Banque centrale

actuel de la mondialisation où la conjoncture économique est influencée par les fluctuations des marchés internationaux et lorsqu’on sait que le pays fait partir d’une union monétaire (UEMOA). En effet, la politique monétaire est pratiquée par la banque centrale – la BCEAO - et plusieurs analyses (prise en compte des aspects propres à chaque pays) doivent être faites avant une quelconque émission de monnaie. La deuxième théorie, à savoir celle de l’inflation par les coûts est selon nous la mieux adaptée

La popularisation des versions simplificatrices des thèses keynésiennes (thème de « la relance ») rend politiquement coûteux pour un gouvernement de sembler rester inactif en cas de ralentissement économique. Mais, avec l’autonomisation des banques centrales, les gouvernements n’ont plus à leur main l’outil monétaire Or, la décentralisation et l’ouverture des économies modernes rendent beaucoup plus incertains les résultats d’une action budgétaire. Par ailleurs, la globalisation des marchés oblige

politique de stabilité à long terme Les nouveaux économistes classiques considèrent qu’il faut mener une politique de stabilité à long terme qui assure une « cohérence temporelle » et qui soit fondée sur une « crédibilité ». Nécessité d’une banque centrale indépendante. IV/ Crise de l’Etat-providence ou crise de l’Etat ? A – Pierre Rosanvallon affirme que l’Etat-providence est en crise Dans La Crise de l’Etat-providence (1981), Pierre Rosanvallon affirme : « L’Etat-providence est malade de

fiduciaire = monnaie papier, on va chercher a l'introduire à deux moments : au 18ème : système « law » (lass), perte de valeur de la monnaie métallique. La banque instituait par le banquier écossais recevait en dépôt les pièces d'or et donnait en échanges un papier, contre les dévaluation. Ça s'est développé, le roi rachète cette banque utilise l'émission de ces titres pour financer la dettes publiques, on a donc émis trop de titre papier et 1720 = système s'est effondré très brusquement.

le nouveau système monétaire depuis 1973 a dû établir de nouveaux déterminants. Le système de Bretton Woods avait fourni une certaine stabilité. En parité fixe , le taux de change peut fluctuer par l'action des politiques monétaires. Les banques centrales peuvent ajuster les taux en fonction des situations monétaires. Cependant , en change flottant, l'action des politiques monétaires est très restreinte. Dans un système de change flottant , les taux de change varient en fonction de l'offre et

ÉVOLUTIONS ET ANALYSES CRITIQUES ? Tous les pays du monde utilisent deux principaux instruments dans la conduite de leur politique économique, à savoir la politique monétaire et la politique budgétaire. Le premier instrument est manipulé par la Banque Centrale et les autorités monétaires, et le second est du ressort du Gouvernement. Le budget est par cette compréhension le moyen par lequel un État pilote sa politique budgétaire. Le budget de l’État se définit à partir de trois caractères qui lui sont

par une augmentation des encaisses des agents économiques. Cette augmentation entraînera une augmentation des prix et ce jusqu'à ce que la quantité de monnaie en circulation soit égale à celle de la demande ; c’est la raison pour laquelle les Banques Centrales contrôlent la création de monnaie. La troisième cause d’inflation est l’augmentation des coûts de production (coût de la main d’œuvre, charges sociales, matières premières, taux d’intérêts, valeur de la monnaie). On qualifie ce phénomène "d'inflation

en Bourse Département Recherches Billet Economique  Toutefois, la question qui taraude les analystes, est de savoir jusqu’{ quelles limites la BCT peut-elle soutenir sa propre monnaie ? L’opération s’avère un exercice de haute voltige. La banque centrale se trouve face { un dilemme : soit elle opte pour stabiliser le cours du dinar avec des interventions musclées sur le marché de change (vente de devises contre achat de dinar), soit, très attachée à son stock de réserves, elle refuse toute intervention

autorités monétaires dans la définition d’une politique monétaire fondée sur l’anticipation des taux d’intérêt futurs. En effet, depuis ces vingt dernières années, les taux d'intérêt à très court terme ont été utilisés par un nombre croissant de banques centrales comme un instrument privilégié, au fur et à mesure que des politiques monétaires de type "inflation targeting" ont été adoptées. Ainsi, aujourd'hui, les taux courts sont fortement influencés par la politique monétaire dans la plupart des pays

publique. 2-la politique monétaire Le taux d'inflation a atteint 11% en 2008 sous l'effet de pressions temporaires comme la grippe aviaire, la hausse des denrées alimentaires et l'augmentation des prix des matériaux de construction. Donc, la banque centrale essaye de prendre des mesures pour diminuer ce taux d’inflation sans affecter l’investissement et l’emploi. 3- la position extérieure L'Égypte est une membre du marche commun de l'Afrique oriental et une membre de la zone panarabe de libre