Banques De Second Rang Limitées Dans La Création Monétaire

12 2. Le volet Monétaire 12 Conclusion 14 Annexes 1 15 Annexes 2 17 Bibliographie 18 Introduction Le traitée de Maastricht organise une union monétaire organisée autour d’une monnaie unique. L’union monétaire est un mode d’intégration économique se qui se traduit par la création de parités fixées entre les différentes monnaies nationales ou par la disparition des monnaies nationales au profit d’une unité monétaire, ce qui implique une politique monétaire commune ainsi qu’une

d’activité en 2010 Emplois les moins bien rémunérés sont dans l’hôtellerie, restauration ce qui peut expliquer l’offre d’emploi importante. Ou encore les activités immobilières qui sont le plus rémunérés par des primes. Le secteur de l’énergie, des banques et des assurances qui n’emploient que de la main d’œuvre qualifié donc peu d’emploi rémunéré au SMIC. 2.4) durée du travail et sous-emploi En 2006 (avant la crise), une étude de la DARES a conclu à une durée annuelle du travail en France de 1845h

- Compétitivité - Effets prix, effets volume - Firmes Multinationales - FMI - GATT - Investissements directs, investissements de portefeuille - List F. - NPI - Paradoxe de Leontieff - Pôles de compétitivité - OMC - Position Monétaire Extérieure - Solde commercial - Taux de couverture - Théorème d’Heckscher-Ohlin-Samuelson - Théorème Stolper - Samuelson - Théorie des Avantages Absolus d’Adam Smith - Théorie des Avantages Comparatifs de David Ricardo - Théorie de

récession grâce notamment à un système financier robuste et un plan de relance bien ciblé. Selon les dernières estimations du Fonds monétaire international la croissance 2014 serait de 2,6 %. Le creusement du déficit commercial, après deux ans d’excédents s’explique notamment par la forte chute du prix du fer et du charbon (35 % des exportations australiennes). La Banque centrale d’Australie a réduit en août 2013 son taux d’intérêt directeur de 25 points de base à 2,50 %, un niveau jamais atteint jusqu’alors

développements et perfectionnements des automates bancaires et serveurs vocaux sont venus s'ajouter l'offre de services par Internet. L'agence n'est plus, comme autrefois le canal de distribution exclusif de la banque. Ainsi les distributeurs automatiques de billets (DAB), les guichets automatiques de banque (GAB) et Internet ont fait successivement voler en éclats l'unité de lieu, de temps et d'action, principe si cher aux institutions bancaires. L'objectif étant d'ajouter le plus d'éléments de satisfaction

macroéconomiques autonomes (1960-1981) mais débouchant sur une croissance sans développement 1.1. Structure des dépenses budgétaires : la montée des dépenses de fonctionnement (1955-73) 1.2. Cycles budgétaires : de l’activisme à la dérive 1.3. Politique monétaire : la régulation du crédit entre encadrement et désencadrement 1.4. Politique agricole : l’option hydraulique 1.5. L’Etat et le dilemme du secteur privé 15 18 22 24 28 31 Chapitre 2: L’ajustement structurel (1983-1993) : retour aux équilibres

et de ses charges, conséquence de choix de financements basés par le passé, d’une part, sur le recours à l’emprunt extérieur au détriment de l’encouragement de la formation de l’épargne domestique et, d’autre part, sur le contrôle de la sphère monétaire et financière. Le Maroc doit importer de nombreux biens d’équipement qu’il ne peut pas produire localement, régler une facture énergétique qui ponctionne une grosse part de ses recettes budgétaires et de ses revenus d’exportations1, et réaliser

| |AT |Assistance Technique | |BCEAO |Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest | |BDEF |Banque de Données Economiques et Financières de l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie | |BTP |Bâtiment et Travaux Publics

sur : liquidité, sécurité et rentabilité...mais un champ d’action très limité… ………………….……………………….…….. 9 II.5.La gestion du risque de change : Stratégie de non couverture dont les conséquences sont onéreuses… ………………………..…………………..…….. 9 II.6.Relation Banque-Entreprise : Une relation de plus en plus marquée par l'informatique mais ne répond pas aux exigences de trésorerie… …………... 10 III. Synthèse des dysfonctionnements : Une trésorerie qui subit… au lieu d’agir… 11 III.1. III.2. Principaux dysfonctionnements

mais non périodique ; en durée, les cycles varient de plus d’une année à dix ou douze années ; ils ne sont pas divisibles en cycles plus courts ; ils possèdent leurs caractéristiques en propre » A. Burns et W. Mitchell (le lendemain immédiat de la Seconde Guerre mondiale )     les dimensions cycliques peuvent se présenter dans un secteur le cycle concerne toute l'économie et ne se limite pas à un secteur donné croissance X expansion: la courte durée et essentiellement quantitative des types de