Banque centrale

croissance. Elle consiste en une par une hausse du déficit de l'Etat. -Politique monétaire de rigueur : En cas de croissance trop élevé on met en place une politique de ralentissent de la demande globale par une hausse des taux d’intérêt de la banque centrale et par un excédent budgétaire de l'Etat qui permettra de réduire les tensions inflationnistes Les 4 objectifs du carré magique de Kaldor : on peut influer sur ces objectifs afin d’assurer une croissance forte mais en ce qui concerne le chômage

entre la monnaie et les prix. Ces hypothèses sont les suivantes : l’hypothèse quantitativiste de base consiste à supposer que la masse monétaire (M) est une variable exogène, dont le niveau est fixé par les autorités gouvernementales (ou par la banque centrale) ; la vitesse de circulation de la monnaie (V) est exogène, c’est-à-dire qu’elle est déterminée par les habitudes de paiements des agents économiques ou par la technologie. Fisher suppose qu’elle est constante à court terme car il considère que

et perspectives • En quelques décennies, l’Europe a transformé sa physionomie. Elle a construit un marché commun qui est devenu une union économique et monétaire. • Elle a mis en place une monnaie unique ce dont beaucoup doutaient, avec une banque centrale forte et indépendante. • La construction est cependant inachevée : l’union politique est encore loin, et l’Europe sociale n’est qu’embryonnaire. • repèreS > L’Europe sociale doit avoir pour objectif d’améliorer les droits sociaux de ses

mettent en avant les menaces de la déflation. On pourrait croire à un redressement inflationniste avec la hausse des prix des taux d’intérêts mais elle n’est qu’apparente. La réalité est qu’elle est faussée par l’intervention des Etats et des banques centrales telle que celle de la FED. Les décisions de la Fed aux Etats-Unis, ont permit un afflux de capitaux croissants auprès des pays émergents, qui aujourd’hui, font face à une situation de forte inflation qui pourrait faire basculer le principal moteur

international, et qu'elle renforce les interdépendances entre les politiques macroéconomiques des États membres. On s'interrogera sur les difficultés de la coordination des politiques économiques dans l'Union européenne. Acquis de première : banque centrale, politique budgétaire, politique monétaire, politique conjoncturelle. ! Plan : I. L'Union européenne, une construction originale A. Les objectifs de la construction européenne B. Les étapes de la construction européenne et les degrés d'intégration

policy mix, c'est à dire une politique économique conjoncturelle qui combine la politique monétaire et budgétaire d'un Etat ou d'un ensemble régional intégré comme l'Union Européenne. Elle articule une politique monétaire de rigueur menée par la Banque Centrale Européenne qui est chargée de conduire cette politique de manière indépendante des pouvoirs publics pour que la politique ne soit pas influencé par un ou des Etats membres à leur seul avantage. Sa mission d'inspiration très monétariste est de

stabilité éco, il n’y a pas de bon fonctionnement de la démocratie. Pays ayant connu l’hyperinflation : Allemagne dans les années 30, l’argentine, Brésil 2 – Quand une monnaie inspire t-elle confiance ? Quelle est, en csq, la mission d’une banque centrale ? La monnaie inspire confiance si elle a une valeur sur le marché national et international. S’il y a trop de monnaie en circulation par rapport aux richesses créées, il y a une crise de confiance. L’éco ne peut pas bien fonctionner car les

paiement de transactions commerciales se développe avec des entreprises du Laos, du Vietnam, d’Inde, du Pakistan, de Mongolie et surtout de Russie (365 entreprises actuellement). Cette externationalisation du yuan a été étendue par dérogation de la banque centrale afin que cinq villes (dont Shanghai) règlent certaines opérations extérieures en Yuan. Dans 5 ans, les contrats en yuan pourraient représenter 30% des échanges commerciaux Chine-Asean. Ces pays pourront au final utiliser la devise chinoise lors

donc économiquement justifié selon lui, d'envisager la partition de la zone euro : l'une centrée sur le premier groupe de pays et l'autre sur le second. Le premier euro serait un euromark et le second un eurofranc. Chaque zone serait dotée d'une banque centrale et assurerait une meilleure coordination des politiques monétaires centrée autour de l'axe franco-allemand.

remettre en cause la position hégémonique des Etats-Unis sur la scène mondiale. En effet, la valeur d'une devise reflète la puissance et le pouvoir d'un pays. Pour remédier à ce désastre, la réserve fédérale américaine (Fed), l'équivalent de notre Banque Centrale Européenne, décide de mettre en place une politique monétaire expansionniste en baissant ses taux directeurs afin de réduire les déficits américains. Mais, cette politique peut déceler également des effets pervers en soutenant la chute du dollar