Basilique Notre-Dame de la Paix

comparaison est trompeuse. Ce qui paraît caractériser la situation, c’est plutôt une impression de régression politique – immobilisme frileux de part et d’autre –, sinon de pourrissement. Et c’est tout aussi dangereux. S’il est vrai que le processus de paix israélo-palestinien semble cliniquement mort, les relations entre Palestiniens et Israéliens, en particulier dans le domaine de la sécurité, restent – pour le moment – empreintes d’une volonté mutuelle de coopérer, du moins en Cisjordanie. Le premier

repose sur l’idée que le roi reçoit son pouvoir directement de Dieu, sans l’intermédiaire du peuple. Dieu lui-même a choisi la dynastie qui gouverne la France, et ce choix est, au début de chaque règne, symbolisé par la cérémonie du sacre, en la basilique de Reims. De cette « théorie du droit divin » découle l’affirmation que la monarchie française est une monarchie pure de tout alliage, de tout mélange avec d’autres formes de gouvernement, aristocratiques ou populaires. Le roi est seul à détenir

contractions qui, espacées le soir, ne se rapprochèrent qu’à l’aube. C’est alors seulement qu’elle commença à gémir assez haut pour qu’on l’entende. Mon père courut chez notre voisin Hamza, tambourina à sa porte et le pria d’avertir sa mère, une vieille dame digne, pieuse et d’une grande habileté, de l’imminence de l’accouchement. Elle arriva quelques minutes plus tard, toute drapée de voile blanc, portant une cuvette évasée, une serviette et un savon. On disait qu’elle avait la main heureuse

plus parfaites manifestations. Les romans courtois - nés sous l'influence de la poésie des troubadours chantant la fin'amor - proposent une nouvelle vision des relations sociales, fondées sur le respect que le chevalier doit à son seigneur et à sa Dame (le«service d'amour»). Les premiers textes qui s'inscrivent dans le cycle arthurien - relatant les hauts faits du roi légendaire Arthur et de ses chevaliers - apparaissent vers le XIe siècle, c'est-à-dire à une époque antérieure à la courtoisie. La

plus parfaites manifestations. Les romans courtois - nés sous l'influence de la poésie des troubadours chantant la fin'amor - proposent une nouvelle vision des relations sociales, fondées sur le respect que le chevalier doit à son seigneur et à sa Dame (le«service d'amour»). Les premiers textes qui s'inscrivent dans le cycle arthurien - relatant les hauts faits du roi légendaire Arthur et de ses chevaliers - apparaissent vers le XIe siècle, c'est-à-dire à une époque antérieure à la courtoisie. La

repose sur l’idée que le roi reçoit son pouvoir directement de Dieu, sans l’intermédiaire du peuple. Dieu lui-même a choisi la dynastie qui gouverne la France, et ce choix est, au début de chaque règne, symbolisé par la cérémonie du sacre, en la basilique de Reims. De cette « théorie du droit divin » découle l’affirmation que la monarchie française est une monarchie pure de tout alliage, de tout mélange avec d’autres formes de gouvernement, aristocratiques ou populaires. Le roi est seul à détenir

est ainsi de l'histoire, tirée de La vie de St Antoine de Padoue [Sancti Antonii Confessons de Padua Vita) de Sicco Polentone, imprimée en 1476 : Le Pape Boniface VIII... fit rebâtir et décorer, avec beaucoup de soins et de dépenses, la vieille basilique délabrée de Saint-Jean-de-Latran à Rome, et il dressa une liste nominale des Saints qui devaient y être représentés. Les peintres de l'Ordre des Frères Mineurs excellaient dans cet art et, parmi eux, deux maîtres particulièrement talentueux. Quand

réaliser le « nouveau Berlin » ou Welthauptstadt Germania. La guerre contrariera ces projets, et seule la nouvelle chancellerie, inaugurée en 1939, fut achevée. La coupole du nouveau Palais du Reichstag aurait été 13 fois plus grande que celle de la basilique Saint-Pierre de Rome, l’avenue triomphale deux fois plus large que les Champs-Élysées et l’arche triomphale aurait pu contenir dans son ouverture l’arc de triomphe parisien (40 m de haut). Le biographe de Speer, Joachim Fest, discerne à travers ces

compétence la liturgie et les rites, et ils étaient les auxiliaires et les conseillers des rois en matière religieuse. Ils avaient notamment pour fonction de surveiller la stricte observance des rites qui assuraient, aux yeux des Romains, le maintien de la paix avec les dieux. Leur nom leur venait de ce qu’ils avaient été chargés de la construction, puis de l’entretien, du pont sacré ( le pons sublicius ) jeté sur le Tibre, qui était à la merci des crues du fleuve, déclenchées par Zeus tonnant. Les pontifes

républicaines Le coup d’État du 2 décembre 1851 suscite des insurrections républicaines en Provence. « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon […]. Quand les derniers bataillons apparurent, il y eut un éclat assourdissant. La Marseillaise emplit le ciel, comme soufflée par des bouches géantes dans de monstrueuses trompettes qui la jetaient, vibrante, avec