

principaux groupes : mandingue (Bambara, Soninké, Malinké, Bozo), pulsar (Peul, Toucouleur), voltaïque (Bobo, Sénoufo, Minianka), saharien (Maure touareg, Arabe) et Songhaï. Les neuf dixièmes de la population, des noirs sédentaires, se concentrent dans le sud du pays, dans le « Mali utile » en termes de potentialités agricoles. Le groupe le plus nombreux est celui des Mandingues, environ les deux cinquièmes de la population du Mali, dont une composante est formée des Bambaras. Au nord, les Touaregs,

maudire sa progéniture. Au bas de la pyramide se trouve l’enfant. Celui-ci n’a pas le droit à la parole dans la société africaine traditionnelle. Il accepte sans rechigner les décisions de ses parents. Il en est de même de la femme. Au Mali, chez les Bambara, par exemple, l’ensemble de la famille obéit à un même chef: le fa (père). Celui-ci a « la charge et la responsabilité morale et physique, dirige et protège tous les membres de la famille » (Viviane Pâques 1954 : 53). Dans la lignée paternelle, la

culturelle qui détermine ainsi le premier schéma du modèle des écritures romanesques d’esthétique mandingue, s’articule du point de vue de la forme à travers une réalité linguistique diglossique. A première vue, le français et les langues malinké ou bambara, langues d’origine des auteurs, semblent se côtoyer dans une interculturalité séduisante. Mais cette situation laisse apparaître une problématique linguistique plus complexe, eu égard aux modalités d’écriture ou de réécriture du modèle du roman mandingue

négrière)9, des stratégies d'évitement (envoi de malades, d'estropiés, certaines commissions de recrutement ayant jusqu'à 80 % d'inaptes) puis des révoltes contre l’enrôlement ont éclaté loin des grandes villes d’Afrique, dont la première chez les Bambaras du Mali, près de Bamako qui a duré environ 6 mois, du printemps à novembre 1915, annonçant d’autres révoltes plus importantes. Certaines sont très durement réprimées en juin 1916 par la France, qui fait tirer à l'artillerie sur une dizaine de villages

Travaux universitaires • 10 Filmographie o 10.1 Documentaires o 10.2 Fictions et docu-fiction • 11 Voir aussi o 11.1 Articles connexes o 11.2 Liens externes Les origines des tirailleurs[modifier | modifier le code] Tirailleur d'origine bambara(Mali) (gravure de 1890) En 1857, Louis Faidherbe, en manque d'effectifs venus de la métropole sur les nouveaux territoires d’Afrique, pour faire face aux besoins de maintien de l'ordre générés par la phase de colonisation, crée le corps des tirailleurs

relations furent conflictuelles. Le mali se présente donc comme un carrefour culturel où cohabitent des populations d’origines ethniques variées et aux modes de vie diversifiés. Les ethnies sont déterminées par leurs langues différentes. A coté des Bambaras (majoritaires), on trouve les peuls, les senoufos, les soninkés, les dogons, les songhaïs. Tout en conservant leur identité et leurs traditions, les ethnies se trouvent fragmentées de l’intérieur par des structures tribales et des hiérarchies sociales

sont inévitables et qui cristallisent quelque chose dans notre histoire. Médée, est quant à elle, une pièce qui renoue avec les traditions les forces ancestrales en se basant par exemple sur des femmes griottes qui chantent des psaumes traduits en bambara. Le fait que Im Woo Nam introduise sur scène le pansori est également une manière de conserver la tradition et de montrer ses influences. Enfin, la pièce Graal Théâtre mise en scène par Schiaretti, confronte la culture celte et chrétienne, réalise