Baril

suscité des inquiétudes quant au transport du brut, les récents événements en Lybie touchent le coeur de la production pétrolière de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). L'an dernier, la Libye avait produit entre 1,5 et 1,6 million de barils par jour de brut et exporté un peu plus de 1 Mb/j. La Libye exporte également du gaz naturel, le gazoduc Greenstream à destination de l'Italie transportant plus de 9 milliards de mètres cube ainsi que des volumes plus modestes de GNL, exportés essentiellement

du XXème siècle : crise ou dépression ? • Une crise imprévue et brutale - 1973 : 1er choc pétrolier. Hausse du prix du pétrole => ralentissement de l’act. Eco. -> crise du pétrole Ex. Guerre du Kippour, pays arabes producteurs de P. x4 prix du baril (2, 47$ à 11, 25$) - Médias parlent de « crise de l’énergie ». Désignent responsables pays de l’OPEP. Répercussion de la hausse s/ ensemble coûts de prod. de l’industrie • De la crise à la dépression - Dès 1974 : hausse prix des carburants, électricité

Vous êtes donc priés de nous faire parvenir un chèque certifié à l’ordre de Patech Moreau Baril en fidéicommis au montant de 256 600$, avant le 7 mars 2014, à défaut de quoi, notre client nous a donné mandat d’intenter contre vous les procédures judiciaires appropriées pour vous réclamer cette somme, et ce, sans autre avis ni délai. VEUILEZ AGIR EN CONSÉQUENCE. PATECH MOREAU BARIL Charles Patech, avocat CP c.c. Monsieur Guillaume Turcotte

secteur énergétique marocain, la SAMIR est le fournisseur stratégique du Maroc en produits pétroliers. Avec ses deux sites à Mohammedia et Sidi-Kacem, elle  dispose  d’une capacité de raffinage de 150.000 baril/jour ou 154.901 barils/j (A vérifier) (7.75 x 7.33 x 1 000 000 / 365 = 155 637 barils/jour) et d’une capacité de stockage de 2 millions m³. La SAMIR approvisionne 80 à 85% des  besoins du Maroc en produits pétroliers. LA SAMIR est présente aussi dans les domaines des GPL et dans la logistique

le BP World Energy Review (2009), on a pu s’apercevoir que la quantité de pétrole en réserve avait augmentée, passant de 998 milliards de barils en 1998 à 1 258 milliards en 2008. [pic] Sur ce graphique, on peut remarquer que la production mondiale de pétrole a augmentée sans cesse depuis 1900 jusqu’à nos jours pour atteindre un pic de 80000 kilos barils par jour. Cela s’explique par la demande de plus en plus accrue et l’avancée technologique. Ensuite, on peut s’intéresser aux pays producteurs

du marché pétrolier. Aucun problème de ressource n’étant envisagé à l’horizon 2020, le marché pourrait s’équilibrer à un prix stable, d’ici 2010, de 21 dollars 2001 par baril (soit le prix moyen sur la période 1987-1999) puis , par la suite, pour refléter le recours à des ressources plus coûteuses, atteindre 28 dollars 2001 par baril, en fin de période. Toutefois, cette évolution régulière du prix ne doit pas être interprétée comme la vision d’un marché sans fluctuations, mais plutôt comme l’absence

indices d'octane différents. On obtient chaque type d'essence en mélangeant 4 constituants de base notés 1, 2, 3 et 4, avec les contraintes suivantes : |Essence |Contraintes de mélange |Prix de vente au baril | |A |Pas plus de 30 % de 1 |$ 165 | | |Pas moins de 40 % de 2 |

hydrocarbures, grâce à des investissements dans divers pays dont l’Amérique latine. L’approvisionnement journalier en pétrole équivaut à 300 000 barils (en 2007), ce chiffre paraît dérisoire mais il y a 2 ans ces exportations était contractés de 33%, par ailleurs le Venezuela prévoit d’augmenter ses exportations de pétrole vers la Chine à la hauteur de 1.000.000 de barils. Les économies latino américaines représentent désormais 13% du total des IDE Chinois (31 milliards de dollars) dans le monde. Cette montée

Nord recèle encore de nombreux petits champs pétrolifères, explique-t-il ; mais seront-ils un jour exploités?» Dans la zone britannique de la mer du Nord, les groupes pétroliers pompent 1,8 million de barils par jour dans plus de 250 gisements. Le Royaume-Uni consomme chaque jour 1,65 million de barils et devra importer du pétrole vers 2008. Personne ne se risque à évaluer les quantités de brut gisant encore au fond de la mer du Nord. L'association britannique des opérateurs offshore écrit elle même

4 milliards de barils, mais les plus importantes réserves connues de sable bitumineux, estimées fin 2008 à plus de 172 milliards de barils — l'étendue exacte des réserves prouvées du Venezuela est encore débattue. Si les quantités sont impressionnantes, la rentabilité économique de l'exploitation de ces gisements est en revanche sensiblement inférieure à celle des gisements de brut conventionnel du Moyen-Orient, avec des coûts d'exploitation de 10 à 14 CAD par baril1 contre quelques USDpar baril en Arabie