Ban Ki-moon

juin 2010, l’Assemblée générale des Nations Unies s’est réunie pour aborder la question du maintien de la paix. « Si la paix est difficile à établir à long terme, elle est plus probable en présence d’une mission de maintien de la paix », a estimé Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies. Toutefois, a-t-il ajouté, un maintien de la paix réussi « est une responsabilité partagée ». Lakhdar Brahimi, ancien conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies, a exposé les différentes

disincentives to promote more efficient and environmentally sensitive decision-making. He can also find appropriate combinations to build and strengthen new markets or enforce standards when necessary[13]. In conclusion, the UN Secretary General, Ban Ki Moon, in its speech to World Climate Conference, declared the following: “The answer lies in green growth – sustainable growth. We need policy that puts a price on carbon. Policy that will send a strong market signal to businesses that are pioneering

règles d’engagement approuvées et du droit national et international applicable. Limitée dans le temps, l’opération Allied Provider avait été établie en réponse à la demande formulée le 25 septembre 2008 par le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon. L’OTAN a fourni ces ressources de lutte contre la piraterie en application des résolutions 1814, 1816 et 1838 du Conseil de sécurité des Nations Unies, et en coordination avec d’autres acteurs internationaux, parmi lesquels l’Union européenne.  

Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, a exprimé ses remerciements et sa gratitude pour le travail des ONG dans le domaine de la protection des libertés et défendre les droits humains et cherchent à répandre les valeurs de démocratie, d'aider à accroître la sensibilisation mondiale sur le rôle de la démocratie dans l'amélioration des communautés et à modifier. Ban Ki-Moon a appelé « les organisations non gouvernementales pour aider les pays qui

ans, la suspension du droit de vote. Dans les faits, nous l’avons vu les communiqués existent déjà, avec l’exemple sur les Etats-Unis. Je propose juste d’institutionnaliser cela, permettant d’éviter la réaction qu’a eu le pays au communiqué de Ban-Ki-Moon. Tout cela pour rappeler que le droit de vote est essentiel, c’est à l’assemblée générale qu’on accepte ou non les nouveaux membres et c’est un peu le « cœur » de l’organisation, l’assemblée générale a besoin de force et de crédibilité. Pour

législation pénale propre aux États fait que ces derniers refusent de se laisser dicter le maintien ou pas de la peine de mort, assimilant une telle démarche à une certaine forme d'ingérence dans leur législation. Cette position fut reprise par Ban Ki Moon, actuel secrétaire générale de l'ONU dés sa prise de fonctions le 1er Janvier 2007 en disant que « la question de la peine capitale reste la décision de chacun des pays membres » et n'a pas mentionné l'interdiction de la peine de mort faite par

de la transparence et de l’intégrité » et « Vers une compréhension commune de la réforme de la gestion ». « Jamais les Nations Unies n’ont eu à faire autant avec des ressources aussi maigres », a affirmé, de son côté, le Secrétaire général, M. Ban Ki-Moon, il faut être « plus moderne, plus flexible et plus efficace », d’être « mieux gérée ». En plus au niveau des pays en voie de développement les femmes sont faiblement représentées et au sein du CDS une minorité d’État s’enrôle dans des postes importants

Cuéllar Pérou 19 janvier 1920 - 1er janvier 1982 - 31 décembre 1991 Boutros Boutros-Ghali Égypte 14 novembre 1922 - 1er janvier 1992 - 31 décembre 1996 Kofi Annan Ghana 8 avril 1938 - 1er janvier 1997 - 31 décembre 2006 Ban Ki-moon Corée du Sud 13 juin 1944 - 1er janvier 2007 - 31 décembre 2016 b. Etats membres Depuis l'adhésion du Monténégro en 2006 et de la République du Soudan du Sud en 2011, l'ONU compte désormais la quasi-totalité des États du monde, soit

pauvreté et de promotion du développement économique, de maintien de l’inclusion sociale et de durabilité environnementale. Pour accélérer la résolution pratique de problèmes aux niveaux local, national, régional et mondial, le Secrétaire général Ban Ki-Moon a lancé le Réseau des solutions pour le développement durable (SDSN, pour Sustainable Development Solutions 1 Network en anglais). Le Réseau a récemment élaboré un projet de cadre pour le développement durable, qui synthétise les

que le G20 qui s’est vu rescuscité il y a trois ans dans le cadre de la crise financière internationale.En effet il arit plus facil de prendre une decision d’action urgente dans un cadre bien plus restreint. Le secrtaire général des nations unies ban ki moon a lui-même reconnu ce défi et insiste sur le fait que l’onu doit demeurer la boussole « morale » du monde. Dans le plan economique notmaent le g20 parait plus efficace car il prend en compte le vieillissement des populations et se base sur la croissance