Bantous

et publications : - Histoire du Cameroun, édition CEPER, Yaoundé 1985 ; et l’art et l’artisanat africains paru aux éditions CLE 1980 d’Engelbert MVENG. - Les trésors touristiques du pays Bamoun, publication du ministère du tourisme. - Les peuples bantous (1998), publication du ministère de la culture. - Statistiques du tourisme au Cameroun (2005), ministère du tourisme - Développement durable du tourisme : guide à l’intention des autorités locales, OMT, 2002. - « Place et perspectives de l’écotourisme

Cameroun au sud-ouest, un géant africain de 4.000 mètres, à la savane avec une faune abondante au nord (lions, girafes, autruches, éléphants...) en passant par la forêt dense au centre. on croise aussi une multitude d’ethnies – Pygmées, Peulhs, Foulbés, Bantous, etc. Le Cameroun se présente comme un condensé d’Afrique. C’est dans cette optique que le RAPAC souhaite participer activement à la mise en valeur du patrimoine naturel et culturel du Cameroun où toute l’Afrique s’y retrouve. En effet, l’axe 3 du

700_2000_and_2050.jpg) Six millions de km2 situés en zones arides souffrent de la dégradation des sols à cause des activités humaines (9). 1 Les pratiques agricoles En Namibie, 80% de la population du désert comprend essentiellement des Bantous, pasteurs qui pratiquent un élevage extensif de bovins et de moutons(semblablement à la plus parte de zones arides). Cependant on trouve des peuples plus enracinés qui vivent de ramassage et de cueillette des buissons parmi lesquelles on peut citer

où on considère que l’autre est plus proche de l’animal que de l’être humain. Toutes les sociétés sont ethnocentrismes : c.-à-d. que toutes les sociétés pensent qu’elles sont les meilleures. 10 Les BANTOU : signifie les hommes dans la langue de cette société. Tout ce qui n’est pas bantou est un non-homme. AÏNOU : signifie « les hommes » Dans certaines sociétés, on parle des étrangers comme « les mauvais ». L’humanité s’arrête aux frontières du village, les autres sont plus proches d’une certaine

(Dir), Vatican II. Les seize documents conciliaires (la pensée chrétienne), Montréal & Paris, Fides, 1967. • MBITI, John, Religions et Philosophie Africaines, Ed. CLE, Yaoundé, 1872. • MULAGO, Vincent., La religion traditionnelle des bantous et leur vision du monde, (Bibliothèque du CERA n° 5), Kinshasa, Faculté de Théologie Catholique, 1980. • MUTOMBO Benoît, Sacrement et Onction des malades, Notes de cours destinées aux étudiants de THEO II, Année Académique 2007-2008

travailleurs noire conçue comme exclusivement temporaire). La mise en place des bantoustans (pays bantous), apparaît sous le régime d’apartheid comme un « partage du territoire pour ne pas partager le pouvoir ».(Foucher). Progressivement la population se voit contrainte : de résider dans des territoires uniquement noirs, les bantoustans édifiés à partir du territoire ancestral d’une ethnie bantoue et en conséquence d’abandonner la nationalité sud-africaine Dix bantoustans ont été créés entre 1963

théories les plus prétentieuses.  Une anecdote: J'ai vécu pendant quelques années au Kenya, lorsque l'on voit l'habitat des hima au Burundi, on retrouve le même habitat et certains traits de  mentalité chez les Kikuyu du Kenya. Mais les uns on les dit Bantou et les autres Nilotiques. C'est au pifomètre qu'on classe les humains.     B.L.:  Y -a -t'il une "Extrême Droite Burundaise" ?  Existe t'elle ? S.J-M.: C'est un sujet très délicat. Une chose est certaine: celui qui s'aventure à en parler rationnellement

d’oripeaux exotiques » [23]. La révolte se traduit par le choix des thèmes, nostalgie, tentative de ressourcement, tout est matière à réflexion, l’Afrique en tant que berceau de civilisation (Ghâna, Tombouctou, Congo), les peuples africains (les bantous, les Soudanais, les Guinéens, les Togolais, etc. (« Appel », p. 42), la femme, qu’elle soit mère, sœur, épouse ou bien aimée, chanteuse ou danseuse, et l’homme noir, qu’il soit compagnon de route dans la lutte pour la libération de l’Afrique, martyre

du Kordofan, notamment des collines Nuba, ces communautés noires étaient méprisées des Arabes et qualifiées de « soudanaises », terme qui fut longtemps péjoratif avant d’être réhabilité par les nationalistes à l’indépendance. Le parallèle avec les Bantous de Somalie peut être poussé encore plus loin puisque les Arabes au pouvoir ont relégué au bas de la hiérarchie sociale les descendants d’esclaves soudanais en niant leur généalogie. Aussi le catalyseur identitaire des tumbura a-t-il été d’autant plus

nous apprend que les trois ethnies qui peuplent le Rwanda sont arrivées dans ce pays par vagues successives. Les Twa ou les Pygmoïdes furent les premiers occupants ; ils vivaient de la chasse et de la cueillette. Suivirent ensuite les Hutu d’origine Bantoue ; ils constituaient le groupe numériquement le plus important et s’adonnaient avant tout à l’agriculture. Les Tutsi Hamites enfin, arrivèrent au Rwanda entre le XIIème et le XVème siècle ; ils se consacrèrent principalement à l’élevage de la vache